Article sans titre
le ciel ; alors nous pourrons à nouveau être dans la vérité et la pureté totale.
C’est dans cette voie-là que réside notre “vraie” spiritualité, que se trouve
le chemin de la compréhension, le chemin de la conscience et d’une harmonieuse
ouverture d’esprit sur l’infini – l’infini dans le temps et dans
l’espace – car, aujourd’hui, nous sommes immergés dans le concept
inventé d’un “Dieu unique”, immatériel, tout puissant, omniprésent, une
façon de concevoir le monde que nous imposent nos colonisateurs et
leur Religion : un Christianisme… défiguré, dévoyé jusqu’à agir à
l’extrême opposé du message de Paix et d’Amour délivré par “Jésus, le
Christ”… dont les ‘‘Prélats’’ de cette religion ont le culot de se prétendre
les représentants officiels.
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POISON BLANC
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Et pour nous, à partir de ce concept-là, toutes les soi-disant “valeurs” qui
nous sont inculquées (par la force !) ne font que nous éloigner de la
vérité et endorment notre esprit ; de surcroît, elles font prier “Jésus, le
Sauveur” par des masses d’Africains… qui ne pourront jamais trouver
“leur salut” en suivant cette voie imposée par l’Occident !
Si l’Afrique veut réellement se sauver, elle doit se débarrasser de ces
concepts amenés et imposés par le colonisateur, se “décoloniser spirituellement”,
elle doit retrouver les concepts polythéistes, dont elle est
instruite depuis des siècles, retrouver ses Dieux humains venus du ciel,
et enfin, elle doit analyser tout ceci sous la lumière, et de la science
d’aujourd’hui, et des technologies du futur. C’est là que réside, pour
l’Afrique la clé de sa propre et heureuse réalisation… et non pas dans la
Religion du colonisateur qui est venu pour nous aliéner nous-mêmes,
annihiler notre identité, s’emparer de notre patrimoine, et qui, par une
suprême malignité, a fait de chacun de nous un être facile à dompter, à
modeler, à mater, à domestiquer… mais ce, toujours dans le même “esprit
colonial”, afin que le “néo-colonisateur” qu’il est, puisse encore à notre
époque, maintenir “le noir” sous contrôle, en être dépendant, obéissant,
servile et surtout jamais révolté envers le “Père blanc” en soutane et son
livre “saint”, le Nouveau Testament.
J’aime bien ce nom de “Nouveau” Testament, il est révélateur ! Bien évidemment,
cette Institution a dû créer quelque chose de nouveau… au
profit de sa cause, afin d’accomplir sa mission impérialiste et mercantile
: écarter les masses du bon chemin, les “égarer” et pour parvenir à ses fins,
il lui fallait se faufiler comme berger (hélas un “faux berger” !) au milieu
du troupeau des brebis soi-disant égarées. Elles ne l’étaient pas jusqu’alors,
mais elles le sont devenues depuis… et rien qu’à cause de lui !
Moi je préfère l’Ancien Testament, leur “Nouveau” je n’en veux pas, car
cela sent trop le coup monté. Mon Ancien Testament ce sont les “Dieux
humanisés” de mes ancêtres, c’est la genèse, l’histoire de la création
racontée par mon peuple, par les Anciens et je ne peux la comparer uniquement
qu’à la Genèse du véritable “Ancien Testament” : la Torah.
Il y a une vérité commune dans toutes les traditions religieuses de nos
ancêtres en Afrique, que ce soit au Sud, à l’Ouest, à l’Est ou en Afrique
Centrale ; à travers ces traditions, c’est énorme le nombre de points
communs qu’il y a entre toutes les religions de par le monde. Partout on
parle d’êtres célestes qui avaient la faculté d’apparaître et de disparaître
aux yeux des humains comme ils le souhaitaient, tout comme Yahvé
pouvait, selon les Hébreux, apparaître soudainement à Moïse, dans un
“buisson ardent” par exemple… à une époque rappelons le, où seuls les
oiseaux volaient… pour les humains cela viendra aussi, mais beaucoup
plus tard dans leur Histoire !
Dans la majorité des traditions religieuses d'Afrique noire il est dit que
Yahvé et ses autres Dieux, après avoir créé l’homme, s’éloigna de lui et
qu’il ne se préoccupa plus de lui, donc, que les créateurs et leur dirigeant
sont à un moment donné partis, qu’ils ont laissé l’homme seul sur la
Terre. Et les traditions disent aussi qu’avant ce départ des Dieux, il y avait
des échanges faciles et aisés entre eux, les créateurs et nous, les humains
qu’ils avaient créés.
A titre d’exemple, dans les traditions religieuses des pygmées de Semang
il est dit : « Autrefois, un tronc d’arbre reliait le sommet de la montagne
cosmique, le centre du monde, avec le Ciel ; les communications avec le
Ciel et les relations avec les dieux étaient alors faciles et naturelles ; à
la suite d’une faute, ces communications ont été interrompues et les
dieux se sont retirés encore plus haut dans les cieux. »
Mais scrutons aussi d’autres traditions, chez d’autres humains à la peau
noire, tels que les Arandas d’Australie centrale : « Au Ciel, il y a l’Eternel
jeune “altjira nditja”, avec les autres Dieux, ils vivent là-bas dans un
pays perpétuellement vert, plein de fleurs et de fruits, traversé par la voie
lactée. Ils sont tous éternellement jeunes, le grand-père ne se distinguant
ni de ses enfants, ni de ses petits-enfants, ils sont immortels
comme les étoiles, car la mort n’a pas réussi à pénétrer chez eux ». Et,
chez les Arandas aussi la communication avec les Dieux fut facile, puis
fut, de la même façon, brusquement interrompue, à un moment donné.
Et dans ce cas aussi, le lien est facile à faire avec la Bible des hébreux,
la Torah, où Yahvé signifie étymologiquement parlant, “celui qui était,
qui est, et qui sera”, donc “l’Eternel” et forcément… “Eternellement
jeune”. Comment ? Grâce à la science bien évidemment, science, donnant
accès à la vie éternelle, que nous terriens commençons petit à petit
à découvrir grâce au clonage, le secret de la vie éternelle.
Maintenant revenons de nouveau au Grand Envoyé Prophète Simon
Kimbangu pour nous référer à son enseignement réel. Mais pour cela il
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nous faut faire appel au Mouvement qu’il a créé lui-même et appelé
“Kintuadi” (ce qui veut dire Union) ; et non à l’Eglise nommée pourtant
“Kimbanguiste”, car celle-ci fut créée après sa mort par son fils cadet,
lequel a choisi de collaborer avec l’Administration coloniale et par conséquent
a trahi le Prophète son père, pire cette “Eglise Kimbanguiste” a même
été plus tard jusqu’à collaborer en R.D.C. (au Congo Kinshasa) avec un certain
“Mobutu Sese Seko”, l’horrible dictateur sanguinaire que l’on sait.
Ce qu’il faut garder à l’esprit, constamment, c’est que le Prophète Simon
Kimbangu parlait de “Dieux” au pluriel, c’est indéniable : il parlait d’un
peuple vivant dans les cieux… et quand il parlait de “nos créateurs” (au
pluriel, toujours !)… de “nos pères qui sont dans les cieux” il en parlait
avec les termes précis suivants : « Batata Nzambi’A Mpungu », or ce sont
les colonisateurs qui nous ont contraints à traduire le terme “Nzambi” par
“Dieu”, obligeant ainsi notre subconscient à se référer à un Dieu unique,
immatériel et omniprésent (… tel ce faux “Dieu” qu’ils ont inventé et
auquel ils veulent, à tout prix, nous faire croire !).
Or le mot “Batata” est d’une importance plus que capitale, car dans
toutes les langues Kongos, ce mot “Batata” est forcément pluriel sans
aucune contestation possible ; littéralement il signifie “les Pères” ou
“nos Pères” (au pluriel, une fois encore) c’est donc l’équivalent de
“Adonaï” et de “Elohim” en hébreu, qui sont, eux aussi, deux pluriels
incontournables et incontestables.
Quand le Prophète Simon Kimbangu emploie les mots suivants : « Mpeve
Ya Batata Nzambi’ A Mpungu Tulendo » il ne peut jamais, en aucun
cas, s’agir d’un singulier. Ce fait tous les Kongos honnêtes doivent l’admettre
et admettre aussi que la traduction française de cette expression,
telle qu’on peut la lire aujourd’hui dans les écrits de l’Eglise
Kimbanguiste est entièrement fausse, honteusement fausse, écrire : « car
l’esprit de notre Dieu tout puissant », c’est complètement en défigurer le
véritable sens, car le vrai message de Simon Kimbangu est ici adressé en
même temps à plusieurs personnes (encore et toujours “au pluriel”) et non
pas à un “Dieu” unique !
Voilà, la vérité des choses ! Face à cela, tout “vrai” Kimbanguiste devrait
se révolter contre l’EGLISE DE JESUS-CHRIST SUR LA TERRE PAR
LE PROPHETE SIMON KIMBANGU (EJCSK). Quelle trahison pour
l’Afrique… quelle soumission de la part des opprimés que nous sommes
et restons… quel abandon de cette vigoureuse et salutaire lutte prônée par
le Prophète Simon Kimbangu, qui, lui, était bel et bien un “polythéiste”
puisqu’il parlait de dieux… au pluriel et priait des dieux… au pluriel !
D’ailleurs il convient de noter que le mot “Nzambi” est aussi utilisé chez
les peuples du Gabon, où, dans certaines langues on dit aussi “Nzame”
ou encore “Nzambe”. Par exemple chez les Fangs du Gabon l’histoire de
l’origine de la vie sur Terre est racontée dans le Mvett : on y parle de gens
venus du ciel et ayant une haute technologie, disant que leur chef est
“Nzame”, dont un des frères est “Zong” et une des soeurs “Ngigone”.
“Zong” y est un peu considéré comme le “Satan” ! Le Mvett raconte
par ailleurs que ces dieux (au pluriel, une fois de plus) ce peuple, sont
des êtres “physiques” qui ont une vie comme les humains, qu’ils sont tous
des dieux créateurs suprêmes et qu’ils savent faire des choses qui dépasse
l’entendement des humains. On ne peut être plus clair, de nos jours, parlant
de ces êtres-là, on dit tout simplement “des Extra-Terrestres” hautement
avancés !
Je ne peux pas oublier dans ce chapitre, d’évoquer mes amis les Dogons,
ce peuple magnifique vivant sur le plateau aride, desséché de Bandiagara
au Mali. Pourquoi ne surtout pas les oublier ? Parce que leur cosmogonie
est absolument formidable, en effet ils sont depuis qu’ils existent
détenteurs de connaissances cosmiques extraordinaires qu’ils se transmettent
de générations en générations et ceci en n’ayant pas eu de télescopes
ou de microscopes à leur disposition depuis le début de leur
existence et également sans une quelconque application de mathématiques
supérieures.
Ceci étant, les Dogons ont leur propre Genèse à eux et selon leurs
ancêtres Dogons, leurs dieux créateurs seraient venus de la constellation
Sirius. Les Dogons disent avoir connaissance, depuis des millénaires, du
fait que l’étoile Sirius a deux autres étoiles satellites ou autrement dit
deux étoiles “soeurs” qui l’accompagnent. A l’oeil nu on ne peut apercevoir
qu’une seule étoile et ce n’est qu’en 1862 qu’un astronome américain,
Alvan Clarke, a découvert grâce à un télescope puissant qu’il y
avait une deuxième étoile tournant autour de Sirius, cette deuxième étoile
fut nommée Sirius B. Hors, les Dogons savaient ceci depuis des millénaires
déjà…disons “depuis toujours” ! Comment pouvaient-ils savoir
cela ? Qui plus est, en fonction des informations qu’ils possèdent, ils
ont toujours prétendu qu’il y avait, de surcroît, une “Sirius C” ! Leurs
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ancêtres, leurs dieux-créateurs seraient, selon eux, venus d’une planète
qui est en orbite autour de cette troisième étoile, la Sirius C, que nous ne
connaissons pas encore.
Mais cela va encore plus loin, les Dogons sont depuis toujours en possession
de données et de connaissances tout à fait précises sur Sirius.
Ainsi, ils affirment savoir depuis toujours que Sirius possède une étoile
satellite plus petite qu’elle-même, Sirius B donc, mais ils précisent que
cette deuxième étoile, bien que plus petite que Sirius (A), est plus lourde
qu’elle, c’est pourquoi ils la nomment depuis toujours “Po Tolo” ou
“Po-Digitaria” d’après le nom d’une graine de céréale africaine qu’ils utilisent
et qui est tout à la fois très petite et très lourde. Ils savent aussi que
cette “Sirius B” boucle son orbite elliptique autour de “Sirius A” en 50
ans, raison pour laquelle ils célèbrent tous les 50 ans leur grande fête, la
“fête de Sigui”.
Maintenant ces données au sujet de Sirius B se trouvent être confirmées
par la science de notre époque, mais eux, les Dogons, possèdent ces
données et cette connaissance depuis le début de leur histoire : ils ont
conservé tout ceci de génération en génération sur des cartes célestes du
ciel et de Sirius, cartes gardées par leurs Prêtres initiés. Or, en 1960 nos
astronomes ont pu calculer exactement, avec une précision remarquable,
la période de révolution de Sirius B autour de Sirius A et constater que
cette révolution s’effectue en… 50 090 années !
Les Dogons, eux, savaient cela depuis toujours !
Et les Dogons vont même plus loin, ils affirment qu’il y a encore une
autre étoile… disons “Sirius C” qu’ils nomment “Emma Ya” ou “Sorgo”,
et que cette étoile-là a une révolution de 32 ans autour de Sirius A, tournant
sur une orbite elliptique très excentrique et qui serait perpendiculaire
à celle de Sirius B ! Ils possèdent des dessins et des cartes de ces
orbites, mais surtout, ils disent que cette étoile Sirius C (Emma Ya)
possède plusieurs planètes en orbite autour d’elle et qu’une de ces
planètes est la maison de leurs dieux-créateurs, de leurs ancêtres, lesquels
seraient venus sur terre, il y a très longtemps à bord du Nomo, selon leurs
traditions un vaisseau inter-stellaire dont la forme serait très proche de
nos fusées lunaire actuelles, type “Apollo”.
De nos jours, beaucoup d’astronomes commencent à soupçonner qu’il
devrait effectivement y avoir une “Sirius C” tournant autour de Sirius A,
car ils peuvent constater, avec leur appareillage actuel, des changements
de couleur du système et, de ce fait, ils pensent que cette “Sirius C”, dont
parlent les Dogons, pourrait avoir une orbite très aplatie, un peu comme
une comète ; en utilisant un coronographe occultant la forte lumière de
Sirius A, ils peuvent à présent apercevoir deux corps voyageurs, mais
n’arrivent pas encore à déterminer lequel de ces corps présente un mouvement
propre au système de Sirius (publication dans la revue
“Astronomy & Astrophysics”). Les astronomes Jean-Louis Duvent et
Daniel Benest de l’observatoire de Nice ont utilisé des simulations numériques
d’ordinateurs et leurs observations renforcent également la probabilité
d’existence d’un troisième corps de faible masse dans
l’environnement de Sirius (Publication dans la Revue “Ciel et Espace”,
1995).
Mais, nos fameux Dogons possèdent encore beaucoup d’autres connaissances
astronomiques qui paraissent étonnantes pour une tribu africaine
vivant repliée sur elle-même depuis toujours, sans contact avec l’extérieur.
Pour les DOGONS le patron, le chef, le leader des Dieux-créateurs
se nomme “Amma”, et pour eux l’univers est infini, mais tout de même
mesurable, ils disent aussi qu’existent dans l’univers des mondes infinis
habités et qu’ils s’éloignent de la terre à des vitesses très grandes dans
un mouvement spiralé ; ils ajoutent que ces mouvements spiralés et
structures élémentaires se trouvent également dans l’infiniment petit qui
compose les hommes, ce qui revient à dire que l’infiniment grand (les
planètes, systèmes solaires, galaxies, voies lactées) a la même configuration
que l’infiniment petit (les cellules, molécules, atomes qui composent
nos corps).
Les Dogons connaissent depuis toujours les différentes phases de Vénus,
ils divisent le Ciel en 22 parties égales et en 266 constellations et disent
que Vénus possède un “compagnon” (ce pourrait être l’astéroïde Toro,
récemment découvert entre la Terre et Vénus), ils connaissent aussi les
4 plus gros satellites de Saturne pourtant invisibles à l’oeil nu, mais ils
ne connaissent pas les planètes qui sont au-delà de Saturne (Uranus,
Neptune, Pluton)…
Ils disent avoir reçu les connaissances qu’ils possèdent d’un peuple venu
du ciel et qui les a créé, que les membres de ce peuple du ciel sont
descendus sur terre il y a très longtemps, qu’ils ont amené avec eux des
fibres végétales provenant de plantes du “champ du Ciel” et qu’après
20. LE POLYTHÉISME DE NOS ANCÊTRES AFRICAINS : SOURCE DE VÉRITÉ
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avoir créé la vie sur terre, les plantes, les animaux, ils ont créé le premier
couple humain, qui engendrera par la suite les huit grands ancêtres de
l’Humanité, et qu’une fois leurs tâche terminée Amma et les autres dieux
regagnèrent le Ciel à bord de Nomo (leur Vaisseau).
On ne peut être plus clair ! Le Polythéisme – croyance en des dieux (au
pluriel) physiques, de chair et de sang, voyageurs de l’espace – est source
de la vérité. L’Eglise Chrétienne Catholique cache cette vérité et nous
maintient dans l’ignorance afin de continuer à exercer son Pouvoir sur
les hommes, un pouvoir qui s’appuie sur l’ignorance des masses, sur la
croyance aveugle des masses, sur une croyance supraocculaire obscurantiste,
sur le mysticisme, sur le mystère de dieu, un dieu immatériel
omnipotent qui, en fait, n’existe pas
La vie dans l’univers est un phénomène banal, il y a dans l’univers infini
une infinité de mondes habités par des “humanoïdes”, fruits d’une création
humaine ; ce sont à chaque fois des hommes qui, grâce à la science,
créent d’autres hommes, ceci partout dans l’univers infini… à l’infini !
Et cela, en Afrique noire, on l’a toujours su, mais l’esclavagisme, l’assimilation
religieuse et notre colonisation par l’Occident chrétien, usant…
et abusant sans scrupule de la force, nous ont enlevé nos “religions
authentiques” qui parlaient toutes de ces êtres, de ce peuple venu du ciel
qui a créé toute vie sur terre avec science et art.
J’aimerais maintenant faire ici un clin d’oeil particulier aux peuples
“AMÉRINDIENS”, ces peuples autochtones des Amériques, auxquels
Christophe Colomb – croyant atteindre les Indes – a indûment attribué
ce nom d’“indiens” qui leurs est resté. Je pense spécialement à eux
car ces peuples ont également eu à subir quelque chose de presque
similaire à ce qui a si cruellement frappé les peuples africains : un
génocide, perpétré tout pareillement par des colons chrétiens venant de
l’Occident.
Dans les cultures de ces natifs “indiens” il est fait référence à ce qu’ils
appellent “le peuple venu du ciel”. En effet selon leurs traditions dites
maintenant “indiennes”, un “peuple venu du ciel” serait jadis descendu
sur la terre pour leurs apprendre ce qu’il faut connaître sur les plantes (la
biologie) et comment faire pour vivre en harmonie avec la Mère Terre et
le Père Ciel. Ces êtres venus du ciel leurs auraient également envoyé des
Prophètes afin de guider leurs peuples durant les ères écoulées… Les
20. LE POLYTHÉISME DE NOS ANCÊTRES AFRICAINS : SOURCE DE VÉRITÉ
213
êtres contactés par ce “peuple venu du ciel”, ces Prophètes qui les ont
ainsi guidés, étaient entre autres : Tenskwautawa, Smohalla et Wovoka.
Plusieurs chefs des natifs américains “indiens” pensent qu’à présent les
temps sont venus de parler ouvertement d’une certaine partie de leurs
traditions, partie qu’ils ont maintenue secrète jusqu’alors, à savoir : leurs
légendes et histoires concernant la création et ce peuple du ciel qui est
venu il y a très longtemps sur terre voyageant dans leurs “oiseaux de tonnerre”
(Thunderbirds), c’est-à-dire dans leurs engins spatiaux.
Ces chefs pensent qu’il faut maintenant faire savoir que ce sont des
hommes et des femmes de ce “peuple du ciel” qui nous ont créés, qu’ils
ont sillonné la terre, marchant parmi nous pendant un certain temps puis
qu’ils sont, à un moment donné, repartis vers leur monde à eux, laissant
seul sur terre l’homme qu’ils y avaient créé, afin qu’il progresse lentement
jusqu’au jour où il serait en mesure de comprendre tout, sachant
qu’à ce moment-là le retour du “peuple du ciel” serait imminent et que
l’homme comprendrait alors sa véritable origine, l’histoire vraie de sa
planète et de sa genèse à lui, en tant que race vivante.
Ces traditions indiennes évoquent leur origine à partir des étoiles,
l’influence du “peuple du ciel” dans le développement de leur culture,
leurs croyances spirituelles et leurs cérémonies religieuses, mais aussi…
et surtout, elles parlent du retour imminent de ce “peuple du ciel”…
retour prévu pour ces temps-ci, temps où l’Eglise du colon, menteuse et
usurpatrice, viendra enfin à s’effondrer.
Nous africains, nous devons absolument garder nos traditions religieuses
– car elles sont justes – et les garder les plus vivaces possibles, car elles
sont fondées sur le “polythéisme”, la croyance en d’innombrables Dieux,
tandis que dans le monde occidental la croyance en une multitude d’êtres
cosmiques célestes s’est effacée peu à peu, et elle y a été remplacée,
malheureusement, par le “monothéisme”, la croyance en un Dieu
unique… inventé mensongèrement. Ce qui n’est pas correct du tout car
la règle générale qui préexistait avant la naissance du monothéisme
judéo-chrétien c’était la vénération d’une multitude de Dieux, et cela
depuis toujours.
De ce fait, en vénérant leurs Dieux, les polythéistes ne considéraient pas
le Dieu dirigeant,Yahvé, comme étant seul, et là encore on peut faire le
lien avec la Torah en Hébreu, pour démontrer que nos ancêtres noirs
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connaissaient la vérité par rapport à cette pluralité de Dieux. En effet,
Yahvé n’est pas du tout seul dans la Torah, il y est entouré d’une grande
cour céleste, dont l’ensemble – toujours dans la Torah – est appelé
“Elohim”. Ce mot “Elohim”, rappelons le, est un pluriel en hébreu (le singulier
c’est “Eloha” ou “Eloah”) et “Elohim” signifie étymologiquement
“ceux qui sont venus du ciel”.
Il faut aussi savoir que l’emploi du “pluriel de majesté”, les “Vous” ou
“Nous”, employés en français à la place d’un singulier et rien que par
convenance, cela n’existe pas dans la sémantique hébraïque. Par ex. ce
qu’on peut entendre en France, du genre : « En ce jour de fête nationale,
Nous, Président de la République Française, conscient des problèmes
actuellement subis par les français, avons décidé que [… suit le
“bla-bla”- langue de bois habituel !] cela n’est pas traduisible, en mot à
mot du moins, en langue hébraïque.
Donc, c’est bel et bien d’un peuple qu’il est question, et c’est bien ce
peuple qui est désigné par le mot “Elohim”, par exemple, dès cette première
phrase de la Genèse, récit biblique de la création : « Au commencement
Elohim créa les cieux et la terre. » (GENÈSE I, 1) ou encore, un
peu après, en GENÈSE I, 27 : « Elohim créa donc l’homme à son image,
à l’image d’Elohim il le créa. Il les créa mâle et femelle. » c’est bien que
ce projet de création et sa réalisation c’est l’oeuvre du peuple Elohim, et
que c’est ressemblant à eux-mêmes, que des scientifiques de ce peuple
“Elohim” (mâles et femelles) ont créés les êtres humains que nous
sommes.
En Afrique noire, beaucoup de peuples ont encore en mémoire divers souvenirs
concernant les traces de visites d'êtres venus de l'espace.
Par exemple, certains membres du peuple Bassa au Cameroun, disent que
leurs ancêtres, pour arriver au Cameroun, sont descendus du Nil en passant
par le Soudan et le Tchad ; ils ajoutent que, dans ce qu'on appelle
la zone Bassa – là où ils vivent – il y a une grotte, nommée “Ngoklitouba”
et que dans cette grotte des petits êtres… “venus d'ailleurs” se
présentaient jadis régulièrement pour s'entretenir avec les chefs et grands
initiés du peuple Bassa.
Aujourd'hui, cette grotte a été complètement récupérée par l'Eglise
Catholique Chrétienne : cette Eglise y a fait placer des croix et des statues
pour faire croire que leur “Dieu” à eux et “son Fils” Jésus sont paspoison_
sés par là ! Cette façon de faire est une des tactiques intentionnellement
employées par cette Eglise Chrétienne qui ne recule devant aucun mensonge
pouvant avoir quelque utilité pour son expansion !
Il est de fait qu'il existe souvent, en Afrique noire, des lieux historiques,
bien ancrés dans la mémoire locale, parce que l'on y trouve des traces de
la venue, voire même du séjour, de petits êtres physiques qui, pour arriver
là on t voyagé dans l'espace à l'intérieur de leurs engins spéciaux fort
remarqués par ceux qui habitaient ces endroits à l'époque des faits. Or,
cette Eglise Catholique a récupéré les lieux en question pour en faire des
lieux réservés à son culte, elle en a donc fait des lieux de pèlerinage
chrétien !
Il en est de même au Burkina Faso – c'est un autre exemple – dans la zone
Bobo, à une quinzaine de kilomètres de l'agréable ville de Bobo
Dioulasso ; il y a là des grottes et grandes falaises où, depuis des temps
immémoriaux et jusqu'à nos jours encore, les Bobos, ethnie de cette
région, célèbrent les rites et cérémonies du “DAFRA”. Au cours de ces
cérémonies, ils s'inclinent et apportent symboliquement des offrandes aux
petits génies en souvenir de ceux qui étaient venus du ciel et résidaient
en ces lieux de temps à autre. La cérémonie du “DAFRA” comporte
d'ailleurs un détail fort intéressant : les chefs religieux chargés d'apporter
les offrandes aux génies commencent dès l'entrée de la forêt à faire
beaucoup de bruit en tapant sur les troncs des arbres et les feuillages des
arbustes tout en avançant vers le lieu des offrandes et ils font ceci en répétant
à haute voix : « Génies, Dafras, nous sommes en train d'arriver,
excusez-nous si nous vous dérangeons ! ».
Alors, que pouvons-nous voir aujourd'hui à l'entrée de cette zone, tout
au-dessus de la falaise ? Evidemment…une grande croix chrétienne !!
Et dans la zone elle-même, des communautés chrétiennes entières viennent
accomplir des pèlerinages, en déclarant que ces lieux sont sacrés,
que des choses miraculeuses s'y sont passés et s'y passent, que, de temps
à autre, “Dieu” s'y manifeste !
Eh bien, oui ! Il y a eu assez régulièrement, dans un passé lointain et
même dans un passé relativement proche, des apparitions de phénomènes
lumineux dans le ciel de cette zone ; peut-on pour autant dire
qu'il s'agisse de manifestations de ce “Dieu” en qui l'Eglise Catholique
voudrait nous obliger à croire ?
20. LE POLYTHÉISME DE NOS ANCÊTRES AFRICAINS : SOURCE DE VÉRITÉ
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Absolument pas ! Ce qui, à chaque fois, s'est passé, c'est que sont apparus
là des engins spatiaux, dans lesquels se trouvaient des “extraterrestres”
qui eux, sont en réalité nos véritables “dieux créateurs” et ce sont
ces phénomènes que l'Eglise Catholique a vicieusement déformés et
récupérés à son avantage, afin de détourner les foules de la connaissance
exacte de la vérité !
Constatons ensemble, dans le prochain chapitre, à quel point nos traditions
religieuses polythéistes, c'est-à-dire les croyances en des dieux au
pluriel, étaient… et sont toujours dans la vérité.
21. Le Monothéisme Judéo-Chrétien :
piège, tromperie, escroquerie ?
« Ce qui me révolte dans l’Église c’est son effroyable menterie,
menterie trop constante, trop méthodique pour trouver excuse.
Qu’il y ait dans l’Église des gens de bonne foi, certes.
Mais ce sont alors des imbéciles. Et même de ceux là je me méfie.
Ils ont en effet des moments de clarté, ils voient surgir devant eux une
objection hurlante, une difficulté léonine. Le bon sens, la logique,
ce devrait être de la regarder, de se rendre compte de ce qu’elle vaut.
Eh bien, pas du tout.
A ce moment, ils ferment les yeux, ils ne veulent pas aller plus avant,
voir plus loin, contrôler. Non, ce serait trop terrible, s’être tant trompé,
avoir été tellement illusionné, roulé, est-ce possible ! Ils n’ont dès lors,
d’autre souci que de penser à autre chose. Ce serait trop grave
aussi, cendre et poussière, ignorant, que de se dresser
contre tant de témoins, de sages, de savants, de coeurs purs »
– Extrait de “Journal d’un prêtre”, chapitre “ l’église démasquée”, édité en 1956
(NRF Gallimard), écrit par Paul Jury, prêtre catholique ayant quitté l’Église peu avant –
Quand le Grand Envoyé Prophète noir, Papa Simon Kimbangu, fut arrêté
par les belges, pour être ensuite emprisonné pendant 30 ans, on lui posa
la question suivante : « Vous êtes arrêté, vous partez en prison, qu'est ce
que vous nous laissez ? ». Il prit la Bible et répondit : « Moi, je pars avec
le Livre. Vous aussi vous restez avec le Livre. Tout ce dont vous avez
besoin est dans la Bible » ! Et auparavant le Prophète avait déjà dit à ses
disciples chose suivante : « Continuez à lire la Bible, il faut que le voleur
soit saisi avec l'objet qu'il a volé » ! Le voleur, c'est celui qui est venu
apporter mensonge, qui a déformé les Ecritures, c'est-à-dire, la Bible, à
son avantage, pour servir ses intérêts, c'est-à-dire la Chrétienté ou la
Religion du colonisateur, que le Prophète Kimbangu désignait et mon-
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trait du doigt comme menteur, envahisseur et usurpateur. Le Prophète
Papa Simon Kimbangu a demandé effectivement à son peuple de continuer
à lire la Bible afin que son peuple comprenne aujourd'hui ce qui
suit… c'est-à-dire, la Vérité !
Accrochez-vous, nous allons passer maintenant à quelque chose qui
pourrait vous secouer, vous remettre en question si vous êtes chrétiens,
catholiques, juste comme ça… par éducation, par tradition familiale,
juste parce que ça se passe comme ça, c’est tout ; en ce moment c’est
religieusement et politiquement correct d’être chrétien, catholique !
La majorité des africains lisent à peu près tous les mêmes Bibles. Il y a
pour les Africains francophones 14 principales traductions en français de
la Bible. Il faut savoir que la Bible, dont les écrits originaux sont en
ancien hébreu, a d’abord été traduite en grec à partir du texte en araméen,
puis en latin à partir du texte grec, pour être traduite enfin en français,
et dans les autres langues modernes, en commençant par l’anglais.
Les 14 traductions principales en français sont : celles de Crampon, de
Maredsous, d’Osty, celle dite “de Jérusalem”, ces quatre-là sont d’obédience
catholique ; celles d’Ostervald, de Segond, de Darby, de Scofield,
du Monde Nouveau et “la Synodale” qui sont d’obédience protestante ou
de la réforme, celle de TOB qui est oecuménique, puis il y a encore celle
de Khan et celle, plus récente, de Chouraqui qui sont d’obédience juive ;
une seule a été publiée sous la direction d’un Universitaire, c’est celle
d’Edouard Dhorme, Bibliothèque de La Pléiade, NRF, Gallimard.
Malheureusement les africains ne lisent pas la version de Dhorme, ni celle
de Chouraqui, ils lisent celles des obédiences catholiques ou protestantes.
C’est bien dommage, parce qu’à travers les traductions de Dhorme ou
Chouraqui, moins remaniées et déformées, ils pourraient plus facilement
faire de bons liens avec les traditions religieuses authentiques de leurs
ancêtres. Les versions les plus lues chez les Africains ne sont qu’au nombre
de 2 : celle de Jérusalem en français, et celle de King James en anglais.
Ainsi, les africains chrétiens, et tous les autres chrétiens du monde, lisent,
la plupart du temps, des Bibles qui ont été de nombreuses fois recopiées,
retraduites, révisées, corrigées, manipulées par des copistes, des
interprètes, des traducteurs et éditeurs de tous poils ! Ceci entraînant
forcément des divergences, des inexactitudes, voire des “fautes”… dont
la plupart ont été introduites délibérément, etc.
Mais alors, y a-t-il une clé pour retrouver la vérité, et si oui où est-elle ?
La clé, c’est d’aller à la source. Bon… mais c’est quoi la source ?
Eh bien ce sont les écrits originaux en Hébreu, avec les noms, les substantifs
originaux en Hébreu dans le texte. Mais attention, pour trouver
ces écrits originaux, il faut les chercher dans “la Torah” (livre écrit en
hébreu ancien et nommé aussi “Thora” ou “Tora”). C’est là que sont les
textes originaux du véritable “Pentateuque”, ensemble des 5 premiers
livres de la Bible, “La Genèse”, “L’exode”, etc. Alors que voit-on, en
Hébreu dans la Torah, la Bible originale ? Tout simplement on y constate
que le mot “Dieu” ne se trouve nulle part dans le texte ! Et s’il n’y a pas
de mot “Dieu” dans l’original de la Bible en Hébreu, c’est qu’il n’y a
jamais eu de Dieu unique, immatériel, tout puissant !
Par ailleurs, comme la “Bible” a été rédigée, pour la première fois, en
Hébreu, c’est donc dans la langue hébraïque qu’elle doit être prise en
compte, avec toutes les spécificités et particularités de cette langue au
niveau du vocabulaire et de la grammaire.
Quel est donc le mot autour duquel tout s’articule dans cette première
Bible en Hébreu ? Ce mot est un nom : le nom “Elohim”. Et le premier
verset de la Bible, cité en français en fin de page au chapitre précédent,
le voici maintenant en hébreu : “Bereshit bara Elohim et ha shamaïm
vé et ha éretz”. Ce qui se traduit tout bonnement en français par : “Au
commencement Elohim créa le ciel et la terre”.
Or, on n’a pas le droit de détruire un nom propre quand on le traduit ; à
travers les différentes langues employées, un nom propre doit rester ce
qu’il est, sinon c’est tout le texte qu’on défigure, on ne peut pas traduire
Elohim par “Dieu”, ce serait contraire à la plus élémentaire déontologie.
Et, s’il vous plaît, qu’on ne vienne pas ici parler d’une “étourderie”,
allons donc… une étourderie qui, par le fait du hasard sans doute, se répéterait
de multiples fois dans chaque traduction et se retrouverait utilisée
dans toutes les traductions !
C’est bien d’une erreur qu’il s’agit, oui, mais d’une erreur voulue et programmée
de façon grandiose, il faut le reconnaître, c’est d’ailleurs plus
qu’une erreur : une tromperie, une désinformation systématisée. Eh bien,
c’est pourtant ce qui a été fait ! Le plus nuancé des qualificatifs qu’on
puisse attribuer à une telle façon d’agir, s’exprime par le terme “incor-
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rect” et c’est vraiment peu dire, en fait il y a là un manque total d’honnêteté
intellectuelle. Employer, à cet endroit de la phrase, le mot “Dieu”,
à la place du mot “Elohim”, sujet d’un verbe d’action aussi important que
le verbe “créer”, est-ce que cela revient à la même chose ? Absolument
pas ! La différence est énorme : ce mot et lui seul, volontairement remplacé
par un autre, a entraîné des conséquences gravissimes… atteignant
des centaines de millions d’individus !
Revenons sur ce mot “Elohim”, placé en tête de la première phrase de
la Genèse… c’est bien le cas de dire qu’il est “primordial”. Sa forme
contractée c’est “El”, son singulier “Eloha” (ou “Eloah”) et “Elohim” luimême
est un pluriel… incontestable, incontournable, car, dans ce cas, en
hébreu le suffixe “im” ne peut marquer que le pluriel. Il faut se rappeler
aussi, que le pluriel de majesté, de politesse, n’existe pas en hébreu,
comme expliqué plus haut. C’est tellement vrai que si on disait en hébreu
“les Elohim” on ferait un pléonasme, il faut employer le mot “Elohim”
tout court, sans article “les” le précédant pour le transformer en pluriel.
En hébreu on ne peut pas non plus dire “les Elohas” pour exprimer qu’on
désigne plus d’un “Eloha”, cette tournure n’existe pas, on dit tout simplement
“Elohim”, c’est dans ce cas-ci la seule possibilité d’exprimer un
pluriel.
Il suffit, pour en trouver confirmation, de prendre par exemple le dictionnaire
Larousse, édition 1965 ; à la définition de ce mot on peut lire :
« “Elohim”, mot hébreu (…) pluriel de el ou eloha … » !
“Elohim” est donc un mot pluriel qui est souvent ( donc pas toujours)
employé avec un verbe singulier “Elohim dit … Elohim fait…”. En français,
des mots indiquant une pluralité sont également employés avec un
verbe singulier ou pluriel suivant le déterminant qui les précède. Ainsi,
en est-il des mots Humanité-Famille-Troupe-Armée-Equipe-Groupe,
etc. Ces mots sont eux aussi des pluriels non personnalisés. Les traditions
communes à toutes les tribus sémitiques racontaient des histoires de
l'ensemble des Elohim et cet “ensemble des Elohim”, se traduisait dans
la sémantique par la construction de “Elohim dit”. Beaucoup de bibles
usuelles parlent de pluriel de majesté… une pure invention et tromperie
européenne ! Encore une fois, ce genre de pluriel n'existe pas dans le langage
hébraïque. Voici quelques citations bibliques qui nous font voir la
mauvaise foi des traducteurs biblistes et exégètes, ces passages démontrant
très bien qu'il s'agit d'un peuple venu du ciel :
« vous serez comme des Elohim » (Genèse III 5)
« voici que l'homme est devenu comme l'un de nous » (Genèse III 22)
« Il advint que les fils d'Elohim » (Genèse VI 1-2)
« oui il y a des Elohim qui jugent sur la terre » (Psaumes LVIII 12)
« Jahweh…qu'est-ce que l'homme ? … tu l'as fait de peu inférieur aux
Elohim » (Psaume VIII 2, 5-6)
etc. (version Dhorme)
Ainsi, ce mot pluriel – l’entité centrale de la Bible – désignant l’entité
créatrice (on pourrait dire que ce mot “nomme” les créateurs), est bel et
bien un pluriel parfaitement défini, qui désigne une entité d’individus
distincts… autrement dit : ce mot “Elohim” désigne un peuple. Mais,
pourquoi, dans le Christianisme, la Papauté l’a-t-elle écarté, remplacé par
un autre ? Pourquoi les Institutions Judéo-Chrétiennes ont-elles accepté,
elles aussi, que le sens littéral du terme original soit écarté, remplacé par
un autre sens tout à fait différent, pourquoi donc ? Bonne question, qui
nous emmène, dans la foulée, à poser d’emblée la suivante : d’où vient
donc ce mot “Dieu” ?
Ce mot s’est glissé dans le français, au IXème siècle ; avant cette époque
il n’existait pas dans cette langue ; par rapport à l’Histoire millénaire des
religions il est donc très récent ! Son origine se rattache à une source
indo-européenne, et son ancêtre lointain est le fameux “Dei”, qui était utilisé
par les primitifs en Europe pour exprimer la lumière du soleil, et
d’autres phénomènes lumineux observés dans le ciel. On peut dire que,
étymologiquement, “Dei” signifiait et signifie toujours : “lumière
dans le ciel”.
A un moment donné de leur histoire les Romains ont adopté, sous le nom
de Jupiter, le “Zeus” des Grecs. Ce nom – celui du dieu suprême dans la
mythologie grecque – “Zeus” se prononçait “Zeous”, ce qui a donné
“Deus” (prononciation latine : “De-ous”). Et, c’est de cette façon-là que
recentré sur la racine “Di” en français, le mot “Dieu” a pris naissance à
partir du latin “Deus” ( en déclinaison latine, son génitif est “Dei”… on
en donne un exemple dans cet ouvrage en traduisant les deux mots “Opus
dei”)
Avec ce mot “Dieu” on est donc très loin d’une traduction honnête du mot
“Elohim”, ce mot central de la Bible originale ! A ce sujet il est intéressant
de noter, car ce n’est sûrement pas sans lien, qu’au IVème siècle avant
Jésus-Christ, un certain Aristote était venu sur la scène avec un concept
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totalement abstrait qui avait fait mouche à l’époque, l’expression latine
qui le désigne est même encore employée aujourd’hui : Aristote prônait
la théorie d’un univers régi par un “moteur” situé… on ne sait où (!) dans
ce grand tout qu’est l’univers, c’était le fameux “Deus ex-machina”,
littéralement un “Dieu sortant d’une machine” une sorte de “Zeusmoteur”
auquel personne ne pouvait rien comprendre mais qui était
censé réguler ce tout.
Disons le autrement : à son époque Aristote était venu “moderniser” le
vieux Zeus-Jupiter, et cela avait fait bingo ! Car, ce concept d’Aristote
a ensuite été remodelé par le judaïsme et le christianisme, pour aboutir
en force au concept fourre-tout d’un “Dieu”, éternel, omniscient, immatériel,
unique, insaisissable, invisible, pur esprit et pas physique du tout…
et pourtant représentable, assis sur un petit nuage lissant sa belle barbe
blanche, tendant le bout du doigt à sa création respectueuse… tout ça
permettant d’amuser la galerie.
Mais ce qui devenait moins drôle pour l’humanité, c’était que le “représentant
sur Terre” de ce “Dieu” astucieusement inventé – se trouvant
alors à la tête de la plus puissante Institution mondiale – pouvait quelques
siècles plus tard… et par l’effet de sa seule décision personnelle se
déclarer “in-fail-li-ble”… ben voyons ! C’est tellement plus confortable
lorsqu’on est au pouvoir d’évincer d’un seul mot quiconque aurait la
velléité de contester les prérogatives qu’on s’est octroyées !
Bravo africains catholiques et chrétiens, pour avoir abandonné les Dieux
humanisés, les Dieux physiques et humains de vos ancêtres, qui peuplent
en paix leur planète quelque part dans l’univers, pour ce produit, pour ce
concept de bric et de broc venu des blancs, et qui défigure complètement
la Genèse originale.
En gardant votre “polythéisme”, vous auriez sans doute évité au monde
un grand nombre de ces guerres livrées par les “croyants” d’un “monothéisme”…
à un autre !
Force est de reconnaître que les conciles du Latran, du Vatican et d’autres
encore, plus les tribunaux de l’Inquisition, ont fait tout ce qu’il fallait pour
que l’Eglise impose, en force, ce fumeux concept du “monothéisme”
aux populations européennes. Inutile d’entrer ici dans le détail de toutes
les monstruosités qui ont été commises pour que triomphe cette conception
de l’univers… au profit exclusif de quelques-uns ; malheureusepoison_
ment le fait est bien là… c’est ainsi que s’est construit le pouvoir de
l’Eglise et la puissance mondiale du Vatican : en camouflant la vérité et
en écrasant toutes les rebellions, d’où qu’elles viennent !
Comment donc en est-on arrivé à la généralisation d’un concept basé sur
l’idée qu’il n’y a qu’un seul “bon” Dieu … à côté de tous les autres …
qui eux sont forcément mauvais ? Vous le connaissez bien ce “bon Dieu”,
vous savez, c’est à lui que nos charmants bambins font leur “prière du
soir” au pied de leur petit lit… celui par le nom duquel jure l’homme vulgaire…
commettant ainsi un grave “blasphème” qu’obligatoirement
notre “bon Dieu” punira, tout “bon” qu’il soit… c’est certainement vrai…
puisque Mr le Curé l’a encore dit en chaire dimanche dernier (!)
Et peut-être que maintenant, en lisant ce livre vous pensez… « Quand
même, tout ce que dit Mr le Curé c’est certainement vrai ». Je ressens bien
ce qui vous fait vibrer, d’ailleurs ce “brave curé” dans son sermon de
dimanche dernier, il vous a encore dit du haut de la chaire à peu près
ceci :
« Notre “Bon Dieu”, Lui Il est bon… mais méfiez-vous, les autres sont
des “mauvais” Dieux… alors moi je vous dis, mes chers paroissiens,
croyez en notre Mère à tous, la Sainte Vierge Marie qui vous aidera et
priez son Fils, le vrai Dieu, car ceux qui croient en d’autres Dieux que
le “Bon Dieu”, ceux-là deviennent forcément mauvais, on voit chaque
jour tous les méfaits qu’ils sont capables de commettre, mais eux, ils
n’iront jamais au Ciel, ils ne connaîtront pas le Paradis où le “Bon
Dieu” vous réserve une place, Il vous attend, vous qui souffrez ici-bas
pour vous unir à sa souffrance rédemptrice, vous qui Le priez depuis si
longtemps et avec tant de ferveur ! »
C'est intéressant d'étudier ainsi “comment ça marche” dans la vie journalière
de chacun, parce que, à coup sûr ça marche ; elle marche même
très bien chez un grand nombre d'Africains, cette idée du “bon” Dieu
inventé par les blancs, ce concept les tranquillise, ils sont gavés de
“bonnes paroles” qui les rassurent et eux trouvent ça “fabuleux.
L’Eglise a ainsi réussi à imposer l’idée que son “Dieu” à elle, c’était le
meilleur et que sa conception du monde à elle, c’était la seule valable.
Son Dieu étant “le bon”… le seul “bon Dieu”, tous les autres sans exception
sont des dieux “mauvais”. Elle a entré dans la tête des foules – et pas
seulement celles qui s’agglutinent “Place Saint Pierre” à Rome – que
croire en “des dieux” était une grave erreur, et que la croyance en un autre
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Dieu que le leur était, non seulement mauvaise, mais encore qu’elle
devait être punie parce qu’elle était : source de maladies, de malédictions
et même de la venue d’horribles “démons”… à l’entendre, tous aussi dangereux
et méchants que “les dieux” eux-mêmes (les autres bien sûr, tous
sauf le sien… puisqu’elle vous le dit !), etc.
Au fil des siècles il fallait donc obligatoirement être du côté de cette
Eglise Catholique pour être avec le “bon Dieu”… et éviter d’être persécuté
! Et, cela a marché et même bien marché pour elle, avec l’appui évidemment
d’un grand nombre des “puissants” de ce monde. On peut
rappeler, pour donner un aperçu de “l’efficacité matérielle” de sa
méthode, que dans la “Sainte Ville” de Rome la moitié des immeubles,
dit-on, appartiennent au Vatican, c’est difficile à vérifier, certes, mais…
comme chacun sait : “on ne prête qu’aux riches” ! Oui, pour l’Eglise ça
a très bien marché, mais beaucoup moins bien pour les millions de victimes
déjà laissées en chemin, telles que celles évoquées dans plusieurs
chapitres de ce livre, et ça marchera encore plus mal pour les millions de
prochaines victimes à venir.
Que de tromperies ignobles et iniques !
Dans la Bible originale en Hébreu les deux noms qui reviennent le plus
fréquemment sont Elohim (2 312 fois) et Yahvé (6 499 fois). Mais, il
n’y a pas que ces deux noms là, il y en a encore d’autres, comme par
exemples : Adonaï, El-Shaddaï, El-Elyon, El-Roi, El-Bethel, etc.
Encore une fois, le mot de “Dieu” au nom duquel l’Eglise colonisatrice
prétend parler, ce mot lui-même n’existe pas dans la “vraie” Bible, la
Torah, Bible originale et originelle… dans la mesure où c’est elle qui
explique fondamentalement l’origine de notre humanité !
Mais arrêtons-nous au moins sur deux des autres pluriels dont on vient
de voir une courte liste ; on choisira d’abord “El-Shaddaï”, pour dire
qu’il signifie “ceux d’en haut” en hébreu, et puis le pluriel “Adonaï”,
également fort intéressant.
Selon des lois judaïques, il est interdit aux juifs de prononcer le mot
“Elohim”, ainsi que le mot “Yahvé”, car un des commandements dictés
à Moïse au Mont Sinaï dit : « tu ne prononceras pas en vain le nom de
Yahvé, car Yahvé n’innocente pas celui qui prononce son nom en vain »
(EXODE XX, 7, Bible de Dhorme). Ainsi, beaucoup de juifs pour prier,
lisent, disent et pensent le mot “Adonaï”.
D’où vient ce mot “Adonaï” ? C’est le pluriel du mot hébreu “Adon”, qui
veut dire “Maître”. Donc “Adonaï” veut dire “Les Maîtres”. Dès lors,
“Adonaï” est tout simplement un autre mot hébreu pour désigner “Elohim”,
ce pluriel qui signifie “les Autres” ou “Ceux qui sont venus du Ciel” .
Les Catholiques, l’Eglise, tout le Judéo-christianisme a traduit l’ensemble
de ces noms par “Dieu”, “le Tout-Puissant”, “le Seigneur” ! Ce qui est
entièrement faux et une escroquerie intellectuelle grotesque… une de plus.
Le verset de la GENÈSE (I, 26) où, au sixième jour, Elohim dit : « Faisons
l’homme à notre image, à notre ressemblance ! » prend cette fois tout son
sens dans le cadre des traditions de nos ancêtres ; en fonction d’elles on
peut le comprendre aisément, il est normal et même logique, puisque
leurs dieux sont eux-mêmes “humanisés”.
Dans certains passages de la Torah (Bible en hébreu), on parle de “Bénéi
ha Elohim”, ce qui, littéralement, veut dire “les fils d’Elohim”, cela aussi
devient compréhensible à la lumière de nos traditions religieuses authentiques,
puisqu’on y parle d’un peuple venu du ciel.
Et surtout le passage suivant de la Torah, que je tiens beaucoup à citer,
parce que les prêtres chrétiens/catholiques souhaitent le cacher le plus
possible, tellement il les dérange, ce passage devient merveilleusement
compréhensible à la lumière de nos religions polythéistes où les dieux
sont des êtres humanisés, physiques, faits de chair et de sang… donc, sont
des “humains” comme nous le sommes, le voici :
« Quand les hommes commencèrent à se multiplier à la surface du sol
et que des filles leur naquirent, il advint que les fils d’Elohim s’aperçurent
que les filles des hommes étaient belles. Ils prirent donc pour eux
des femmes parmi toutes celles qu’ils avaient élues […] En ces jours-là
il y avait des géants sur la terre et même après cela : quand les fils
d’Elohim venaient vers les filles des hommes et qu’elles enfantaient
d’eux, c’étaient les héros qui furent jadis des hommes de renom. »
(GENÈSE VI, 1, 2 ET 4, édition Edouard Dhorme).
J’aime ce passage, je l’adore, c’est un régal de le mettre sous le nez des
noirs africains en soutanes, au service de la Religion du colonisateur, au
service de l’abominable Rome ! Comment peuvent-ils le comprendre si
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Dieu est unique, immatériel, pur-esprit ? On parle ici très clairement des
fils d’Elohim, d’un peuple qui est venu du ciel, et dont quelques-uns
des fils (des hommes de la planète d’Elohim donc) se sont accouplés avec
les filles des hommes (… filles des terriennes et des terriens, elles). Ce
qui prouve, au passage, que leur semence, leur sperme est compatible
avec les ovules de nos compagnes humaines… puisque “elles enfantaient
d’eux” !
Rien de plus logique, puisqu’ils nous ont fait à leur image, à leur ressemblance.
Les Dieux, ces “fils d’Elohim” sont donc sexués, ils sont bien
physiques, ont des organes sexuels comme nous-mêmes, et éprouvent
certainement du plaisir grâce à l’usage qu’ils en font. Ils ont vu que les
filles des hommes étaient belles ; on peut dire qu’ils ont été excité par la
beauté et le charme des terriennes. Instruits par les Religions de nos
ancêtres africains, on peut très facilement comprendre tout cela, mais par
contre l’Eglise, la Chrétienté, qu’est-ce qu’elle est embarrassée par ces réalités-
là, comment va-t-elle pouvoir s’en tirer après toute l’opprobre qu’elle
a déversée par tombereaux entiers sur tout ce qui concerne le sexe.
Le sexe est un élément tellement important dans la vie des humains que
s’en faire les maîtres, le censurer à leur gré, c’est vite devenu l’un de leurs
moyens de coercition préféré, à ces chrétiens “pudibonds” d’après Paul,
“l’homme du mensonge” comme le nommaient les parents de Jésus !
Seulement, c’est bien connu… “chasser le naturel, il revient au galop”
n’est-ce pas ? Or le sexe c’est bel et bien “naturel” et maintenant qu’il
revient, au détour de ce verset biblique que vont-ils donner comme explication,
tordue, biscornue, ambiguë… que vont-ils encore trouver pour
essayer de se tirer de ce mauvais pas ? Quel conte de fées vont-ils encore
inventer pour s’en sortir… en cherchant à endormir les petits enfants
impubères qu’ils aimeraient bien que nous restions ?
Je me souviens de deux fois au moins, où j’ai posé à des catholiques engagés
la question de ces dieux multiples et des unions charnelles de leurs
“fils” avec les “filles des hommes”, l’évêque et le “le théologien chargé de
grandes responsabilités ecclésiales” que j’avais eu chacun l’occasion
d’interroger, s’en sont tirés tous les deux en cherchant à me rassurer de la
même façon : ”Non, non, il n’y a qu’un Dieu ! Tout ce que vous lisez dans
la Bible est authentique et vous devez le croire… sauf ce passage-là, car
celui-là est une erreur qui s’y est glissée malencontreusement”. Autant
vous dire que j’ai trouvé l’argument un peu léger… et vous ?
Nos ancêtres parlaient de “calebasses volantes”, de “pépites d’argent
volantes”, de “bols d’argent volants” quand ils décrivaient les engins
des “dieux” qu’ils voyaient évoluer dans leur ciel d’Afrique. Etait-ce
stupide ? Pas du tout… devant le même spectacle, les Romains parlaient
bien de “boucliers” volants eux ; l’objet choisi révèle peut-être chez eux
un tempérament plus belliqueux que le nôtre… voilà tout !. Faisons
encore une fois une comparaison avec la Bible originale juive, la Torah.
On y parle de “la gloire”, du “chariot” , de “la nuée” véhiculant Elohim
ou Yahvé, et aussi de la “Merkabah” (le char volant qui transporte Yahvé
sur son trône) ; face à ce qu’il voit devant lui d’insolite, chacun utilise
les mots apportés à son vocabulaire par sa propre époque… que pourraitil
faire d’autre ?
Citons en exemple les 3 versets suivants :
« La gloire de Iahvé se posa sur le mont Sinaï et la nuée le couvrit durant
six jours. Au septième jour, Il appela Moïse du milieu de la nuée.
Or l’aspect de la Gloire de Iahvé était comme un feu dévorant au sommet
de la montagne, aux yeux des fils d’Israël.
Moïse entra donc au milieu de la nuée […] » (EXODE XXIV, 16-18).
Il est intéressant que, dans la Bible, Elohim et Yahvé parlent, agissent,
se déplacent et se laissent voir indépendamment de la “Gloire”, ce qui
prouve qu’ils ne sont pas toujours dedans, la “Gloire” ne fait donc pas
partie de leur apparence physique ! Le mot “Gloire”, dans les traductions
françaises, revient environ deux cents fois, et essaye de traduire son correspondant
hébreu “Kabod” des écrits originaux, en ancien Hébreu donc ;
en fait, le sens très concret de cet ancien mot hébreu était “Poids” ou
“Présence pesante”.
Selon les commentaires des docteurs de l'Eglise, la 'Gloire de Jahweh' ne
serait qu'un qualificatif attribué à Jahweh … mensonge ! Analysons le
passage suivant :
« La nuée remplit le temple de Jahweh et les prêtres ne purent pas continuer
leur fonction à cause de la nuée : la Gloire de Jahweh remplissait
le temple de Jahweh. » (1 ROIS VIII 10-11 - version Dhorme)
C'est clair et net, seule une “Gloire” solide, matérielle, pouvait occasionner
cet empêchement en occupant la place où les prêtres étaient, en
plus de cela, Salomon qui assistait au spectacle confirme en disant que
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cette “Gloire”, cette “Nuée” est bien un “solide” et non un corps gazeux
comme l'est un nuage :
« Jahweh a décidé d'habiter la nuée obscure ». (1 ROIS VIII 12)
« Jahweh viendra se reposer sur toute l'étendue du Mont Sion…Nuée
pendant le jour et fumée, la nuit, lueur d'un feu flamboyant. Car audessus
de tout, la Gloire de Jahweh sera un dais et une tente pour faire
ombre le jour contre la chaleur, et servira de refuge et d'abri contre la
pluie et l'orage. » (ISAÏE IV 5-6)
En voyant le vaisseau et la forme qu'il avait, nos ancêtres primitifs le comparaient
à une sorte de nuage, de nuée “solide”. La fumée, c'est la réverbération
du soleil sur l'engin qui fait vibrer l'air autour de l'engin
métallique et donne l'illusion qu'il fume. La nuit, le vaisseau est éclairé
à l'intérieur et peut éclairer les alentours avec des projecteurs si puissants
qu'ils sont comparés à un “feu flamboyant”. Cet engin permet de s'y
abriter du soleil et de s'y préserver de ses chauds rayons. Est-ce qu'un
simple nuage protège de la chaleur ? Est-ce que quand le temps se gâte,
un ordinaire nuage peut abriter contre la pluie et l'orage ? La réponse est
bien évidemment… Non ! Il s'agit ici à chaque fois des engins spatiaux
de nos créateurs, de forme ovoïde ou discoïde et fait d'un métal argenté
très brillant.
Et le passage de JOB XXXVII, 15, 16 ET 18 (Edition Dhorme), fournit
une autre preuve des activités sur Terre d’un “Eloah”, quand Elihou (JOB
XXXVI,1) questionne ainsi Job :
« Sais-tu comment Eloah leur commande
et comment sa nuée fait briller un éclair ?
Sais-tu quelque chose des balancements de la nue,
miracle du parfait en science ? […]
Etendras-tu, avec Lui, des nuages,
solides comme un miroir de métal fondu ? ».
Il s’agit visiblement d’un engin solide, d’aspect métallique doté d’une
source d’énergie, qui transporte un passager dans les airs, se manoeuvrant
à la guise du passager et qui de surcroît est tout à la fois léger et très
rapide :
« Voici que Iahvé chevauche une nuée rapide et va en Egypte »
(ISAIË XIX,1, Dhorme)
« Voici, Elohim porté sur une nuée rapide » (version DARBY)
« […] sur un nuage rapide » (MAREDSOUS, TOB)
« […] porté sur une nuée légère » (CRAMPON)
« […] chevauchant sur un nuage rapide » (KAHN)
« […] cavalier des nuées » (CHOURAQUI)
« […] Qui chevauche dans les hauteurs célestes » (KHAN)
Nous sommes à présent à l’époque de l’aéronautique et des explorations
spatiales par l’homme, on appelle ceci un engin volant, un vaisseau et cela
ne surprend pas grand monde. Bien sûr, aux temps de ces récits bibliques
cela étonnait fortement les primitifs qui en étaient témoins… et il y avait
de quoi, s’ils comparaient ce spectacle-là avec ce qu’ils voyaient chaque
jour ! De nos temps, des engins venus d’ailleurs, capables de prouesses
technologiques incomparablement supérieures à celles des meilleurs
engins terrestres, lorsqu’ils sont observés par les yeux de nos terrestres
contemporains sont appelés “des Ovnis”, “des Soucoupes Volantes”.
Mais ce sont toujours ces mêmes engins des dieux de nos ancêtres, les
mêmes engins que ceux nommés dans les anciens écrits religieux : “nuée
rapide”, “gloire de Yahvé”, “boule de feu”, “chariot de feu”, “nuée flamboyante”,
ou encore “Vimanas” (dans le “Mahabarat” et “Ramajna” hindou)
par exemple.
On lit même ISAÏE disant, textuellement en XIII, 5 (versions Khan,
Jérusalem, Dhorme, Chouraqui) :
« Ils viennent d’un pays lointain, des confins du ciel […] ».
Et on voit, dans Ezéchiël, que leurs engins sont capables de toutes les
prouesses aérodynamiques, dans EZÉCHIËL I, 14 :
« Les êtres allaient et revenaient en courant, vision pareille à la foudre »
[Bible de DHORME]
A ce même sujet d’autres traductions emploient les expressions suivantes :
« […] zigzaguaient »
« […] s’élançaient en tout sens » [TOB]
« faisant des déplacements comme la foudre »
Ou encore ce passage dans Job qui illustre très bien qu'il s'agit d'engins
“scientifiques” :
« Sais-tu comment il suspend les nuées en équilibre, prodige d'une
science consommée ? » (JOB XXXVII 16 - version Dhorme)
21. LE MONOTHÉISME JUDÉO-CHRÉTIEN : PIÈGE, TROMPERIE, ESCROQUERIE ?
229
POISON BLANC
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Dans Zacharie V, il y a également une belle description d'un engin volant
de nos créateurs :
« Je recommençais à lever les yeux et j'eus une vision : et voici un rouleau
volant…d'une longueur de vingt coudées (9 m) et d'une largeur de
dix coudées (4,50 m). » (ZACHARIE V)
On peut lire dans la littérature de l’Eglise Kimbanguiste, qu’à plusieurs
reprises lors de cérémonies à Nkamba, au Kongo-Kinshasa, dans le Bas-
Kongo, le fief des Kimbanguistes, là où le Prophète Kimbangu a
commencé ses oeuvres, là où les Kimbanguistes ont leur grand Temple,
des sphères célestes brillantes apparurent dans le ciel et y furent observées
par les adeptes présents, que ces sphères scintillantes restèrent
immobiles, pendues dans le ciel, pendant longtemps durant la nuit avant
de disparaître soudainement. Il s’agissait ici à chaque fois tout simplement
des engins volants de nos Dieux-créateurs !
Autre facteur intéressant pour les noirs chrétiens et catholiques, Jésus se
présente dans la Bible en hébreu (traduction Chouraqui, JEAN X, 36)
ainsi : « je suis Ben Elohim » c’est à dire, je suis enfant d’Elohim, je suis
enfant du peuple d’Elohim !
Nos ancêtres étaient bel et bien dans la vérité ! Mais nous, essayons de
découvrir comment le Christianisme, comment l’Eglise, a pu réussir
pareille tromperie et surtout par quels moyens elle a pu entretenir ce
mensonge et camoufler une aussi énorme duperie. Pour ce faire, il serait
intéressant que nous étudiions de près les fameux conciles qui ont servi
à la construction de la puissance du Vatican actuel et de celle du
Christianisme et comment, ensemble, ils ont entretenu leur mystification.
En observant la sémantique des peuples sémites, on s’aperçoit rapidement
que, tout gravite autour du mot “El” , on pourrait dire que “El”, ou
“Elohim” (les divinités venues du ciel) se présentent comme la référence
centrale. Dans les langues sémites “el” est omniprésent comme
préfixe ou comme suffixe.
Par exemple comme suffixe dans ces noms ou prénoms : “Michaël”,
“Gabriël”, “Ezechiël” “Israël”, “Raphaël”, “Azaël “, “Uriël”, “Daniël”,
“Raël”, “Gadraël”, “Ismaël”, “Nathanaël”, etc.
En préfixe il est souvent présent dans les noms arabo-sémites tels que,
“El Aziz”, “El Abdoul”, “El Kadafhi”, etc. On voit d’ailleurs en Persie
21. LE MONOTHÉISME JUDÉO-CHRÉTIEN : PIÈGE, TROMPERIE, ESCROQUERIE ?
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très souvent des peuples s’adresser aux cieux en disant “Elhim”, ou
“Alhim”, ce qui est très proche du “Allah” le plus utilisé chez les arabes.
Car, à “Babelone, “El” se prononçait “illuh” devenu après : “illuah”,
d’où la naissance du mot arabe “Allah”. Autrement dit, le mot “Eloah”
des juifs (singulier de “Elohim”) est le même que le mot “Allah” des
arabes. “Eloah” veut dire “celui qui est venu du ciel”, et “Allah” aussi.
La racine commune des deux mots se trouvant dans le mot très ancien
“El”, à partir duquel se construit le pluriel “Elohim” celui-là voulant
dire, nous le répétons une fois encore, c’est tellement important : “ceux
qui sont venus du ciel”. D’ailleurs, “Bab” en ancien perse veut dire “la
Porte” et “Babel” veut étymologiquement dire “la Porte où les El’s sont
venus” ou, mieux construit “Porte par où Elohim est venu”, soit à dire :
“la Porte par où sont arrivés ceux qui descendaient du ciel” !
Tous les qualificatifs donnés par la Bible à Elohim, à Yahvé, montrent
combien nos ancêtres avaient raison de parler, pour ces visiteurs descendus
du ciel, de “dieux” humanisés, humains, physiques. Effectivement,
ces qualificatifs s’accordent très objectivement avec la nature humaine, on
peut en citer les exemples suivants : ”hai” (vivant), “ganna” (jaloux), “roi”
(qui voit), et puis les correspondants de “exigeants”, “sélectifs”, etc.
Portons maintenant notre attention sur le nom “El-Elyon” que l’on trouve
dans la Bible originale en ancien hébreu, c’est le nom bien précis d’un
être “divin”, d’un personnage parmi Elohim, d’entre les fils d’Elohim,
donc d’entre les Dieux. Son sanctuaire se trouvait chez les Cananéens à
Salem (Jérusalem). Le prêtre Melchisédech avait la garde de ce sanctuaire.
La véritable étymologie de ce nom avec son générique “El”, associé
à l’adjectif “Yon”, veut dire, à peu de chose près et tout à la fois, “profond”
et “lointain”, dans l’espace et dans le temps. On pourrait peut-être
parler de Lui comme d’un “être du peuple d’Elohim venu de loin, depuis
les profondeurs du cosmos”.
Un autre nom que l'on rencontre dans la Bible et qui démontre également
très bien l'escroquerie des Bibles usuelles, que les Africains lisent abondamment,
les empêchant de se rendre compte que tous ces noms de
“dieux” se retrouvent tous injustement transcrits uniformément sous le
vocable chrétien de “Dieu”, avec majuscule…ce nom qui démontre très
bien cela est le nom “El-Bethel”. “Bethel” veut dire “maison d'Elohim”,
et l'El de Bethel ou encore l'El-Bethel mentionné dans la Bible, c'est le
POISON BLANC
232
'dieu' de Jacob. Ce dernier, a lutté toute une nuit avec un Eloha (et non
pas avec Dieu comme le disent injustement les Bibles usuelles). Cet
Eloha sera appelé EL DE BETHEL par Jacob (voir Genèse XXXV 7).
BETEHL est appelé “Maison des Elohim” (Genèse XXVIII 17 - version
de Dhorme) et “Porte du Ciel” (aujourd'hui on dirait Cap Kennedy ou
Cap Canaveral) ! C'est de BETHEL que Elie sera emporté au ciel dans
un 'Char de feu' ou en d'autres mots un engin spatial (2 Rois II 11) :
« Jahweh dit : …où étais-tu quand je fondai (et non pas créai) la terre,
quand chantaient en coeur les étoiles du matin et que tous les fils
d'ELOHIM acclamaient ? » (JOB XXXVIII 1, 4,7 – version Dhorme)
« Jacob y bâtit un autel et appela l'endroit “EL DE BETHEL”, car là
s'étaient révélés à lui les ELOHIM. » (GENÈSE XXXV 7 – version Dhorme)
Et pour vous, éventuels sceptiques, sachez qu’il n’y a aucune ambiguïté
sur les natures distinctes de “Yahvé” et de “Elohim”, les deux noms
étant souvent différenciés dans les passages des écritures en Hébreu ;
voici encore, avec plaisir, quelques exemples :
« je te rends grâce [Iahvé] de tout mon coeur [car tu as entendu les
paroles de ma bouche] en présence des Elohim je psalmodie pour toi. »
(PS CXXX VIII 1)
« Iahvé
[…]
qu’est-ce donc que l’homme pour que tu t’en souviennes […] ?
[…]
Tu l’as fait de peu inférieur aux Elohim » (PS VIII, 2,5-6)
« Il advint un jour que les fils d’Elohim vinrent se présenter devant Iahvé
et Satan vint aussi parmi eux, pour se présenter devant Iahvé. » (JOB II, 1)
« […] Iahvé Elohim dit : “Voici que l’homme est devenu comme l’un de
nous, grâce à la science […] » (GENÈSE III, 22)
C’est bien clair,Yahvé est le leader de ce peuple, il a la position la plus élevée
dans leur hiérarchie, et Satan est un “Eloha” de ce même peuple, ainsi
que Lucifer. Il s’agit, disons le très nettement une fois de plus, d’êtres physiques
venus de l’espace dans leurs engins volants. C’est eux que, dans nos
religions traditionnelles, nos ancêtres vénéraient, à juste titre, et non pas un
“Dieu unique immatériel” comme celui du colonisateur qui est venu nous
écarter du chemin juste et vrai et nous égarer par ses affabulations.
21. LE MONOTHÉISME JUDÉO-CHRÉTIEN : PIÈGE, TROMPERIE, ESCROQUERIE ?
233
Réfléchissons un instant, l’Eglise Chrétienne est complètement divisée.
Il y a en son sein des catholiques, les uns rénovateurs, les autres traditionalistes,
il y a des protestants, des anglicans, des orthodoxes, etc. S’il y a
eu tant de désaccords au cours des 2 000 ans de christianisme, c’est qu’à
la base il y a une question de vérité, “la” vérité est en cause. Une vérité
claire et sans faille n’amène, au sein d’un groupe constitué, ni contestation,
ni divergence. S’il y a eu autant de divisions parmi les membres de
la religion chrétienne c’est parce que la vérité que prêche cette religion
est déformée, parce que, depuis longtemps cette religion n’est plus dans
le vrai, elle ne proclame pas la “vraie vérité”, comme disent nos enfants…
La vérité essentielle que cette religion devrait apporter à l’humanité a
été, dès son début volontairement occultée par ceux qui avaient en charge
de la diffuser dans le monde et, bien malheureusement aujourd’hui, elle
est encore pareillement occultée par leurs successeurs.
Ce qui est important de comprendre c'est que l'univers est infini, qu'il y a
l'infini dans le temps et dans l'espace, que l'univers ne peut pas avoir de
“centre” ni un “début”, ni une “fin” puisqu'il est justement “infini”.
Toutefois parmi nos semblables, qui ne pouvaient pas comprendre lors
des époques reculées, deux types de raisonnements très différents se sont
développés :
Il y a ceux dans l'esprit desquels “dieu” est un concept qui , en fait,
ne signifie rien d'autres que “l'infini” : quelque chose d'éternel, d'omniprésent
et d'impalpable, mais n'ayant aucun pouvoir sur les individus
que nous sommes.
Et il y a ceux qui cachent derrière le mot “dieu” un être à barbe
blanche assis sur son nuage et qui aurait créé l'homme à son image…
qui serait le seul être existant “de toute éternité” et qui aurait absolument
tous pouvoirs sur les pauvres et faibles créatures que nous
serions !
Mais, que s'est-il passé au juste ? Comment avons-nous pu nous fourvoyer
dans un concept aussi aberrant ? Réponse : il y a eu depuis les origines un
amalgame extraordinaire entre deux conceptions, entre deux réalités totalement
différentes mais que l'on a englobé sous une même appellation
qu'il faut nommer de son vrai nom… une “appellation incontrôlée”. Les
Elohim, nos créateurs, avaient expliqué à nos lointains ancêtres, les premiers
hommes, qu'il y avait d'une part “l'infini”, présent partout, une réapoison_
POISON BLANC
234
lité “éternelle” (nous en sommes une partie et il est une partie de nous) et
d'autre part, eux, les Elohim, des “humanoïdes” ayant 50 000 ans d'avances
scientifiques et philosophique sur nous et nous ayant créés à leur image.
Peu à peu, on a d'abord attribué aux Elohim les propriétés de l'infini, ce qui
est en partie vrai puisqu'ils ont réussi à se rendre 'éternels' grâce à leur
science, et puis, on a attribué à l'infini le pouvoir de se manifester en nous
envoyant des messagers célestes, nos créateurs, ce qui est également en partie
vrai puisque les Elohim sont un peu l'instrument de l'infini dans leur
création d'être intelligents leur ressemblant. Seulement on a négligé
l'énorme différence existante entre les Elohim et l'infini : l'infini, lui, ne
nous observe pas, ni directement ni en permanence et il n'a lui-même
aucune conscience de nos actes individuels. Pour l'infini dans le temps et
dans l'espace, que l'humanité pénètre dans un âge d'or ou s'autodétruise,
ça n'a aucune espèce d'importance, pas plus que n'en a pour nous la molécule
de notre doigt que nous laissons sur une étoffe en la caressant. L'infini
est un concept sans identité, ne pouvant avoir aucune conscience de notre
propre existence, ni de la sienne, ni de quoi que ce soit d'autre d'ailleurs.
Il ne faut pas faire de nos créateurs, les Elohim, des êtres que nous devrions
vénérer à genoux ou à, plat ventre, non, il faut les considérer comme nos
grands frères de l'infini, que nous devons aimer car nous aussi, un jour ou
l'autre, nous souhaiterions être aimés par ceux que nous parviendrons à
créer à notre tour. Le temps de croire aveuglément est révolu, le temps est
là maintenant de comprendre… et ceci toujours avec l'Amour comme facteur
constant de nos décisions et lien de nos actions.
Nos créateurs ont eu sept bases sur terre, sept laboratoires, c'est pour cela
que certaines écritures parlent des sept yeux de Jahweh sur terre, et d'où
aussi le chandelier à sept branches chez les “juifs”. Dans chacun de ces
laboratoires ils ont créé la vie, y-compris l'homme à leur image et ressemblance,
et le premier homme dans le laboratoire situé dans le jardin
d'Eden. Pourquoi en tout sept bases, sept laboratoires ? Parce que à l'origine
il y a avait chez nos créateurs sept races différentes et en créant sur
terre la vie, ils ont en quelque sorte, recréé sur terre leurs sept races originelles.
Il y a donc chez nos créateurs, dans les cieux, parmi les Elohim, des
êtres noirs, blancs, jaunes, rouges, etc. Kimpa Vita et Simon Kimbangu
étaient bel et bien dans la vérité quand ils disaient : « l'homme noir a été
créé par des dieux créateurs noirs… et il y a des Kongos, des noirs dans
les cieux » !
21. LE MONOTHÉISME JUDÉO-CHRÉTIEN : PIÈGE, TROMPERIE, ESCROQUERIE ?
235
Il y a de ces livres que l'Eglise a toujours voulu cacher, car il y a tellement
de vérités dans ces manuscrits, dits ou appelés “apocryphes” ( rejetés, non
reconnus, interdits par l'Eglise), car elle, l'Eglise, s'y trouve gênée, les
anges n'y étant pas du tout asexués, y étant clairement ce qu'on appelle de
nos jours des Extra-Terrestres ! Les dieux créateurs : des hommes ?
Réponse : Oui ! Et il fallait donc pour l'Eglise à tout prix éliminer partout
ce fait que les dieux sont humains. Un de ces livres ou manuscrits apocryphes
qui gêne l'Eglise est un écrit ante-diluvien (d'avant le déluge), il
s'agit du livre d'Enoch, regardons un peu le passage du Chapitre VII 1-2,
10-11 du livre d'Enoch qui rejoint celui de la Genèse VI, 1-4 ; celui de
Enoch étant beaucoup plus explicite :
« Quand les enfants des hommes se furent multipliés…il arriva que des
filles leur naquirent élégantes et belles. Et lorsque les Anges, les Enfants
Des Cieux les eurent vues, ils en devinrent amoureux ; et ils se dirent les
uns aux autres : choisissons-nous des femmes de la race des hommes et
ayons des enfants avec elles… Et ils se choisirent chacun une femme, et
ILS S'EN APPROCHRENT [donc ils s'accouplèrent avec elles]… Et ces
femmes conçurent et elles enfantèrent des géants. »
Dans la Bible originale en Hébreu ancien, les Elohim correspondent toujours
à une description d'êtres anthropoïdes, donc humains et physiques,
un exemple parmi tant d'autres :
« Jahweh conversait avec Moïse face à face, comme un homme converse
avec un ami. » (EXODE XXXIII 11 – version Dhorme)
Prenons à présent ce qu'on peut quelque part appeler une Bible africaine,
le “Kebra Negast” (Kebra Negest), cet écrit Ethiopien, dont la version la
plus ancienne date d'environ 800 avant Jésus-Christ. Cet écrit relate beaucoup
la relation entre le Roi Salmon et la Reine de Saba, de son vrai nom
“Makeda”. Que dit le Kebra Negast en chapitre 30 ? Hé bien, on peut y lire
chose suivante :
« Il ( Salomon), lui offrait tous les délices, toutes les richesses, des habits
de la plus grande beauté en tout ce que le pays Ethiopie aurait pu souhaiter,
des chameaux et chariots, six mille en nombre, chargés avec des affaires
précieuses. Et aussi des véhicules permettant de voyager sur la terre et un
véhicule qui se déplaçait dans les airs, que le Roi avait à sa disposition
grâce à une science lui confié par Jahweh » !
Très étonnant tout cela ! Le chroniqueur fait clairement une différence
entre des véhicules qui roule sur la terre et un véhicule qui permet de
POISON BLANC
236
voyager dans l'espace, dans les airs ! Plus tard, de la liaison amoureuse entre
le Roi Salomon (appelé Suleiman chez les Arabes) et la Reine de Saba
(appelée la Reine Bilkis chez les Arabes), va naître un fils (Menelik I). Le
Kebra Negast nous raconte que ce dernier, ayant un certain âge, se déplacera
d'Ethiopie vers Jérusalem pour aller visiter son père et que l'aller se
faisait avec une caravane de chameaux, sous la chaleur du soleil, mais que
le prince éthiopien fit le chemin de retour à bord d'un 'véhicule céleste', qu'il
avait dérobé à son père, le Roi Salomon ! Regardons un peu de plus près
le chapitre 52 et 58 du “Kebra Negast” :
« Et tout allait à grande vitesse sur le véhicule, comme un vent, comme un
aigle transporté légèrement par le vent [chapitre 52] Et les habitants
d'Egypte leur racontaient [les poursuivants, envoyés par le Roi Salomon]
que les hommes d'Ethiopie étaient déjà passé depuis longtemps, parce
qu'ils voyageaient avec un véhicule des anges, plus rapide que les aigles
dans le ciel… [chapitre 58] C'était le troisième jour qu'il [le prince
Ethiopien] partait et quand son véhicule fut complètement chargé, ils ne
roulaient par sur la terre, mais ils planaient avec leur véhicule sur le vent.
Ils étaient beaucoup plus rapides que les aigles dans les airs et ils prenaient
toutes leurs marchandises avec eux à bord de leur véhicule qui se déplaçait
sur le vent. »
Encore en chapitre 58 du Kebra Negast :
« Le Roi et tous ceux qui étaient sous sa guidance, volaient avec le véhicule,
sans maladie ou souffrance, sans faim ou soif, sans transpiration ou
fatigue, car ils pouvaient faire ainsi en une journée la distance de trois
mois. »
Ainsi, le fait historique que le Roi Salomon faisait mensuellement un allerretour,
Jérusalem/Ethiopie, pour rendre visite à son amoureuse, la Reine
de Saba, devient explicable et compréhensible. Il pouvait faire, à bord
d'un véhicule céleste, ce voyage en une journée, alors qu'une caravane de
chameaux parcourait, à l'époque, cette distance en trois mois ! Comment
est-ce possible tout cela ? Hé bien, le temple du Roi Salomon était jadis
une résidence, une ambassade, édifiée pour nos dieux créateurs, les Elohim,
où ils venaient régulièrement. Et les Elohim avaient doté le Roi Salomon
de certains véhicules lui permettant de se déplacer sur terre et dans les airs,
ainsi que bien d'autres avantages “scientifiques” dont Salomon pouvait
bénéficier de leur part ! Les Ethiopiens parlaient ainsi du 'trône volant' du
Roi Salomon, lui permettant de faire 5 000 kms en une journée !
21. LE MONOTHÉISME JUDÉO-CHRÉTIEN : PIÈGE, TROMPERIE, ESCROQUERIE ?
21. LE MONOTHÉISME JUDÉO-CHRÉTIEN : PIÈGE, TROMPERIE, ESCROQUERIE ?
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Dans les pages du cahier central de ce livre, vous trouverez des illustrations
prouvant à quel point les engins volants, les vaisseaux spatiaux, les
soucoupes volantes, les Ovnis (UFOs) étaient omniprésents dans les
scènes bibliques, à travers tous les temps, allant de Moïse à Jésus, et
même bien avant… Et également durant l’ère de Bouddha et l’ancien
Hindouisme en extrême Orient. Nos créateurs, les êtres constituants ce
“peuple venu du ciel”, ont toujours été là, ont toujours été présents, ils
ont toujours observé les grands évènements survenant sur terre et en
particulier ils ont assisté tous les Prophètes qu’ils avaient envoyés ou
contactés à travers les différentes époques, ce sont eux qui sont à la base
des grandes religions que nous connaissons sur terre. Jugez-en par vousmêmes…
au regard de ce qu’on aperçoit sur ces photos !
Pour conclure ce chapitre, restons dans le domaine des vaisseaux interplanétaires
et régalons-nous avec un feu d’artifice de témoignages et de
déclarations fusant de la part de scientifiques, cosmonautes/astronautes
et hommes politiques, tous de très grande renommée…
Cette liste de personnes et de leurs propos sur ce sujet, déclarés et/ou
écrits, est très loin d’être exhaustive, il n’y aurait pas assez de place pour
envoyer au ciel de cet ouvrage le bouquet de fusées de toutes les déclarations
existantes et connues… voici donc pour vous, ma sélection de
quelques unes de ces fusées toutes plus éblouissantes les unes que les
autres :
Déclarations de grands et célèbres scientifiques :
Le célèbre physicien Stephen Hawking, qui fut invité à la Maison
Blanche, déclara à la télévision américaine le 6 mars 1998 :
« Bien sûr, il est possible que les OVNIS contiennent réellement des
extraterrestres comme le pensent beaucoup de gens, et que le gouvernement
le cache. »
Le Dr. Hermann Oberth, l’un des pères des fusées, a déclaré en 1960, une
fois à la retraite, à un groupe de journalistes :
« Les Ovnis sont conçus et dirigés par des êtres de la plus haute intelligence
[…] Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ces objets soient des
sortes de vaisseaux interplanétaires […] Je crois que des Intelligences
Extraterrestres observent la Terre et nous visitent depuis des milliers
d’années. »
POISON BLANC
238
M. Maurice Chatelain, un des concepteurs du programme Apollo, qui
était responsable des communications de la NASA, déclara en 1979 que
la durée de transmission du dialogue entre la tour de contrôle de la NASA
au sol et Apollo 11 permettait techniquement à la NASA de censurer des
informations en provenance des cosmonautes, et il déclara même également
ceci :
« Tous les vols Apollo et Gemini furent suivis à distance et quelque fois
de très près, par des vaisseaux spatiaux d’origine extraterrestre. A
chaque fois, les astronautes en informaient “Mission Control” au sol, qui
leurs enjoignait de garder le silence le plus complet. »
M. Maurice Chatelain déclara aussi, en d’autres circonstances, que tout
le monde à la NASA savait que les Astronautes observaient des Ovnis,
mais qu’une consigne très nette fût donnée à tout le monde, à savoir :
« ne jamais en parler » !
Le Dr. Dino Dini, ingénieur spatial de la NASA fit une révélation assez
étonnante lors d’une émission télévisée en Suisse, en 1997, au sujet des
Ovnis aperçus au cours du vol Apollo 11 :
« Partout où règne la confusion, au cours de la dernière guerre, pendant
la guerre du Golfe, partout où le chaos se déclenche, apparaissent ces
disques volants. Ceux-ci proviennent de stations postées près de la Terre
[…] Neil Armstrong [le premier astronaute à poser pied sur la lune] a vu
des objets qui le suivaient, des vaisseaux spatiaux qui suivaient Apollo,
et aussi des êtres vivants. Des vaisseaux ont également suivi les autres
missions Apollo. C’est là une réalité attestée. C’est nous qui en avons
entravé le discours global, car nous avions reçu des instructions en ce
sens. Nous étions effrayés au plus haut point lorsque nous avons compris
l’énorme différence qu’il y avait entre notre technique, notre science
et celle des Ovnis. Il est donc évident que cela nous a amené à donner
des avis négatifs, dans leur globalité. Indéniablement, le fait décevant est
que nous n’avons pas d’explications car notre science est encore pratiquement
primitive en comparaison de celle de ces planètes d’où proviennent
ces vaisseaux spatiaux. »
Le Dr. Lee Katchen, physicien, expert atmosphérique de la NASA,
déclara le 7 juin 1968 qu’il était persuadé que les Ovnis étaient d’origine
extra-terrestres et prononça les propos suivants :
« Les observations d’Ovnis sont si communes que les militaires n’ont pas
le temps de s’en occuper. Donc, ils les effacent de leurs écrans. Les prinpoison_
cipaux systèmes de défense (réseau SAGE) ont des filtres Ovni intégrés
et quand un Ovni apparaît, ils l’ignorent simplement. »
Dans un mémorandum déclassifié par le gouvernement canadien et daté
du 21 novembre 1950,Wilbert Smith écrit :
« Le sujet est de la plus haute confidentialité pour le gouvernement des
Etats-Unis, plus secret même que la bombe H. Les soucoupes volantes
existent et leur mode de fonctionnement est inconnu. »
Francis Crick, un des plus célèbres prix Nobel qui, en 1953, a découvert
la structure à double hélice de l'A.D.N., a écrit dans un livre intitulé
“Life Itself” (La Vie elle-même), paru aux USA chez Simon and Schuster,
le commentaire suivant :
« L'humanité a été créée par une supercivilisation de l'espace. »
Déclarations d’Astronautes, Cosmonautes et Pilotes :
Scott Carpenter qui a participé au programme Mercury, a déclaré :
« A aucun moment, alors qu’ils étaient dans l’espace, les astronautes
n’étaient seuls : ils étaient surveillés en permanence par les Ovnis. »
Le Sénateur, colonel John Glenn, le premier astronaute américain a déclaré :
« Certains rapports sur les Ovnis sont fondés. »
Le même, quelques années plus tard, c’était le mardi 6 mars 2001, déclara
sur la chaîne américaine NBC :
« En ces jours glorieux, j’étais très mal à l’aise lorsque l’on nous demandait
de dire des choses que nous ne voulions pas et d’en démentir
d’autres. Certaines personnes nous demandaient, vous savez, étiez-vous
seuls là haut ? Nous n’avons jamais répondu la vérité, et cependant
nous avons vu des choses là-bas, des choses étranges, mais nous savons
ce que nous avons vu là-haut. Et nous ne pouvions réellement rien dire.
Nos supérieurs avaient vraiment très peur de cela, ils avaient peur d’un
truc du genre de la guerre des mondes, et de la panique générale dans
les rues. Donc, nous devions rester silencieux. Et maintenant nous voyons
ces choses seulement dans nos cauchemars ou peut-être dans des films,
et certaines sont très proches de la vérité. »
Le Major Gordon Cooper, déclara avoir vu des Ovnis dans les années 50
en tant que pilote de chasse :
21. LE MONOTHÉISME JUDÉO-CHRÉTIEN : PIÈGE, TROMPERIE, ESCROQUERIE ?
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POISON BLANC
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« Pendant plusieurs jours d’affilée nous avons observé des engins métalliques
en forme de soucoupes, à de très hautes altitudes au-dessus de la
base, et nous avons essayé de nous rapprocher d’eux, mais ils étaient
capables de changer de direction beaucoup plus rapidement que nos
chasseurs. Je crois vraiment que les Ovnis existent et que les véritables
cas inexpliqués proviennent d’une autre civilisation technologiquement
avancée. »
En 1985, environ trente ans plus tard, G. Cooper fit une déclaration
solennelle aux Nations Unies :
« Je crois que ces vaisseaux extraterrestres et leurs équipages qui visitent
la Terre à partir d’autres planètes sont d’une manière évidente plus
avancés technologiquement que nous. Je pense que nous avons besoin
d’un programme coordonné de très haut niveau pour collecter et analyser
scientifiquement les données de l’ensemble de la planète sur les différents
types de rencontre afin de déterminer comment interagir au mieux
avec nos visiteurs d’une manière amicale. Nous devrions tout d’abord
leur montrer que nous avons appris à résoudre nos problèmes de manière
pacifique plutôt que par la guerre, avant d’être acceptés en tant que
membre à part entière de l’équipe universelle. Cette admission offrirait
à notre monde de fantastiques possibilités de progrès dans tous les
domaines. Il semblerait alors certain que les Nations Unies possèdent un
droit acquis à traiter ce sujet de façon appropriée et rapide. Pendant des
années, j’ai vécu avec un secret, le secret imposé à tous les spécialistes
et les astronautes. Je peux maintenant révéler que chaque jour, aux
Etats-Unis, nos radars repèrent des objets de forme et de nature inconnues.
Et il y a des milliers de rapports de témoins et quantités de documents
qui le prouvent, mais personne ne veut les rendre publics.
Pourquoi ? Parce que les autorités ont peur que les gens imaginent une
espèce d’horribles envahisseurs. Donc le maître mot demeure : Nous
devons éviter la panique à tout prix. »
L’Astronaute Edgar D. Mitchell, qui a piloté le module lunaire d’Apollo
14, a déclaré en 1971 :
« Nous savons tous que les Ovnis sont réels. La question est : d’où viennent-
ils ? »
Le même E. D. Mitchell déclara encore lors d’une conférence publique :
« Je suis convaincu qu’il existe d’autres formes de vie dans l’univers. La
question est de savoir quel est leur degré de développement, combien de
milliers d’années de plus que nous. D’après ce que je sais aujourd’hui,
d’après ce que j’ai vu et expérimenté, je pense que les preuves sont
formelles et beaucoup d’entre elles sont classées “top-secret” par le
gouvernement. »
Le Cosmonaute russe, Georgiy M. Grechko qui a participé à plusieurs
missions Soyuz et Salyut a déclaré :
« Si j’étais libre de dire ce que j’ai vu dans l’espace, le monde en serait
stupéfait. »
Le Commandant pilote J. Howard, a déclaré avoir vu un immense cigare
volant accompagné de 10 soucoupes volantes et dit :
« Ce doit être des espèces de vaisseaux aériens d’un autre monde. »
Le Commandant pilote W.B. Nash a déclaré avoir vu et observé 6 gros
disques volants et dit :
« Je crois que ces engins étaient commandés par des Intelligences
Extraterrestres. »
Déclarations d’hommes politiques :
Jimmy Carter, Président des Etats-Unis de 1977 à 1981 déclara lors de
sa campagne présidentielle avant d’être élu comme Président :
« Si je suis élu président, je ferai en sorte que toutes les informations
détenues par ce pays sur les observations d’Ovnis soient disponibles
pour le public et les scientifiques. Je suis convaincu que les Ovnis
existent parce que j’en ai vu un. »
Une fois élu, il n’a rien fait, mais peut-être n’a-t-il pas pu (?)
M.Mikhaïl Gorbachev, Président de l’URSS, déclara le 4 mai 1990 au
journal “Jeunesse Soviétique” :
« Le phénomène Ovni existe vraiment et il doit être traité sérieusement. »
L’Amiral Roscoe H. Hillenkoetter qui fut le premier directeur de la
C.I.A. déclara le 27 février 1960 :
« Il est grand temps que le Congrès fasse éclater la vérité grâce à des
auditions publiques […] Mais par le secret officiel et le ridicule, on a
amené les citoyens à croire que les Ovnis sont des absurdités. Pour
cacher les faits, l’Armée de l’Air a réduit au silence son personnel. »
21. LE MONOTHÉISME JUDÉO-CHRÉTIEN : PIÈGE, TROMPERIE, ESCROQUERIE ?
241
POISON BLANC
242
M. Albert M. Chop, directeur adjoint des relations publiques de la NASA
qui fut également rapporteur de l’US Air Force au sein du Projet Blue
Book a déclaré :
« Je suis convaincu depuis longtemps que les soucoupes volantes sont
réelles et d’origine extra-terrestre. De plus, nous sommes observés par
des êtres venant de l’espace. »
M. Dick D’Amato, spécialiste de la sûreté nationale et internationale
pour le sénateur Robert Byrd et membre du Conseil National de la
Sécurité (US) a déclaré en 1991 :
« …Une faction occulte du gouvernement, d’une puissance incroyable,
a tenu secrètes les informations sur les Ovnis et ils ont dépensé illégalement
d’énormes sommes d’argent dans cette opération. »
M. Nick Pope, fonctionnaire au ministère de la défense de Grande-
Bretagne, qui était au coeur de la recherche secrète sur les Ovnis pour le
gouvernement pendant 4 ans, de 1991 à 1994, avait fait sensation en
déclarant plus tard :
« Je crois aux extraterrestres. »
et il publia un livre “Open Skies, Closed Minds” (”Ciel ouvert, Esprits
fermés”). Il a eu accès à des informations “top-secret”. Ses supérieurs
hiérarchiques en devinrent furieux, mais M. Nick Pope ne s’est pas
rétracté.
Où est “Dieu unitaire et immatériel” dans tout cela ? Nulle part ! Des
témoignages de la vérité se trouvent dans pratiquement toutes les religions,
et, la Kaballe juive est un des livres les plus riches en témoignages,
dans le Cantique des Cantiques (V) il y a dans la Kaballe une
description de la planète des créateurs ainsi que la distance qui la sépare
de la terre, cette planète ne se trouve pas dans notre système solaire,
mais quelque part dans notre galaxie. On peut y lire que “la hauteur des
talons du créateur” est de 30 millions de “parasanges”. Le parasange est
une unité de mesure comme le parsec, qui signifie la distance que parcourt
la lumière en une seconde, donc environ 300 000 km. Donc la planète
de nos créateurs est située à neuf mille milliards de kms ou un peu
moins d'une année lumière. En nous déplaçant à la vitesse de la lumière,
soit à environ 300 000 km/sec, nous terriens, nous mettrions presque un
an pour arriver sur leur planète, et avec nos fusées actuelles qui ne se
déplacent qu'à 40 000 km/h, nous mettrions près de 90 000 ans avant d'arriver
chez eux ! Avec la compréhension que les Elohim de la Bible sont
des dieux-cosmonautes d'origine extra-terrestre, le récit biblique devient
logique, cohérent et parfaitement compatible avec les données scientifiques
de notre époque de conquête de l'espace, de biologie moléculaire
et de génétique.
21. LE MONOTHÉISME JUDÉO-CHRÉTIEN : PIÈGE, TROMPERIE, ESCROQUERIE ?
243
POISON BLANC
244
22. La véritable origine des évangiles
des Eglises Chrétiennes
« La Virginité de Marie ? Une aberration.
La Bible ? Un tissu de mensonges.
Les théologiens ? Des pédants qui “froncent
le sourcil” pour se donner l’air important.
Non, les femmes ne sont pas moins intelligentes que les hommes.
Non, les gens d’église ne devraient pas jouir de si grands biens
mais, se contenter d’un peu de bouillon; non,
les espagnols n’ont pas bien fait de découvrir l’Amérique,
car ils ont violé la vie d’autrui. »
– GIORDANO BRUNO (1548-1600) –
Le mot “Evangile” vient du grec “Euaggelion” qui veut dire “bonne
nouvelle”. Cependant, il y a déjà une première chose à dire concernant
ces évangiles : ils sont tous “selon” quelqu’un, selon Matthieu, selon
Marc, selon Luc, selon Jean. Nous n’avons aucune certitude concernant
l’identité de leurs auteurs.
Une deuxième chose maintenant : le clergé chrétien aime faire croire
que lorsqu’on parle des évangiles il s’agit d’une rédaction unique à partir
de textes initiaux. Dommage pour eux, mais c’est entièrement faux !
Les textes ont été remaniés, et encore une fois remaniés, manipulés et de
nouveau manipulés. Le fait est facilement démontré par les exégètes qui
se sont penchés sur ces textes-là, mais le clergé chrétien continue à
camoufler habilement cette information… on le comprend, que soit
connue la vérité à ce sujet… ce ne serait pas vraiment “une bonne nouvelle”
pour lui, mais bien plutôt la plus épouvantable des nouvelles !
Citons à ce sujet l’intéressant ouvrage du Père Kannengiesser : “Foi en
la résurrection, résurrection de la foi” (1974), où il écrit : « il ne faut pas
prendre au pied de la lettre les faits concernant Jésus rapportés par les
Evangiles qui ne sont que des oeuvres de circonstance ou de combats
[dont les rédacteurs …] consignent par écrit les traditions de leurs
communautés concernant Jésus ».
Fort intéressant, en tenant compte, en plus, du fait qu’aucun des auteurs
des Evangiles n’a été témoin oculaire de ce qu’il a écrit, aucun !
Kannengiesser parle de “combats”, pourquoi ? Parce que les Evangiles
sont un tri de textes, un assemblage de textes, fait dans un contexte
particulier et spécialement dans le contexte d’une lutte entre communautés
chrétiennes, entre Judéo-chrétiens et Pauliniens (les disciples de
Paul).
Les textes évangéliques que nous possédons aujourd’hui ont comme
base une remise à jour effectuée 100 ans après la mort de Jésus, et ceci
après déjà des remaniements suivant d’autres remaniements… le tout
opéré à partir de différentes sources (… au pluriel s’il vous plaît !)
Ces évangiles ne sont pas les premiers documents chrétiens ! Par exemple
l’Epître de Paul “aux Thessaloniciens” leur est antérieure d’au moins
50 ans. Et il faut noter que Paul était jugé par ses contemporains comme
quelqu’un qui avait trahi la pensée de Jésus. Tous les Apôtres l’ont considéré
comme un traître, pourtant c’est Paul qui va être le grand bâtisseur,
le fondateur du Christianisme tel que nous le connaissons encore aujourd’hui
! Ce christianisme ne serait pas actuellement ce qu’il est et les
Evangiles ne seraient pas non plus ce qu’ils sont, sans Paul et, plus tard
dans le temps, sans l’empereur Constantin.
Il faut le dire – même si c’est avec un réel et profond regret que nous le
disons – cette Religion, ses quatre Evangiles, la plupart des textes formant
le “Nouveau Testament”… tout cet ensemble constitue une trahison
permanente de la pensée de Jésus.
Il n’existe aucun témoignage qui soit daté d’avant 140 et qui relaterait
l’existence d’une quelconque collection d’écrits évangéliques.
C’est vers 170, d’après l’évaluation de T.O.B. (Traduction OEcuménique
de la Bible), qu’est apparu un statut canonique pour ces quatre évangiles.
T.O.B. dit très clairement que les textes évangéliques s’adaptaient « aux
divers milieux… », répondaient « aux besoins des églises… », exprimaient
« une réflexion sur l’Ecriture… » et répliquaient « …même à
22. LA VÉRITABLE ORIGINE DES ÉVANGILES DES EGLISES CHRÉTIENNES
245
POISON BLANC
246
l’occasion aux arguments des adversaires, et » [qu’ils avaient] « recueilli
et mis par écrit, selon leurs perspectives propres, ce qui leurs était donné
par les traditions orales » !
En d’autres termes, dans ces textes, on a de très nombreuses fois trié,
recueilli, sélectionné et souvent modifié… et ceci, toujours selon les
“besoins” et “les perspectives propres” !
Néanmoins, au concile “Vatican II” (Rome, 1962-65), concile ouvert
sous la Présidence de Jean XXIII – celui que les chrétiens de l’époque
aimaient appeler “le Bon pape Jean” – les cardinaux constituant cet aréopage,
tous ces grands spécialistes du mensonge, ont pu comme à leur
habitude c’est à dire sans aucun complexe, conclure leurs travaux en
déclarant à la face du monde… mais sans rire le moins du monde :
« l’Eglise […] affirme, sans hésiter, l’historicité des 4 évangiles qui transmettent
fidèlement ce que Jésus, le fils de Dieu, durant sa vie parmi les
hommes, a réellement fait et enseigné pour leur salut éternel jusqu’au jour
où il fut enlevé au ciel […] ».
C’est faux… une fois encore, mais là, le mensonge est particulièrement
grotesque, en plus !
Voyons de près ce qu’il en est :
Concernant Matthieu, il est de plus en plus souvent admis qu’il ne s’agissait
nullement d’un compagnon de Jésus, que l’auteur était juif, qu’il utilisait
un vocabulaire palestinien et que le texte était rédigé en grec ; on
a également découvert que l’auteur appartenait à une communauté judéochrétienne,
et qu’il était en rupture avec le Judaïsme.
Concernant Marc, ce n’est pas le livre d’un apôtre, mais le récit de quelqu’un
qui était probablement le disciple d’un apôtre (ça fait une
nuance !). Il y a beaucoup de latinismes dans son texte, donc il pourrait,
selon les hypothèses, avoir été écrit à Rome. Ce texte s’adresse à des chrétiens
qui ne vivent pas en Palestine.
Puis, concernant Luc, Kannengiesser dit par exemple la chose suivante :
« Luc est le plus sensible et le plus littéraire, il présente toutes les qualités
d’un vrai romancier », son évangile est écrit en grec classique, sans
barbarismes. T.O.B. dit : « le souci premier de Luc n’est pas de décrire
les faits dans leur exactitude matérielle ».
22. LA VÉRITABLE ORIGINE DES ÉVANGILES DES EGLISES CHRÉTIENNES
247
Enfin concernant Jean, les opinions les plus diverses sont émises. T.O.B
dit que : « tout porte à croire que le texte actuellement divulgué eut plusieurs
auteurs ». D’autres pensent que des additions ultérieures y ont
été apportées. Il règne une totale confusion quand à savoir qui est derrière
le (ou les) présumé(s) “auteur(s)” de cet évangile. De toutes façons
ici comme pour les trois autres on est devant l’inconnu concernant le (ou
les) rédacteur(s), du coup on comprend mieux pourquoi, pour ces quatre
évangiles, au lieu de citer à chaque fois le nom de l’auteur on emploie
la formule : “selon”…
Ce qui est intéressant à retenir, c’est qu’il n’existe, du moins en l’état
actuel de nos connaissances sur ce sujet, aucun écrit rédigé par un témoin
oculaire de la vie de Jésus, que les Evangiles ne sont en fait, qu’une
compilation d’informations concernant la vie publique de Jésus, et que
ces informations émanaient, et de traditions orales, et d’écrits disparus
aujourd’hui ! Lesquels “écrits disparus” étaient des intermédiaires entre
la tradition orale et les écrits définitifs.
Mais pourquoi ont-ils disparu ? Et, qui les a fait disparaître ? Ne seraitce
pas ceux déjà cités plus haut, en particulier l’Empereur Romain,
Constantin 1er le Grand… ceux-là mêmes qui veulent à tout prix faire
croire que ces évangiles sont une transmission fidèle de la vie et des
paroles de Jésus… et bien évidemment le Vatican ? Tout le monde est en
droit… au minimum, de se poser la question ? Même ceux qui n’ont
aucune aptitude particulière pour enquêter !
Les soi-disant textes initiaux, auxquels les sophistes-théologiens font souvent
allusion, n’ont jamais existé. Ce sont des copies datant du IVème au Xème
siècle de notre ère. Le nombre des copies de versions antérieures est d’environ
1 500, mais il n’y a pas de concordance entre elles. On a pu identifier
80 000 variantes, et il n’y a pas une seule page dans ces soi-disant textes
initiaux qui ne soit aujourd’hui l’objet de contradictions. De copie en copie
ces textes se sont trouvés transformés, modifiés, manipulés et adaptés pour
correspondre “aux besoins”, pour reprendre les mots de TOB. Ils sont
pleins d’erreurs et de tromperies – on en dénombre plusieurs centaines de
milliers – qui sont aisées à repérer, et qui sont connues.
Le recueil le plus important de ces “erreurs” est le “Codex Sinaiticus”
qui, tout comme le “Codex Vaticanus”, date du IVème siècle : il a été
découvert en 1844 dans une bibliothèque du couvent de Sainte-Catherine
POISON BLANC
248
dans le Sinaï ; il ne contient pas moins de 16 000 corrections manuelles
attribuées, en tout, à sept copieurs-traducteurs différents. Certains passages
ont même été, au fil du temps, changés trois fois pour être en fin de
compte, remplacés par des textes complètement différents. Mr. Friedrich
Delitzsch, auteur d’un dictionnaire d’ancien hébreu, et éminent spécialiste
de la Bible a détecté plus de 3 000 erreurs graves dans ce texte qui
appartient cependant au canon de l’Eglise Catholique.
Normalement quand on parle d’un “texte initial”, ceci suppose d’abord
l’existence d’un texte, évidemment, un “document initial”, mais encore
faut-il, pour qu’il soit vraiment “initial” qu’il s’agisse bien d’une première
version et qu’elle puisse être garantie “authentique”, que son origine
soit claire et incontestable. Eh bien, en l’occurrence dans aucun de
ces quatre Evangiles il n’y a le moindre texte, même partiel, pouvant
répondre à pareille définition !
De ce fait on comprend très bien Jean Schorer, recteur de la Cathédrale
Saint-Pïerre à Genève – son propos est assez percutant, jugez en plutôt –
il dit ceci : « la thèse que le Nouveau Testament est inspiré par “Dieu”
dans son intégralité est tout simplement injustifiable ».
Tous ceux qui sont de véritables athées – ceux pour qui “Dieu” n’est
qu’une invention des hommes – partageront bien évidemment son avis,
cela va de soi.
Mais revenons aux falsifications, à ce sujet Robert Kehl de l’université de
Zürich écrit ceci : « il apparaît souvent qu’un passage est corrigé par
quelqu’un, et puis après encore une fois par un autre copieur, traducteur,
afin de recevoir un tout autre sens, et ceci en fonction des concepts dogmatiques
d’une telle ou telle école théologique qui doivent être pris en
compte. Tout ceci a fait des textes un cafouillage terrible et les a déformés ».
La majorité des chrétiens sont des ignorants : les gens qui forment cette
majorité pensent que la Bible telle qu’elle est aujourd’hui a toujours
existé et que, depuis le début de son existence, elle a toujours eu la forme
sous laquelle ils la connaissent maintenant, ils pensent que “leur” Bible,
comprenant l’Ancien et le Nouveau Testament, a toujours eu les textes
qui la compose aujourd’hui.
Ils sont ignorants pour commencer, du simple fait que pendant deux
siècles les premiers chrétiens n’avaient pas d’écrits du tout, hormis
l’Ancien Testament, rédigé avant la naissance de Jésus-Christ ; d’ailleurs,
à cette période-là la version canonique actuelle de l’Ancien Testament
n’avait encore été, ni choisie ni arrêtée par les stratèges du Vatican, ou
du moins leurs prédécesseurs… pour ne pas commettre d’anachronisme.
Ils ignorent aussi, sûrement, que se sont déroulés au cours des siècles, entre
les diverses écoles et les divers courants de la pensée chrétienne des combats,
des querelles, des guerres, des confrontations… voire des meurtres de
personnalités – un exemple assez proche de nous : l’assassinat, plus que
probable, du Pape Jean-Paul 1er en 1978, après seulement 34 jours d’un
pontificat qui s’avérait devoir être (peut-être : on peut toujours rêver !)
réformateur, au point de bousculer de déplorables habitudes (“maffieuses”,
entre autres, mais “intellectuelles” aussi, telle la condamnation de la contraception),
toutes habitudes très profitables certes aux intérêts de certains
prélats, mais épouvantables pour une foule d’autres personnes.
Tous ces conflits avaient en effet pour cause de sérieuses divergences de
vue sur les doctrines à appliquer et les dogmes que la papauté entendait
imposer au “peuple chrétien”… et au monde, car telles ont toujours été
les dimensions de son ambition.
Cette majorité de chrétiens dont je parle, à l’évidence, ils ignorent que
c’est à cause de ces violentes luttes intestines qu’est née la nécessité
d’établir une base commune de doctrine. Et ils ignorent aussi, j’ai tout
lieu de le supposer, que pour palier ces aléas cette base a été construite
– mais 200 ans seulement après la mort de Jésus – et s’est établie sur le
socle de plusieurs compromis, dont celui-ci : il faudra dire et faire savoir
partout que ces textes “sacrés” (les fameuses “écritures saintes” !) sont
inspirés par “Dieu”, que ces textes que nous entrons au canon de notre
Eglise, sont “la parole de Dieu” ! Bien sûr, aux yeux de la “haute” hiérarchie
de cette Eglise, il allait de soi que tous les autres textes (ou tous les
textes des autres, c’est au choix !) devraient obligatoirement être considérés
par le monde entier comme “nuls et non avenus”.
En toute justice comme par simple logique, ceux qui ont déformé à un
point tel les Ecritures ne devraient plus avoir… et depuis bien longtemps,
le droit de faire de la théologie une science… ni de proclamer
qu’avec eux, avec leur Eglise Catholique, le Vatican est seul détenteur de
l’authentique “parole de Dieu”, ils devraient plutôt avoir honte de perpétuer
une organisation aussi mensongère.
249
22. LA VÉRITABLE ORIGINE DES ÉVANGILES DES EGLISES CHRÉTIENNES
POISON BLANC
250
Quand à leurs valets africains en soutane, qu’elles soient noire ou rouge,
eux qui se sont mis au service de cette Eglise mafieuse, ils devraient
avoir encore plus de honte, en pensant qu’ils ont abjuré la religion de
leurs ancêtres, une religion honnête celle-là, et ont abandonné dans le
malheur tous leurs frères et soeurs Africain(e)s… enfermé(e)s dans les
griffes de cette Religion Romaine… souvent même à l’insu de leur
propre conscience !
Comme on vient de le voir, il y a de quoi se poser des questions sur le
sérieux des informations transmises par “les quatre évangiles”. Non seulement
il y a de nombreuses différences entre les quatre, on pourra le
constater plus aisément en consultant “les Synoptiques”, cette version où
les textes sont présentés sur quatre colonnes adjacentes (une par évangéliste)
pour permettre une comparaison immédiate. De nombreuses
divergences concernent certes des détails de grammaires et de vocabulaires,
d’ordre des mots, mais il y a aussi des divergences plus graves qui
affectent le sens de passages entiers, et il y en a une autre qui est aussi
d’importance : il est impossible de faire concorder les différents tableaux
de la généalogie de Jésus.
Il existe, en plus dans ces quatre évangiles, des faits qui se contredisent
d’un texte à l’autre, ce qui démontre bien que ces textes ont été trafiqués
abondamment (… et séparément !), en vue de faciliter l’intégration des
quelques parcelles à chaque fois retenues pour devenir canoniques, et
même en réalisant ce travail-là, l’Eglise n’a pas voulu – ou n’a pas pu –
tenir compte de l’existence de multiples erreurs : elle les a laissé en
place ; on a vu plus haut ce qu’en pensent les spécialistes intéressés !
Mais de toutes façons, comment pouvait-elle venir à bout de tous ces problèmes,
avec des documents dont les textes ont été tant de fois
trafiqués ?
23. Paul, bâtisseur du
Christianisme : l’homme du
mensonge et de l’antisémitisme
« L’Eglise Catholique n’agit jamais que dans son propre intérêt, se tait
lorsqu’il faudrait parler, ai-je dit, quand cela devient trop dangereux pour
elle, elle se retranche derrière Jésus-Christ, exploité depuis des millénaires. »
– THOMAS BERNHARD, écrivain autrichien (1931-1989) –
Sans aucun doute on peut aisément dire que Paul est, de par son travail
apostolique et théologique, le véritable fondateur du Christianisme. C’est
Paul qui a fait du Christianisme une religion universelle.
Il faut regarder avec une attention toute particulière ce personnage car il
est à la base du Christianisme or en même temps, vivant cet homme était
un paradoxe et, à ce jour, il reste le paradoxe le plus déconcertant de toute
l’histoire des religions : il demeure ce personnage qui a fondé le
Christianisme et ce même personnage qui a férocement participé à la lutte
du sanhédrin de Jérusalem contre les zélotes et autres “messianistes” ;
c’est donc un personnage double, qui, d’un côté, a établi au plan mondial
le Christianisme comme une nouvelle religion basée sur Jésus-
Christ, et d’un autre, s’est employé à persécuter les propres disciples de
Jésus lui-même ! Eh oui, le fondateur du Christianisme a persécuté les
autres disciples de Jésus et non seulement eux, mais en plus les membres
de la famille de Jésus !
C’est d’ailleurs également le seul “saint” connu comme responsable du
meurtre d’un autre “saint”, le proto-martyr Etienne, lapidé à Jérusalem
vers 37… il nous est cependant rapporté que c’est en 36 que Paul eut, sur
le chemin de Damas, cette vision de Jésus qui allait bouleverser sa vie,
du moins c’est ce qu’il ira répétant ensuite sans se lasser !
251
POISON BLANC
252
Une autre spécificité personnelle de Paul, c'est qu'il tient des propos
outranciers à l'égard des juifs. Car, il est responsable d'une cassure dans
le peuple juif, mais aussi d'une autre cassure, celle-là au sein de la communauté
chrétienne ; en effet, rapidement il se pose en rival de Jacques,
Pierre et les autres.
Mais Paul, lui, se prévalait de son côté - sans doute par envie de “se
faire valoir” - d'une légitimité que Jésus lui aurait accordée lors d'un
dialogue entre eux, seul à seul sur le chemin de Damas, en 36 donc, soit
après la “résurrection” de Jésus et son “ascension” dans les cieux. Ceci
étant, Jésus “le ressuscité” étant alors “monté au Ciel”, ceux autour de
Jacques, le frère de Jésus continueront à respecter la Loi Mosaïque, tandis
que Paul – et les disciples qu'il va convaincre – eux, se moqueront de
cette loi de Moïse!
A tous ses détracteurs, Paul opposera systématiquement la foi dans le
Christ ressuscité, et ainsi, il va tout brouiller. Il imposera systématiquement
son interprétation des événements en se prévalant de sa fameuse aventure
singulière… toujours celle qu’il dit avoir vécu sur le chemin de Damas.
De ce conflit naîtra en lui, une véritable phobie à l’encontre de la Loi et
les conséquences en seront désastreuses : la fidélité des juifs à la Loi
Mosaïque sera mise au débit de leur “obstination”. Ainsi, à cause de
Paul, les “païens” vont commencer à considérer les Juifs comme des
êtres vindicatifs, des gens ayant transformé “la Loi” en occasion de
pouvoir et incapables de se défaire de ce mauvais penchant, au risque
d’étouffer “la bonne nouvelle” apportée par Jésus. Ce qui va conduire ces
mêmes “païens” à affirmer que les Juifs se séparent délibérément du
genre humain dans leurs pratiques cultuelles et alimentaires, qu’ils
s’attachent comme des avares à “la Loi” et progressivement, ceci les
emmènera jusqu’à porter sur les Juifs une accusation – terrible dans le
climat religieux de l’époque et même encore de nos jours – faisant d’eux
des “déicides” (ceux qui ont tué “Dieu”).
En d’autres mots, c’est avec Paul, avec le fondateur du Christianisme
actuel – dès les premières années de cette nouvelle religion mise en
place par lui – que l’antisémitisme a vu le jour et tout de suite pris son
sinistre envol !
Il ne faut pas oublier que les chrétiens des “synagogues nazaréennes” ont
été persécutés par les juifs non-convertis et puis par les Romains. Il faut
voir aussi que la prédication de Paul intervient alors que le deuxième
Temple tremble sur ses bases, et qu’à ce moment-là la police du Temple
persécute sévèrement les apôtres originels. Ces derniers vont, dès l’an 40
disparaître les uns après les autres, il n’en restera qu’une petite poignée
qui, eux aussi, disparaîtront après la destruction du Temple de Jérusalem
par les Romains, en 70.
On peut aisément dire que, sans Paul, le Christianisme n’aurait probablement
pas existé. Mais il faut ajouter que Paul, en s’appropriant l’enseignement
de Jésus et en l’interprétant à sa guise – contre la volonté du
Conseil apostolique de Jérusalem, entre autre – a changé le destin du
monde, en trahissant ce Jésus qu’il avait connu et qu’il présentait, après
sa mort, comme étant son Maître ! Jésus, dont on peut affirmer qu’il
n’avait certainement pas l’intention de développer une religion basée
sur des dogmes tels que ceux que la Religion chrétienne impose… soidisant
en son nom. Lui, de là où il est à présent, ne doit certainement pas
être heureux de voir que le Christianisme s’est développé sur une interprétation
de son enseignement, pour le moins “erronée”… et c’est bien
peu dire !
Tout ce qui précède, l’Eglise Catholique Romaine sait fort bien que c’est
vrai, mais elle maintient en vie sa géante hypocrisie et elle le fait de sa
propre volonté. Dans cette optique, on comprend beaucoup mieux les
efforts de toute nature fournis par l’Eglise Catholique pour retarder la
publication des “manuscrits de la mer Morte” (les Manuscrits de
Qumran), ainsi que son degré d’intervention dans les recherches qumraniennes.
Il y a de quoi avoir de sérieux soupçons sur sa façon d’agir en la circonstance,
vu la rigidité du cadre de ces recherches et le consensus de
façade affiché en ce qui concerne le contenu et la datation de ces manuscrits…
quand on sait que ceux-ci pourraient mettre le feu aux poudres de
la théologie chrétienne traditionnelle, voire, pourraient remettre carrément
en cause le dogme fondamental du christianisme. Ces rouleaux
contiennent-ils des choses compromettantes qui contrediraient la
Tradition ? On est tout à fait en droit de se poser la question, vu qu’il
n’existe aucune étude impartiale les concernant. D'ailleurs, faisons ici, à
ce sujet, une bonne publicité pour un excellent ouvrage : “La Bible confisquée,
enquête sur le détournement des manuscrits de la Mer Morte”,
Michael Baignent & Richard Leigh, éditions librairies Plon, 1992, Paris.
253
23. PAUL, BÂTISSEUR DU CHRISTIANISME : L’HOMME DU MENSONGE ET DE L’ANTISÉMITISME
POISON BLANC
254
Quelle équipe s'est essentiellement s'occupé de l'analyse, de l'étude des
rouleaux de la Mer Morte, et devrait les publier avec la conclusion de ses
études ? C'était une équipe autour du père de Vaux, un fervent moine
catholique dominicain, directeur depuis 1945 de l'Ecole Biblique francodominicaine
de Jérusalem. On dit de ce père de Vaux, qu'il était quelqu'un
de méchant, étroit d'esprit, très vindicatif et réputé pour son
anti-sémitisme ! Comment a-t-on pu confier à un personnage pareille des
recherches si importantes que celles sur les rouleaux de la Mer Morte ?!
Par qui va-t-il encore, entre autre, se faire assister ? Il se fera assister du
père Josef Milik, un prêtre polonais installé en France, le père Starcky,
le père Emile Puech, le père Jérôme Murphy O’Connor, et John Strugnel,
ce dernier aurait dit du judaïsme : « c'est une religion horrible. C'est une
hérésie du christianisme et nous avons de multiples moyens de nous
débarrasser des hérétiques » ! L'Independant londonien attribua à
Strugnell aussi la citation suivante : « La “solution” envers le judaïsme,
était la conversion massive au christianisme » ! Cela fait maintenant plus
d'un demi-siècle qu'un petit cercle d'extrémistes catholiques monopolisent
en toute impunité l'étude de la partie la plus importante de ces rouleaux,
sans publier quoi que ce soit de substantiel ! Des requêtes de
spécialistes Israéliens voulant étudier les rouleaux en possession de ce
clan fermé vont systématiquement être rejetées !
Il est fortement intéressant de noter que cette fameuse Ecole Biblique
franco-dominicaine qui s'est emparé de la partie la plus importante des
rouleaux de la Mer Morte à des comptes à rendre à la Commission
biblique pontificale et à la Congrégation pour la doctrine de la foi, qui
n'est rien d'autres que la prolongation du Sainte-Office de l'Inquisition de
jadis, et qui a été pendant de longues années sous la direction de Mr.
Ratzinger, l'actuel Pape !
Tous ces “savants” qui travaillent sur ces rouleaux, sont toujours des
chrétiens formés par le Nouveau Testament et ne sont au fait que des
agents du Vatican, ayant comme mission de ne pas publier de véritables
résultats ou de supprimer des textes… comment pourraient-ils être impartial
?! En 1985, un député de la Knesset, le parlement israélien, Yuval
Ne'eman, évoqua devant la Knesset le problème des rouleaux de la Mer
Morte, parlant d'un “scandale” et mettait en cause le fait qu'un petit
cercle fermé de “savants” catholiques partiaux pouvait encore exercer un
contrôle total sur une grande partie des rouleaux comportant les textes
les plus intéressant, c'est-à-dire, ceux considérés comme apocryphes, et
qui dataient de l'ancien régime jordanien, et devraient de nos jours revenir
à l'Etat d'Israël !
Bien heureusement, il y a des textes, également retrouvés, ceci avant la
découverte de ceux de Qumran, mais ceux-là ailleurs, notamment dans
la geniza (sorte de sacristie) d'une ancienne synagogue qaraïte du Vieux-
Caire, au total 164 boîtes de manuscrits, quelque 100 000 pièces, dont
deux manuscrits hébreux, qu'on appellera plus tard, l'Ecrit de Damas, un
texte apocryphe explosif de l'Ancien Testament, qui figure comme par
hasard sur la liste informatisée des tous les documents des rouleaux de
la Mer Morte de Qumran traités par l'équipe de l'Ecole Biblique du père
de Vaux cité plus haut !
Qu'apprend-on dans l'Ecrit de Damas ? Qu'après la mort de Jésus et la
disparition de Marie Madeleine du décor, Paul va être l'instigateur d'un
schisme au sein de la communauté des disciples de Jésus, et que le frère
de Jésus, Jacques, sera son adversaire… que Jacques, aurait pris la relève
de Jésus et qu'il aurait guidé ceux restés fidèles aux enseignements de
Jésus. Ainsi des chercheurs et savants, tels que Robert Eisenman, qui se
sont penchés sur cet Ecrit, affirme que Jacques s'était profilé comme
gardien de l'enseignement originel de Jésus et qu'il était en conflit avec
Paul ! Ces chercheurs, admettent et affirment que si le courant religieux
s'était développé uniquement selon le concept de Jacques, qu'il n'y aurait,
de nos jours, pas de Christianisme du tout sur terre ! L'enseignement de
Jésus et de Jacques, son frère, n'ayant qu'été une branche du judaïsme !
C'est à cause de Paul et sa fausse prédication, que trois siècles plus tard,
une nouvelle religion, le Christianisme, va naître, s'éloignant totalement
de l'enseignement de son fondateur présumé, c'est-à-dire, Jésus !
L'Eglise Catholique Romaine, a volontairement, mis Jacques, le frère de
Jésus, plus qu'à l'arrière-plan. Il existe d'ailleurs toute une série de textes
grecs, les Reconnaissances, qu'on appelle anti-pauliniens, donc contre
Paul, datant du IIème siècle ap. J.-C. Dans tous ces textes gênant, comme
l'Ecrit de Damas, les Reconnaissances, les textes de Eusèbe de Césarée
de Judée au IVème siècle (qui se base sur les oeuvres de Hégésippe, IIème
siècle), les textes de Qumran et le commentaire d'Habacuc etc., Jacques,
le frère de Jésus, y est appelé “le juste”, “le Maître de Justice”, “le
Gardien du peuple”, chef de la communauté de Qumran ! On y dit aussi
que Jacques doit affronter un ennemi, appelé “l'homme du mensonge”,
255
23. PAUL, BÂTISSEUR DU CHRISTIANISME : L’HOMME DU MENSONGE ET DE L’ANTISÉMITISME
POISON BLANC
256
qui s'est fait admettre au sein de la communauté, qui a infiltré cette communauté
afin d'y semer des conflits et la discorde, qui a détourné des
membres de cette communauté, pour se dresser contre Jacques, frère de
Jésus ! On y lit que l'homme du mensonge, Paul, effectue des oeuvres et
ruses de tromperie, qu'il égare des gens de la vrai voie !
D'ailleurs, dans les textes bibliques concernant Paul, c'est presque une
obsession pour Paul d'essayer de se défendre de l'accusation qu'il ment…
pas pour rien, il est comme un grand menteur, qui ment, pour dire ou
défendre qu'il ne ment pas :
« Je dis vrai, je ne mens pas. » [TIMOTHÉE I, 2, 7]
« Le Dieu et père du Seigneur Jésus…sait que je ne mens pas. »
[2ème Epître aux Corinthiens]
Certains chercheurs, comme Robert Eisenman, vont même jusqu'à
défendre la thèse que Paul, aurait été un agent secret ou un informateur
à la solde des Romains, car ce qu'on peut encore dire de Paul, d'après les
textes, c'est qu'il a été protégé par les Tribuns romains, qu'il s'entretenait
en privé avec le procurateur romain Antonius Félix, qu'il semblait
connaître le beau-frère de ce dernier, le roi Hérode Agrippa II, et sa
soeur, que Paul était riche, qu'il était citoyen romain en relation avec les
plus hautes autorités romaines, les Romains interviennent salutairement
pour lui sauver la vie, il reçoit une énorme escorte des romains, il recevra
un séjour luxueux en captivité romaine, puis, un peu plus tard, il
disparaît comme par mystère de la scène de l'histoire pour vivre on ne
sait où en toute tranquillité ! Donc, quelque part, on sauve son propre
agent secret pour qu'il ne soit pas lynché, puis on l'arrête, on le fait passer
pour un criminel et adversaire, et en prison on le gâte bien, puis au
bout d'un temps, on le relâche sous une autre identité ! Mais, ce qu'il a
créé avec ses fausses prédications, va faire naître plus tard, ce que nous
appelons de nos jours, le Christianisme…qui aurait pu prévoir cela ?!
Incroyable !
Ces rouleaux de Qumran sont-ils “prèchrétiens” ou “postchrétiens''? Ce
serait important à savoir, car s'ils sont d'avant l'ère chrétienne, ils compromettent
l'originalité du Christ en démontrant que ses paroles et son
enseignement étaient issus d'un courant de pensée qui était déjà “dans
l'air”. Et, s'ils sont du temps même de Jésus, de son vivant, là, c'est
encore plus embêtant pour l'Eglise, car pour le coup, le “maître de
Justice” dont il est fait mention dans ces textes pourrait bien être assimilé
à Jésus lui-même, et ceci prouverait que ses contemporains ne le considéraient
pas comme quelqu'un de “divin”… ce serait plutôt gênant pour
l'Eglise, car elle souhaite ardemment obliger le monde entier à croire qu'il
est “Fils de Dieu” et “Dieu le Fils” : deuxième personne de sa fumeuse
invention : “la Sainte Trinité” ! Et s'ils sont postchrétiens, donc rédigés
après la mort de Jésus, là aussi, c'est embêtant pour l'Eglise, car là, le
“Maître de Justice”, “le Juste” est clairement Jacques, le frère de Jésus !
En résumé, ils sont gênants pour l'Eglise !
D’importance également, le fait que ces textes mettraient certainement
en évidence une scission existante au sein de la communauté des disciples
de Jésus, avec une condamnation par les apôtres de celui qui fut le
fondateur du Christianisme : Paul. D’ailleurs dans ces “Manuscrits de
Qumran”, lui, il est toujours nommé : “l’homme du mensonge” !
Tout porte à croire que, dans de nombreuses études publiées, la datation
des “Manuscrits de la mer Morte” a été suréva¬luée, que l'Eglise les a
fait considérer comme antérieurs au Christ pour ne pas remettre en question
l'enseignement de Paul, contesté par les disciples de Jésus, car c'est
sur cet “homme du mensonge” que l'Eglise s'est bâtie… et non pas sur
Pierre, Jacques, le frère de Jésus, ou Marie Madeleine!
A partir de lui, Paul – “l'homme du mensonge” comme le nomment à
juste titre ces précieux manuscrits – la première page rouge (le “rougesang”
des martyrs) du Christianisme va commencer à s'écrire. Cette
Religion Chrétienne, responsable au fil des siècles d'une multitude d'atrocités
gigantesques, ce n'est pas notre Religion, cela ne fait pas partie de
notre patrimoine africain ! C'est une Religion venue de l'extérieur : elle
nous a été imposée par la force, par le sang et avec une multitude de profondes
humiliations.
Bien heureusement, voici qu’arrive “le début de la fin” pour cette imposture
religieuse qui aura duré plus de deux mille ans. Et c’est grâce à la
découverte de quelques manuscrits : celui de Nag Hammadi en Egypte
en 1945 et ceux de Qumran, découverts en Palestine en 1947, que la
vérité maintenant apparaît. Grâce à ces manuscrits nous découvrons que
les premiers pas du christianisme ont été complètement différents de ce
qu’on a tenté – et qu’on tente encore – de nous faire croire aujourd’hui :
des courants différents existaient au sein de cette nouvelle Religion et,
23. PAUL, BÂTISSEUR DU CHRISTIANISME : L’HOMME DU MENSONGE ET DE L’ANTISÉMITISME
257
POISON BLANC
258
au cours de cette époque, les groupes de “premiers chrétiens” s’entretuaient
à Rome ou à Jérusalem comme deux bandes maffieuses rivales
à New York à l’époque de Al Capone.
Ces manuscrits nous apportent la preuve que Jésus n’était pas “Dieu” en
personne, qu’il était marié et qu’il eut une descendance, qu’il n’a pas
souffert sur la croix, qu’il n’était pas “le Messie annoncé”, mais qu’il était
un Prophète “humain”, ce qui est déjà beaucoup : la réalité, c’est qu’il
s’inscrit dans une lignée de Prophètes, plusieurs l’avaient précédé, et
d’autres viendront encore après lui… tout cela se retrouve d’ailleurs
dans “les écrits” et/ou “Traditions” de moult civilisations… dont la nôtre,
notre civilisation noire dont nous pouvons être fiers. Qu’attendons-nous
pour comprendre que c’est là que réside la Vérité ?
Les manuscrits découverts à Nag Hammadi comprennent cinquante deux
textes différents, dont les neuf textes principaux sont l’Apocryphe de Jean,
l’Apocalypse de Pierre, l’Apocalypse de Paul, l’Evangile de Thomas,
l’Evangile de Philippe, l’Evangile de la Vérité, l’Evangile des Egyptiens,
le Livre Secret de Jacques et la Lettre de Pierre à Philippe.
Tous ces textes furent connus des premiers chrétiens, mais furent déclarés
apocryphes et hérétiques par l’Eglise Chrétienne de Rome bâtie par
Paul, l’homme du mensonge et plus tard aussi par l’Empereur Romain
Constantin. L’Evangile de Thomas tel qu’il a été retrouvé dans les manuscrits
de Nag Hammadi est un texte de l’an 140 écrit en Copte, mais il est
une traduction d’un texte Grecque écrit vers l’an 50, donc bien avant les
quatre évangiles orthodoxes selon Marc, Luc, Matthieu et Jean qui
remontent même jusqu’en l’an 110 pour deux d’entre eux. A l’époque de
l’empereur Romain Constantin et du Pape Sylvestre la possession de
ces textes “hérétiques” de Nag Hammadi était sanctionnée par la peine
de mort ! Pourquoi ?
24. Jésus : le mensonge autour
de sa vie sexuelle,
sa succession et sa “divinité”
« Le désarroi des chrétiens vient en grande partie
du manque d'information de la part des théologiens et des
historiens de l'Église qui, pour nier les faits susceptibles de provoquer
un scandale, opèrent de deux manières : ou ils déforment les faits
et leur font dire le contraire, ou ils camouflent la vérité ».
– JOACHIM KAHL, Docteur en théologie, Université Philippe, Marburg, Allemagne –
Les deux hommes clés qui furent en grande partie à la base du visage du
Christianisme tel que nous le connaissons aujourd’hui sont, sans aucun
doute, Paul, l’ancien pharisien Saül, qui fera du Christianisme une religion
universelle (le chapitre 23 de cet ouvrage lui est entièrement consacré),
mais aussi ce personnage ambigu que fut l’Empereur Romain
Constantin, dit “Constantin 1er le Grand”, dont le règne au IVème siècle
aura duré de 306 à 337.
Il faut savoir que Constantin était, avant l’arrivée du Christianisme, le
Grand Maître de la religion officielle de Rome : le culte païen du soleil
invincible (”Sol Invictus”, en latin). Soudainement Constantin s’est
trouvé face à un sérieux problème durant son règne, à savoir : le brusque
essor et l’expansion rapide du Christianisme au sein de son Empire, où
païens et chrétiens s’affrontaient ; cela occasionnait des risques d’instabilité
et de divisions au sein de son Empire.
Or, Constantin était un homme d’affaire pragmatique, il avait compris que
le christianisme allait encore prendre de l’ampleur et qu’il valait mieux
se mettre du côté de cette nouvelle religion dont le développement démarrait
en flèche. Dès lors la seule question qu’il se posa ce fut : « comment
amener le peuple païen au Christianisme ? ».
259
POISON BLANC
260
Or cet empereur, subtil, n’était en fait intéressé uniquement que par le pouvoir…
peut-être aussi fut-il inspiré par l’illustre exemple de Paul, “le menteur”
(?), toujours est-il que la meilleure solution qu’il trouva pour résoudre
son problème ce fut de se prétendre lui-même inspiré par “Dieu” et converti
au Christianisme, ce qui n’était chez lui que l’emploi d’une ruse politique
puisque des indices historiques sérieux nous prouvent qu’en réalité il ne
s’est fait baptisé au christianisme que bien tard : sur son lit de mort !
Pour parvenir à ses fins, Constantin va, toujours avec son habileté et sa ruse,
établir des compromis et réaliser des fusions de dates astucieuses, introduisant
ainsi des rituels et des symboles païens dans la tradition chrétienne
en formation. En d’autres termes, il met au point une religion métissée, une
religion hybride, compréhensible et acceptable par tous ses sujets. En
regardant cela attentivement on observe qu’un grand nombre de traces
païennes subsistent encore de nos jours à l’intérieur du symbolisme chrétien,
or la plupart d’entre elles sont signées de la main de Constantin, par
exemple :
le disque solaire dans lequel se déplaçait les dieux égyptiens est
devenu l’auréole des saints chrétiens ;
la mitre ;
l’autel ;
l’eucharistie (le fait de manger le corps du Christ-dieu) ;
à l’origine les premiers chrétiens honoraient le Sabbat juif (logique,
Jésus était un rabbin juif !), leur jour de repos était donc le samedi.
C’est Constantin qui l’a déplacé pour le faire coïncider avec la
célébration du dieu païen “Mithra” (dieu solaire de l’ancien Iran).
Ainsi la grande masse des chrétiens “ignorants”… voire “ignares”
– et c’est encore valable à notre époque – célèbrent en fait sans le
savoir, chaque dimanche en assistant au service dominical… la
fête du Soleil (d’où le mot “Sunday” en anglais, le mot “Sonntag”
en allemand, le mot “zondag” en néérlandais, pour désigner
“dimanche”, ce qui veut dire, littéralement traduit en français :
“Jour du Soleil”) ; ces mêmes chrétiens font en même temps plein
de rituels païens tel que l’eucharistie, mais sans en avoir la moindre
conscience.
Un comportement pareil est tellement ridicule qu’il en devient franchement
comique, cela ne mérite que de grands éclats de rire !
L’Empereur Romain Constantin a tout simplement utilisé la figure de
“Jésus” ainsi que le Christianisme à des fins politiques, mais ce faisant
il a façonné le visage du Christianisme profondément et fort durablement…
puisque jusqu’à nos jours !
Pour arriver à ses fins politiques, Constantin va convoquer un concile, ce
sera le premier concile oecuménique de Nicée (en 325), dont le “Credo”
était déjà, grosso modo, celui des Catholiques de nos jours ! Il est à noter
que le Pape Sylvestre, le “Pontife” de l’époque, n’y était pas présent, il
y avait seulement délégué deux observateurs à lui ! Mais enfin, même si
Constantin n’était que le Président d’honneur de ce Concile et que Ozius
de Cordue en était le Président en exercice, c’est Constantin qui, dans les
faits, en était le véritable directeur, le principal décideur, bref le président
effectif… c’était lui.
Ce serait bien lors de cette assemblée, à ce moment-là, que Constantin
aurait commandé et financé la rédaction d’un Nouveau Testament ; celuici
devait exclure de tous les Evangiles toute information évoquant les
aspects humains de Jésus, il était pour lui impératif que Jésus y apparaisse
comme “divin”, quitte à adapter les textes pour parvenir à ce but : Jésus
ne devait surtout pas y apparaître comme un mortel ou un homme parmi
les hommes, ayant une vie d’homme comme tout le monde. C’est pourquoi,
les évangiles montrant l’aspect humain de Jésus furent rassemblés,
écartés, détruits, brûlés ! On peut vraiment dire que, dès lors, l’histoire
originelle de Jésus fut réellement bannie. Et le Pape Sylvestre se tut : il y
consentit… en fait cela arrangeait également bien l’Eglise de Rome.
Quand un chrétien me parle du Nouveau Testament, je ris et lui réponds :
« Ah oui, vous voulez me parler de la Bible de Constantin ! » (d’ailleurs on
consacre dans cet ouvrage le chapitre 22 en entier à la véritable origine des
évangiles chrétiens… c’est assez édifiant, comme vous pouvez en juger !).
Donc, le Nouveau Testament aurait en grande partie été rédigé et compilé
en fonction du programme politique bien précis et bien défini de
l’Empereur Romain Constantin 1er pour qui il fallait promouvoir la “divinité”
de Jésus, cette influence devant consolider le pouvoir impérial de
Constantin, un pouvoir pourtant déjà bien mis en place grâce à ses nombreuses
victoires militaires.
C’est cet Empereur romain sanguinaire, meurtrier, (assassin de sa femme
et de son propre fils) qui inaugura vers 327 la première basilique du
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24. JÉSUS : LE MENSONGE AUTOUR DE SA VIE SEXUELLE, SA SUCCESSION ET SA “DIVINITÉ”
POISON BLANC
262
Vatican, la basilique Saint-Pierre, édifiée sur son ordre et, comme de
bien entendu, il sera plus tard canonisé par l’Eglise !
C’est évident, qu’une partie de l’histoire originelle de Jésus a ainsi été
bannie, car il ne fallait pas faire apparaître Jésus comme un “homme”
parmi les hommes !
Faisons un tour chez le célèbre Leonardo da Vinci (1452-1519), un grand
farceur espiègle et qui était selon beaucoup de sources un homosexuel
flamboyant, donc tout sauf un bon “fidèle” de l’Eglise. Une de ses toiles
peintes les plus célèbres, c’est “la Cène” (le dernier repas de Jésus avec
ses douze apôtres). Regardons cette toile avec la plus vive attention car
à travers tous les temps, beaucoup de personnes “initiées” ont dissimulé
dans leurs oeuvres d’art (peintures, littératures, etc.), d’une manière
cachée et symbolique, certaines choses particulières dont… elles, se
trouvaient informées.
Ce célèbre tableau est censé représenter treize hommes, Jésus et ses
douze apôtres, lors du dernier repas. Mais, approchons-nous au plus près
de cette toile, observons précisément la personne assise à la droite de
Jésus ! Ce n’est pas un homme, mais une femme, c’est une jeune et jolie
femme, sensuelle,elle a une magnifique chevelure rousse et ses mains
sont délicatement posées sur la table ! Qui est cette femme ? Et pour
quel motif quelqu’un comme Leonardo da Vinci l’aurait-il dessinée dans
cette toile ? Quel message voulait-il transmettre ainsi ? Qu’y a-t-il de
tellement important autour de cette jeune femme et par voie de conséquence
également autour du personnage de Jésus ?
Eh bien, cette jeune femme pourrait très bien représenter Marie
Madeleine… qui n’était pas une prostituée comme on tient à nous le
faire croire, mais probablement la compagne attitrée de Jésus, autrement
dit sa “femme”, celle avec qui il était marié !
Marie Madeleine doit être un des plus grands cauchemar du Vatican, de
la prude Eglise Catholique Chrétienne, une vaste campagne de diffamation
autour de sa personne a dû être menée de façon à ce qu’elle passe
pour une banale prostituée, tout ceci afin de masquer peut-être un secret
qui pourrait faire s’écrouler l’Eglise, la Chrétienté, le Vatican !!?
Regardez bien la Cène peinte par Leonardo da Vinci, à la droite de Jésus
il a peint une compagne de Jésus, probablement Marie Madeleine ; à
l’époque de ce célèbre peintre, le signe de la féminité était le “V” de
Vénus… et pour bien illustré d’une façon cachée qu’il s’agit vraiment
d’une femme dans son tableau, Leonardo da Vinci y fait apparaître parfaitement
la forme “V” entre Jésus et la personne assise à sa droite. Jésus
avait une femme, une compagne, plusieurs femmes, plusieurs compagnes
?!! Jésus était un rabbin juif, c’était un juif… et à cette époquelà,
la société juive proscrivait le célibat, il faut le savoir !
Beaucoup d’Evangiles gnostiques dans les papyrus coptes de Nag
Hammadi et les manuscrits araméens de la mer morte, telles que l’évangile
de Philippe font état de relations physiques amoureuses entre Jésus
et Marie Madeleine. Jésus et Marie Madeleine ont fort probablement eu
des relations sexuelles ensemble ! Et probablement que Jésus avait encore
eu d’autres compagnes ou maîtresses. Il y aurait même parmi ces
Evangiles apocryphes l’Evangile de “Marie Madeleine”, eh oui ! Dans
cet évangile il est fait mention de la jalousie de Pierre envers Marie
Madeleine, Pierre qui ne supporte pas que Jésus aime tant Marie
Madeleine, que Jésus l’aime plus que tout le monde, et qu’il l’ait agréée.
Qui l’ait agréée… mais pour quoi ? En quelle qualité ? Tout simplement,
Jésus sachant sa fin proche aurait peut-être pu donner la succession
de son Mouvement, de son Ministère à Marie Madeleine, à une
femme ! Et Pierre en est jaloux, il ne supporte pas d’être dépassé par une
femme ! Fort possible !
Jésus avait complètement révolutionné les coutumes juives de son
époque. Il faut savoir que lesdites coutumes se basaient sur la loi
Mosaïque, elles discriminaient les femmes, les soumettaient au mépris
des hommes, ces derniers se devant d’être méfiants face à la femme
“tentatrice”, “source du mal” ; il leur était même imposé d’afficher un
dégoût pour la femme “impure” ; enfin cette même loi Mosaïque édictait
également qu’il ne fallait enseigner qu’aux garçons, aux fils
(d’ailleurs certains continuent encore aujourd’hui à appliquer ce précepte
à la lettre !). De son côté Jésus, lui, se fait complètement entouré
de femmes qui prennent soin de lui… effectivement les femmes autour
de lui furent nombreuses : Marie Madeleine, Jeanne, Suzanne, Marie
Salomé, Marie la soeur de Marthe, etc.
Mais parmi toutes ces femmes il avait clairement une “élue”, une compagne
attitrée, Marie Madeleine, qu’il aimait profondément… à un point
tel qu’il lui apporte, à elle, plus d’enseignement qu’à ses apôtres… et eux
263
24. JÉSUS : LE MENSONGE AUTOUR DE SA VIE SEXUELLE, SA SUCCESSION ET SA “DIVINITÉ”
POISON BLANC
264
en sont jaloux, particulièrement l’Apôtre Pierre qui ne s’en cache pas et
ne parvient pas à tolérer cela.
Disons le tout net : la première communauté de disciples, après le décès
de Jésus, aurait probablement dû être dirigée par une femme… Jésus
aurait-il confié sa succession à une femme et cette femme se serait-elle
appelée Marie Madeleine !? Dans ce cas, Jésus aurait ainsi réhabilité toutes
les femmes si longtemps discriminées par la loi Mosaïque juive sexiste.
Et dans sa toile “la Cène” (voir les illustrations en page X du cahier central),
Leonardo da Vinci illustre apparemment les sentiments de Pierre
envers Marie Madeleine : à la droite de Marie Madeleine c’est Pierre
qui se penche vers elle tout en tendant au cou de Marie Madeleine une
main menaçante comme une lame de couteau voulant lui trancher la
gorge ! Et ce n’est pas tout… entre les deux apôtres assis à la gauche de
Jésus il y a une main qui surgit tendant un poignard, et si on compte les
bras de chacun, cette main n’appartient à personne, ce bras est anonyme,
il est sans corps visible dans le tableau mais il semble se diriger vers
Marie Madeleine ! Explication : Marie Madeleine va-t-elle, après la mort
de Jésus, devenir une personne à éliminer, cherchera-t-on à la tuer !?
Les Apôtres, sitôt après la disparition de Jésus, vont-ils la destituer !?
Ni l’Eglise de Paul, ni l’Eglise de Pierre, aucune des deux ne fut la véritable
Eglise en légitime succession du Ministère de Jésus, la seule légitime
Eglise était probablement celle de Marie Madeleine, l’élue de Jésus !
Il ne faut pas oublier que Marie Madeleine était certes pauvre, mais tout
de même une princesse de la Tribu de Benjamin (une des douze tribus
d’Israël), donc de descendance royale et que Jésus était de la maison de
David, descendant de Salomon, roi des Juifs. Donc, on avait ici deux
lignées de sang royal unies par un mariage, réunies dans un couple !
Est-ce le simple fait que Jésus avait certainement une vie sexuelle bien
épanouie, que Marie Madeleine était sa femme, sa compagne attitrée et
que Jésus l’avait peut-être nommée pour lui succéder, afin de diriger son
Mouvement Spirituel au cas où il devrait disparaître… est-ce une des
choses que l’Eglise, le Vatican surtout voulait cacher, maintenir secrète,
ainsi que certaines Sociétés Secrètes ou Ordres secrets ? Fort probablement
! Leonardo da Vinci n’a-t-il pas été lui-même le Grand Maître d’un
Ordre Secret, le prieuré de Sion !
Tous les Grands Maîtres de ce Prieuré de Sion ont été des libertins au
niveau sexuel, deux de ces Grands Maîtres, Leonardo da Vinci et Jean
Cocteau étaient des homosexuels de grand appétit. D’ailleurs Leonardo
da Vinci rend à mon avis, secrètement et symboliquement, un grand
hommage à l’enseignement original de Jésus, à la sexualité libertine, à
la sexualité sans culpabilité dans une autre de ces toiles célèbres, j’ai
nommé “la Joconde” ou plus précisément “la Mona Lisa”.
Observons de près cette toile-là… qu’est-ce qui la rend fameuse ? Le
mystérieux visage et aussi le sourire de la Mona Lisa (la Joconde)…
que cache ce sourire ? Eh bien, le dieu masculin du sexe et du plaisir des
anciens égyptiens était “Amon” (il existe d’ailleurs une marque de préservatifs
appelée Amon) et son opposé féminin, la déesse de la fertilité,
du plaisir et de la sexualité était Isis. Nous avons donc d’un côté Isis dont
l’ancien pictogramme était L’ISA et de l’autre côté AMON… AMON
LISA… devient donc “MONA LISA”.
Le grand Leonardo da Vinci faisait ici, à mon avis, un clin d’oeil secret
et caché à la divinité de la sexualité, à l’orgasme, au plaisir, à l’union entre
le féminin et le masculin en peignant un personnage quelque part androgyne,
mi-homme, mi-femme, la Mona Lisa… d’ailleurs on pourrait
même dire que c’est presque un autoportrait qu’il a fait là (il y a une
grande ressemblance entre les traits de Mona Lisa et les siens), le jeune
Leonardo da Vinci homosexuel déguisé en “drag queen” de l’époque !
Mais, on comprend pourquoi l’Eglise et l’Empereur Romain Constantin
ont cherché à diffamer la personne de Marie Madeleine, elle était un
obstacle terrible face à leur affirmation mensongère disant que Jésus
était “divin” !
L’Eglise Chrétienne Catholique continue à mentir, continue à manipuler
les masses en les enfermant dans le mensonge. Le Pape Jean-Paul II
est érudit, mais il s’obstine dans le mensonge avec tout le reste des hauts
cadres du Vatican. Ils mentent tous, de A jusqu’à Z. Leur fondement
– basé sur un Jésus “divin” qui n’aurait jamais été lié à aucune femme
sur terre – est aussi stupide que faux : c’est un mensonge volontaire !
L’essentiel à retenir de tout cela, c’est qu’une partie de l’histoire de Jésus
est une des plus grosses campagnes de désinformation mondiale… Honte
au Vatican, honte à l’Eglise Chrétienne dans tout son ensemble pour sa
volonté délibérée d’abuser de la crédulité humaine !
265
24. JÉSUS : LE MENSONGE AUTOUR DE SA VIE SEXUELLE, SA SUCCESSION ET SA “DIVINITÉ”
POISON BLANC
266
Il est également intéressant de noter que les anciennes traditions
judaïques comprenaient des rites sexuels à l’intérieur du Temple de
Salomon, où des fidèles recherchait “l’orgasme cosmique” qui leur
permettait de se sentir “un” avec l’univers, avec le cosmos, ceci en s’accouplant
avec des prêtresses – ou hiérodules –. Notons ici que la
Prophétesse noire africaine Kimpa Vita faisaient aussi, vers le début des
années 1700, pratiquer des rites sexuels durant les cérémonies religieuses
de son Mouvement spirituel (ce qui lui valut… évidemment, d’être déclarée
hérétique, sorcière et brûlée vive avec son bébé dans les bras, par les
soins de la “Sainte” Inquisition Catholique !).
Jésus a perpétué un enseignement basé sur la notion de l’éveil de l’esprit
par l’éveil du corps, et l’importance du plaisir et de la jouissance,
engrais qui font s’ouvrir l’esprit sur le cosmos, sur l’infini.
Ce que l’on peut encore noter, c’est que Jésus aurait fort bien pu avoir
légué la direction, la pédagogie de son ministère à une femme, Marie
Madeleine, car c’était un “féministe”, et il a certainement dû mettre l’accent
sur l’importance des valeurs féminines et la féminité pour l’épanouissement
de la société humaine ; en d’autres mots il a dû faire de la
féminité quelque chose de sacré et d’important.
Par conséquent les Religions monothéistes qui discriminent et abaissent
la femme de nos jours (Christianisme, Islam et Judaïsme) dévient de
cette vérité et sont “sexistes”, “machistes” et “discriminantes” ; elles
violent un enseignement originel qu’elles ont trahi, mutilé, éradiqué,
changé ou refusé… pour venir entacher les humains d’un sentiment de
culpabilité et encombrer leur vie de pesants tabous autour du sexe, du
plaisir, de la sensualité et de la nudité des corps. L’enseignement, tellement
déformé, qu’elles nous apportent ainsi est grotesque certes, mais
en plus il est faux !
25. Le grand secret
Je vais maintenant vous dévoiler quel est, selon mes convictions, le tout
grand “secret”, celui qui est au plus haut niveau de l’Eglise Catholique,
et au plus haut niveau de certains courants francs-maçonniques et
Ordres Secrets. Ce secret n’implique bien évidemment pas les personnes
du bas de l’échelle, mais ceux qui sont à ses échelons les plus élevés,
ceux qui savent, qui possèdent les connaissances secrètes et qui ont
à charge de les maintenir secrètes. Il s’agit d’un faible nombre de
personnes, sévèrement sélectionnées, “haut placées” dans la société
civile, pour la plupart très riches, et souvent même à la tête d’un pays,
ou bien “haut placés” au Vatican.
D’ailleurs, parmi les loges qui hantent les couloirs du Vatican, on se
souvient de la fameuse loge P2, qui avait fait scandale autour des années
1970-80, avec, entre autres, des blanchiments d’argent sale et des détournements
financiers énormes ayant entraîné non seulement de graves
secousses boursières à Milan, mais aussi des actions allant jusqu’à la
mort, celle du magistrat milanais Emilio Alessandrini, assassiné le 29 janvier
79 peu de temps après qu’il eût ouvert une enquête sur la Banco
Ambrosiano – une banque très “vaticane” – dont le directeur, Giorgio
Ambrosoli, fut lui aussi assassiné peu après et dont le patron Roberto
Calvi (très “grand ami” du cardinal Giovani B. Montini dès avant qu’il
ne devienne le Pape Paul VI) fut retrouvé “suicidé” sous un pont de la
Tamise à Londres le 17/18 juin 1982.
Notons que David Yallop, qui rapporte, dans son livre – écrit en 1985 –
les informations reprises ci-dessus précisaient alors que l’enquête sur la
“banque vaticane” ayant entraîné la mort du magistrat E. Alessandrini
n’avait toujours pas été réouverte… on sait évidemment qu’il faut à la
Justice “un certain temps” pour démarrer mais… bon (!) plus de 6 ans
pour trouver un successeur à un juge assassiné… même si on admet que
267
POISON BLANC
268
les candidats à une telle succession ne doivent pas se bousculer, ça fait
quand même plutôt long pour que la justice passe, vous ne trouvez pas ?
Alors, ce secret tellement important que seuls “les grands de ce monde”
seraient autorisés à le connaître… Eh bien le voici :
Il y a très longtemps, une civilisation extraterrestre, beaucoup plus avancée
que la nôtre, est venue sur terre et y a créé toutes vies, y compris celle
de l’homme, que ces êtres ont créé à leur image et à leur ressemblance,
grâce à une maîtrise parfaite de l’ADN et des techniques génétiques. Ils ont
été pris pour des dieux par nos ancêtres primitifs, et à présent on trouve,
dans toutes les anciennes civilisations, des traces de leur présence sur
Terre. Ils furent à la base de toutes les anciennes religions de la Terre.
En effet, à un moment donné, après avoir cohabité sur Terre avec les
hommes et les femmes qu’ils avaient créés et même avoir procréé avec
eux – les deux espèces, la leur et la nôtre, n’en faisant qu’une en réalité,
puisque ces deux sortes d’êtres “humains” sont sexuellement compatibles
– ils ont quitté la Terre.
Ils ont alors envoyé, ou contacté, sur Terre des hommes et des femmes,
qui devinrent leurs messagers, leurs Prophètes ; ce sont eux, lesdits
Prophètes et lesdites Prophétesses, qui ont été à la base des mouvements
religieux, dont certains sont devenus de grandes religions aujourd’hui,
ayant des millions d’adeptes.
Ces Prophètes sont tous venus, à des époques différentes, chacun en
fonction des circonstances spécifiques de son temps. L’époque d’aujourd’hui
a débuté depuis peu ; elle succède à “l’ère des poissons” et se
nomme “ère de l’Apocalypse” (du mot Grec “Apokalupsis” qui veut
dire “révélation”) ; alors, pourquoi “révélation” ? Parce que c’est elle,
notre époque, qui verra naître et venir sur Terre le dernier des messagers,
le “Messie” annoncé dans toutes les traditions et religions, celui qui
lèvera complètement le voile sur le mystère de dieu.
Voilà quel est ce fabuleux secret : une nouvelle révélation nous attend !
Ce sera la dernière révélation apportée par nos créateurs à notre humanité
; il est donc d’une importance extrême pour chacun d’entre nous de
la connaître, étant donné toutes les conséquences qu’entraîne une telle
information, il serait criminel de la garder secrète.
Ce dernier messager, ce “messager annoncé”, lui qui apporte la révélation,
il est là déjà, mais les gens du Vatican et de certains courants de
la franc-maçonnerie se refusent à le reconnaître. Pire, ils vont peut-être
chercher à l'éliminer, tout en sachant qui il est. Car tous ces “hauts
responsables” (!), aussi bien ceux de la franc-maçonnerie que ceux du
Vatican, ont peur de ce qu'il va révéler, redoutant que la connaissance
universelle de ce message mette leurs intérêts en danger et leurs fasse
perdre leurs monstrueux pouvoirs. Ces pouvoirs construits au fil du
temps sur “le mystère de Dieu” et renforcés sans cesse au moyen de
tous leurs secrets.
Les voici ces vérités que, pour maintenir leur pouvoir, ils vous cachent
autant qu’ils peuvent :
il n’existe pas de Dieu unique, immatériel, tout puissant ;
nous avons été créés par des êtres physiques venus de l’espace ;
celui qu’on appelle Yahvé ou Allah, est le Président du “Conseil des
Eternels”, en quelque sorte le “gouvernement” de la planète de
nos créateurs ;
celui qu’on nomme Satan est, sur cette planète, le leader de l’opposition,
parfois appelé en consultation par Yahvé lui-même.
Seulement, Satan a toujours été contre cette expérience des scientifiques
de leur peuple s’aventurant à créer sur la planète Terre, des êtres humains
comme eux, “à leur image et à leur ressemblance” comme c’est dit dans
la Thora et la Bible (… et aussi dans d’autres “livres sacrés”).
Celui qu’on appelle Lucifer, c’est celui qui a mené sur Terre un groupe
de créateurs, lequel a maintes fois désobéi aux directives de leur planète
mère et notamment après avoir reçu l’interdiction de créer l’homme à leur
image, son groupe réalisa quand même cette création… dont naquirent
nos tous premiers ancêtres.
Ce groupe passa outre également à l’interdiction de révéler aux hommes
créés comment ils l’avaient été.
A cause des multiples infractions commises par eux, les membres de ce
groupe ont été bannis pour un temps de leur planète mère et, par punition,
condamnés à vivre sur Terre avec les hommes. C’est pourquoi ce groupe
est souvent représenté symboliquement par “le serpent” se traînant sur
notre sol terrestre.
269
25. LE GRAND SECRET
POISON BLANC
270
Cependant… incorrigibles, ces extraterrestres restés sur Terre, ces anges
déchus, appelés “Nephilim” dans la Bible originelle en Hébreu ancien,
désobéirent une fois de plus en bravant un autre interdit : celui de se
mélanger sexuellement avec ceux qu’ils avaient créés.
Le résultat de ces unions leurs donna, évidemment, une descendance
sur Terre, leur descendants étant appelés « les Gibborim » dans les écrits
bibliques originels en Hébreu ancien.
Les “grands initiés” décidés à nous cacher toutes ces vérités savent aussi
que certains prophètes étaient des êtres hybrides, moitié homme moitié
extraterrestre, conséquence logique du croisement réalisé par l’insémination
d’une femme de la terre au moyen du sperme de quelqu’un de leur
planète à eux, nos créateurs, ou à l’inverse, contact sexuel d’une femme
de chez eux avec un homme de la terre, ces rencontres pouvant, on l’a
dit, donner naissance à un enfant. Citons, à titre d’exemple, le départ de
la religion Shinto au Japon : elle est basée sur la naissance d’un enfant
fruit de l’union d’une femme extraterrestre et d’un homme de la Terre.
Les susdits “initiés” connaissent aussi l’explication de bien des choses
qui restent “mystérieuses” pour le grand public, ils savent, par exemple :
Que derrière tous les miracles accomplis par les prophètes des
temps anciens il y a l’intervention de ces êtres venus d’une autre
planète, car, grâce à des dizaines de milliers d’années d’avance
scientifique sur nous, ils peuvent accomplir facilement ce que nous
ne pouvons, nous, qu’appeler béatement “des prodiges”, en l’état
de nos connaissances scientifiques… embryonnaires !
Que, dans les livres, récits et/ou oeuvres d’artistes, tout ce qui parle
ou représente des “chérubins”, des “anges” fait référence à ce
peuple, qui est constitué d’êtres physiques, de chair et de sang,
habituellement d’une taille adulte équivalente à celle de nos enfants
et dont la planète d’habitat ne se situe pas dans notre système
solaire, mais quand même dans notre galaxie.
Que les habitants de cette planète, depuis longtemps déjà, se déplacent
pour nous observer : leurs engins ont été remarqués dans le ciel
depuis l’Antiquité. Au fil des siècles ils ont successivement été
appelé “chars volants”, “boules de feu”, “nuée de feu”, “gloire de
Yahvé”, “nuée rapide”, “vimanas” (dans les écrits hindous),
“Merkabah” (en langage judaïque), “El Boraq” (dans le Coran),
“disques solaires” ou “soleils volants” (en ancienne Egypte et chez
les Mayas, Incas et autres Aztèques).
Ce sont ces mêmes engins que nous appelons communément de nos
jours des “UFOs” (en anglais), des “OVNIs” (en français) ou simplement
des “soucoupes volantes”, nous référant à des objets coutumiers, tout
comme les soldats romains les appelaient des “boucliers volants”… Tous
ces véhicules – parce que c’est bien de ça qu’il s’agit – ce sont les vaisseaux
spatiaux de ce peuple extraterrestre particulier qui nous a créé, ou
éventuellement d’autres peuples extraterrestres autorisés par nos créateurs
à venir nous observer.
Autre chose d’importance qu’ils savent aussi, ces “hauts prélats de la
Curie Romaine” ou ces “Grands Maîtres de Loges maçonnes” c’est que
ce dernier des Prophètes doit naître en Occident, ils sont parfaitement
informés du pays de sa naissance : la France. Le Vatican a même aidé
l’antéchrist, Hitler, à essayer de le trouver et le tuer, ce “dernier des
Prophètes”.
Une fois de plus, dans toute sa cruauté, l’histoire s’est répétée : le roi
Hérode avait essayé de trouver et tuer Jésus, mais n’y étant pas parvenu…
« Hérode […] se fâcha fort et envoya supprimer, dans Bethléem et tout son
territoire, tous les garçons de deux ans et au-dessous… » (MTT., II, 16)
Avant lui, le Pharaon avait aussi essayé de trouver et tuer Moïse, mais la
fille du Pharaon avait réussi à “le sauver des eaux” ; autour de Krisna,
“avatar” de Visnu au Panthéon hindouiste il y eut également une histoire
similaire.
Et voici qu’au milieu du siècle dernier, notre humanité a vu s’ouvrir en
son flanc une redoutable plaie nouvelle (perpétrée à l’échelle industrielle
cette fois !) : l’Holocauste des juifs. Or l’une des principales raisons de
cette horreur absolue ce fut justement la recherche du “Messie”, le but
évident des promoteurs de cette vaste action étant de tuer ce “futur
gêneur” afin de changer ainsi le cours de l’histoire de l’humanité.
Les juifs “initiés” savent bien quelle a été la motivation de ce nouveau
massacre des leurs et ils savent aussi que le Vatican fut complice des
Nazis dans cette tentative d’anéantissement… ou peut-être les Nazis complices
du Vatican, allez savoir ! Hitler, en tout cas, était passionné par les
271
25. LE GRAND SECRET
POISON BLANC
272
Prophéties concernant ce “dernier des Prophètes” ; il savait où il devait
naître et à quelle époque : celle où lui, le Führer, se lancerait à la conquête
du monde, (Hérode aussi avait été passionné par les Prophéties concernant
Jésus !) en plus – mais cela est une des choses les mieux cachées de
la vie d’Hitler – le dictateur allemand, qu’on savait bon chrétien et féru
d’ésotérisme, était secrètement passionné par les OVNIs, et par tout ce qui
se rapportait aux extraterrestres. Les Nazis ont fouillé, mais en vain, toute
la France espérant parvenir à y trouver celui que recherchait leur Führer.
Aujourd’hui au moins, ils savent pertinemment que cette tentative a
échoué… malgré la mort de tant de millions d’innocents !
Dans les faits, ce dernier des messagers, lui qui est annoncé aussi par
Simon Kimbangu, révèlera au monde, dans un langage simple, qui étaient
ces anges : “Chérubins” et “Séraphins” (en Hébreux : “Keroûbîm” et
“Seraphim”) dont nos prophètes africains parlaient… qui étaient aussi ces
êtres de petite taille que des milliers de gens ont vus, dans les rues de
Kinshasa, s’opposant à l’armée coloniale pour aider le peuple Kongo à se
libérer et enfin… qui étaient exactement nos dieux humanisés (au pluriel
!).
Il nous amènera, à nous terriens “la Vérité” qu’attendent la plupart d’entre
nous.
Il ne parlera pas au nom d’un Dieu unique et immatériel, mais au nom
d’un peuple entier, au nom des dieux (toujours au pluriel). Et, pour
l’Afrique, il aura un discours qui encouragera les africains à retrouver
leurs racines, à se décoloniser, à quitter et abjurer la religion chrétienne
et/ou catholique qui n’est qu’une immonde imposture.
Or, ces “initiés” que nous avons évoqués, ils sont parfaitement au courant
de tout ce que je viens de vous expliquer ! Ils savent que l’arrivée
de ce “dernier des Prophètes”, la venue de cet ultime “messager des
cieux” sonnera la fin de la Chrétienté, ils le savent, et cela les fait trembler.
Tous ces “hauts dignitaires” – ou du moins ces gens se déclarant tels – savent
qu’un effondrement de l’Eglise est prévu, et qu’on peut s’attendre, dans
un avenir assez proche, à un contact entre nos créateurs extraterrestres et
nous, car ils reviendront officiellement dès que leur actuel Ambassadeur sur
Terre, le véritable “Messie”, aura accompli sa mission.
Mais pourquoi tous ces initiés essayent-ils de cacher la vérité ? Pourquoi
essayent-ils tout de même de changer le cours de l’histoire, alors qu’arrêter
ce cours c’est mission impossible, ils le savent bien ? Qu’est-ce qui
les poussent à agir ainsi ? Quelle est donc leur motivation profonde ?
Ils n’ignorent pas davantage qu’il y a un mensonge grotesque autour de
ce qui s’est passé le 13 octobre 1917 à Fatima. Que la danse du soleil qui
y fut décrite par une foule de plus de 50.000 personnes – donc un nombre
énorme de témoins – n’était pas du tout un miracle ou une apparition
divine, mais bel et bien l’apparition d’un engin lumineux, un engin
spatial. De nombreuses personnes s’étaient assemblées à un endroit où
trois petits bergers auraient vu la Vierge Marie apparaître auparavant. Et
effectivement quelque chose d’insolite se produisit dans le ciel ce jourlà.
Voulez-vous la description d’un témoin ? Celui-ci a rédigé son témoignage
par écrit quelque jour après l’événement ; et ce témoin se nomme :
Mr. José Proënça de Almeida Garrett, il était à l’époque, professeur de
médecine à l’Université de Coimbra, voici son témoignage :
« Il pleuvait encore, vers 13 heures, lorsque les trois enfants arrivèrent,
à l’endroit où avaient eu lieu les apparitions. Vers 13h30 là où se trouvèrent
les enfants, une colonne de fumée, déliée, ténue et bleutée, qui
monta droit jusqu’à deux mètres peut-être et s’évanouit à cette hauteur.
Le phénomène se dissipa au bout de quelques secondes puis se reproduisit
une deuxième fois, et une troisième fois. Il n’y avait pas de feu, puis
vers 14h00 la foule dirigea le regard vers le ciel, en direction du Soleil
qui avait rompu la dense couche de nuages, je me tournai vers cet
“aimant” qui attirait tous les yeux et je pus le voir semblable à un disque
au bord net et à l’arête vive, lumineux et brillant, mais sans fatigue pour
les yeux. Il apparaissait comme un disque plat et poli, taillé de nacre
d’une coquille. Il ne ressemblait pas non plus à un soleil contemplé à travers
le brouillard, il n’y en avait pas à ce moment-là, car il n’était ni obscurci,
ni diffus, ni voilé, il se dessinait nettement avec un bord taillé en
arête comme une planche à jeux. Ce disque nacré avait le vertige du mouvement
[rotation sur soi-même]. Ce n’était pas simplement le scintillement
d’un astre plein de vie, il tournait sur lui-même à une grande
vitesse. De nouveau, on entendit une clameur de la foule, comme un
grand cri d’angoisse, conservant la rapidité de sa rotation, le Soleil se
détache du firmament, et, rouge sang, avance vers la Terre, menaçant de
nous écraser sous le poids de son immense masse ignée. Ce furent des
secondes terrifiantes. M’occupant de fixer ce Soleil, je remarquai que tout
s’obscurcissait autour de moi. Je regardai ce qui était près, puis j’al-
273
25. LE GRAND SECRET
POISON BLANC
274
longeai la vue jusqu’à l’extrême horizon, et je vis tout couleur d’améthyste.
Les objets, le ciel et la couche atmosphérique avaient tous la
même couleur. Un grand chêne violacé qui s’élevait devant moi, lançait
sur le sol une ombre épaisse. A d’autres il incombe d’expliquer ceci. »
D’autres documents officiels de témoignages permettent d’affirmer que
ce grand disque volant fut aperçu par des personnes se situant à 4 et 5
kilomètres de là et qui ne partageaient nullement les émotions et les
attentes de la foule sur place à la Cova de Iria :
« Je regardais fixement l’astre, il me paraissait pâle et privé de son
éblouissante clarté ; il semblait un globe de neige tournant sur lui-même.
Puis tout à coup il parut descendre en zigzag, menaçant de tomber sur
la terre. »
En analysant bien ces descriptions, on ne peut que convenir, en toute honnêteté
intellectuelle, à l’abri de tout conditionnement religieux, qu’il
s’agit ici d’un engin sous forme de disque, de soucoupe, de sphère, d’une
forme discoïde, voir un peu ovoïde, évoluant d’une façon variable au-dessus
de la foule, montrant toutes les caractéristiques de ce qu’on appelle
de nos jours un OVNI, une soucoupe volante ! Il y a tout ce qu’il faut dans
les descriptions : les changements de couleurs brusques donnant l’aspect
d’une boule de feu, les effets lumineux rayonnants, une lumière nonéblouissante,
une rotation à grande vitesse, le silence de l’engin (pas de
bruits de moteurs), des apparitions et disparitions soudaines. Tout ceci
est très caractéristique de tous les témoignages oculaires d’OVNIs
contemporains. Que cela plaise ou non, c’est un fait. Et l’Eglise le sait,
et à haut niveau dans les sociétés secrètes maçonniques on le sait aussi.
Les “révélations” de Fatima intéressèrent au premier chef le Vatican,
car les conclusions des discours de la “Vierge” parlaient sans détour de
la fin de l'Eglise Catholique. Il est évident que les Papes n'ont jamais
voulu ébruiter cette échéance, définie ou non. Fatima, depuis 88 ans, a
été marqué du sceau de la peur Catholique, avec justification.
Si l'on considère les vingt siècles de guerres de religion, croisades, colonialismes,
discriminations juive, protestante, cathare, des noirs (et autres),
Inquisition, chasse aux sorcières, dans le passé, et, de nos jours la pédophilie
à grande échelle, refus de la science, complicité implicite de la pandémie
du sida, il est bien évident que “Marie” et son “beau père”, Jahweh
l'éternel, auront par avance signifié la fin, à plus ou moins brève échéance,
275
de l'institution basée à Rome. Elle a trahi les enseignements les plus
simples et basiques de son prophète, c'est-à-dire Jésus ! Fatima, c'est ça,
démystifié.
De plus, Fatima a annoncé celui qui viendrait après Jésus pour accomplir
la prophétie de l'Apocalypse de Jean (apocalypse : en grec “révélation”)
: destruction du mythe de “Dieu” et également les prophéties de
Papa Simon Kimbangu pour le continent africain et l'Homme noir. Avec
l'avènement de ce Messie qui est annoncé et les Messages qu'il apporte,
on peut affirmer que Fatima se réalise pleinement.
Le mystère de “Dieu”, cette entité, par l'intermédiaire des bras armés, est
bien responsable de centaines de millions de victimes depuis 2000 ans,
répétons-le. Le trait est tiré : ce sont les Elohim de la Bible, des extraterrestres,
des humains venus d'ailleurs, qui ont créé, à l'aide de la science,
toute vie sur Terre voici à peu près 13 000 ans. Ce sont les Elohim (pluriel
hébreu traduit par ignorance par “Dieu”...) qui ont envoyé tous les
prophètes dont Jésus : la parousie se clôt donc avec le second Fils, frère
du Nazaréen, qui est celui qui est annoncé pour venir apporter la révélation,
il est là, sur terre. Il vient donc mettre fin au déisme, annoncer
(entre autre) cette bonne nouvelle dans ses livres, et souhaite construire
une Ambassade en terrain neutre pour accueillir les Créateurs : des
hommes comme nous, plus avancés.
Ils reviendront, sous trente ans maximum, accompagnés par Moïse, Elie,
Ezechiël, Kimpa Vita, Simon Kimbangu, Bouddha, Mahomet, les autres
prophètes et… Jésus, tel qu'il est écrit. Tel que les “secrets” de Fatima
le signalent. Vous pouvez y croire ou non. Que ceux qui ont des yeux
voient et comprennent. Tout s'accomplit, et il est temps de s'en rendre
compte. Souvent la vérité est aussi simple qu'incroyable. Libre à ceux
qu'elle intéresse de se documenter sérieusement et de comprendre…celui
qui est annoncé pour les peuples de la terre est là, celui qui a été annoncé
par le Prophète africain Papa Simon Kimbangu, comme le 'Nkua Tulendo'
devant accomplir le “Dipanda Dianzole” (la libération totale de l'homme
noir), est là, vivant parmi nous.
Le Pape Jean-Paul II, avait fait du 'mystère' de Fatima un véritable “cirque
de Fatima”, il a offert à ce cirque la balle qui l'atteint lors de l'attentat de
1981 place Saint-Pierre, en prétextant que c'était la Vierge Marie en personne
qui l'avait sauvé de cet attentat et que ceci faisait partie des révé-
25. LE GRAND SECRET
POISON BLANC
276
lations de Fatima, donc, qu'un 'miracle' en sa faveur se serait accomplit
à travers la Vierge ! Que des mensonges ! Ce n'est pas vrai … et qu'estce
que le Vatican a bien orchestré tout cela ! Aujourd'hui, cette balle, cerclée
de pierres précieuses, est le joyau devant lequel les fidèles
catholiques viennent se recueillir, après l'épreuve sanctifiante de la traversée
à genoux de l'immense esplanade de la basilique ! Le Vatican
ment ! Le 13 mai 2000, à la fin de la béatification des bergers de Fatima,
le cardinal Angelo Sodano a annoncé la soit-disant révélation de la troisième
partie du secret de Fatima, qui aurait concerné directement Jean-
Paul II et ils ( le Vatican) auraient publié intégralement le 26 juin 2000
le message de Fatima ! Ce n'est pas vrai… ils ont menti tout au long en
ce qui concerne les secrets de Fatima ! Le message “secret” de Fatima
concerne la fin de l'Eglise, la venue du frère du Nazaréen (Jésus), qui
viendra détruire le mythe de “dieu”, et l'arrivée imminente de nos créateurs
humains célestes. Voilà la vérité !
Alors, pourquoi donc cette obstination à cacher tout cela, à ne pas révéler
ces choses qu’ils connaissent ? Pourquoi ? Pourquoi leur quête effrénée de
pouvoir ? Pourquoi leur recherche incessante de richesse monétaire afin,
pour certains courants maçonniques, de dominer le monde ? Qu’est-ce
qui anime ces sociétés secrètes particulières où les choses tournent toujours
autour de l’argent et du pouvoir ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui est devenu, à
leurs yeux, plus important que la Vérité elle-même ? Et qu’est-ce qui a pu
les motiver à un point tel qu’ils aillent à contre-courant de la Vérité ? Pour
le Vatican, on peut aisément comprendre, il a depuis le début été bâti sur
le mensonge et s’est développé dans le mensonge; il ne veut pas perdre son
pouvoir, ce suprême pouvoir pour lequel il a toujours oeuvré et qui est la
véritable mission qu’il s’est donnée, son objectif de tous les temps… pour
lui rien n’a changé. Mais, dans le cas de ces loges maçonniques particulières,
on comprend moins pourquoi cette obstination entêtée ?
Personnellement, je n’ai que deux hypothèses à formuler pour répondre
à cela. Ces hypothèses je les assume, tout en étant conscient que je peux
me tromper. Mais, des différentes pistes que m’ont fait emprunter mes
recherches pour essayer de comprendre, le chemin qui m’a mené à ces
hypothèses-là, est celui qui me paraît le plus logique, le plus évident, tout
en admettant, je le redis, une possibilité d’erreur de ma part. C’est pour
cela que je ne parle que d’hypothèses ; elles émanent des cogitations de
mon cerveau, mais, même à titre personnel, rien que pour moi-même, je
les considèrerai dans mon esprit comme pures hypothèses, aussi longtemps
qu’il n’y aura pas davantage d’indices solides allant dans le sens
que je vais évoquer.
Par contre, exprimer ces hypothèses m’offrira, en prime, l’occasion de
jouir d’un réel plaisir : celui de détruire un autre mythe chrétien épouvantable,
de combattre une aberration supplémentaire de la chrétienté, à
savoir, la croyance “chrétienne” en l’existence d’un diable, appelé justement
“Satan”… serait-ce un hasard ?
Alors, penchons-nous avec curiosité, au Chapitre suivant, sur ce fameux
Satan pour étayer ma première hypothèse et puis sur l’histoire des douze
tribus d’Israël pour la seconde hypothèse.
25. LE GRAND SECRET
277
POISON BLANC
278
26. Le mystère de Satan et
l’histoire des douze tribus d’Israël
a. Le Mystère de Satan
Tout comme il n’existe pas un “bon dieu” unique, immatériel, tout puissant…
il n’existe pas non plus ce “diable” auquel on a voulu nous faire
croire. Cette figure qui incarne le mal, la destruction, la fin des temps,
la fin du monde, n’existe en tout cas pas sous la forme où on nous l’a
imposée. Pas du tout !
Satan est tout simplement un être humain, en chair et en os ; il fait partie
des fils d’Elohim, de ce peuple venu de l’espace, le peuple de ces
extraterrestres qui ont créé toute vie sur Terre, y compris celle de
l’homme, fait par eux “à leur image”. Il se nomme “Satan”, puisque,
comme tout individu, il porte un nom.
S’il figure parmi les trois grands personnages de ce peuple extraterrestre,
les deux autres étant Yahvé et Lucifer, c’est pour une raison bien particulière.
Cette raison, qu’on peut aisément déduire des écritures, c’est que Satan était
contre “l’homme” ; dès le début de cette “expérimentation” il était contre
la création de l’homme ; alors, une fois “l’homme” créé, Satan reçut – et
même à maintes reprises – l’autorisation de le tester pour voir si cet homme
était valable, si l’homme était “bon”, ou à l’inverse, pour voir jusqu’où
l’homme pourrait aller dans le mal s’il choisissait cette voie-là ; il lui fut
donné aussi le droit de tester si la fidélité de l’homme était solide par
rapport à une mission ou un enseignement qu’on lui confiait.
Les différents tests appliqués par Satan sont connus ; citons comme
exemple, ceux imposés à Job, dont la bible nous raconte la vie au chapitre
justement nommé “le Livre de Job”… mais ce n’est qu’un cas parmi
tant d’autres. On lit à ce sujet dans “les écrits” que la majorité des
Prophètes ont subi un test de “Satan”, que ce dernier – et avec lui aussi
tout le peuple Elohim – peut, moyennant autorisation de Yahvé, tester les
contactés, les élus Prophètes, pour voir s’ils sont dignes de leur mission,
s’ils vont être fidèles, si Elohim peut compter sur eux.
Que les tests de Satan aient concerné Zoroastre, Moïse, Job, Jésus, ou
encore d’autres “Prophètes” ou “Contactés”… ils furent bien vite repérés
et connus dans diverses religions, c’est ainsi que - et encore une fois ce
n’est qu’un exemple - dans beaucoup de traditions religieuses bantous,
il est question d’un “dieu de la tentation” qui teste l’homme de façon
rusée.
Utilisons un peu notre cerveau, en nous extrayant des croyances aveugles
et stupides engendrées par la peur de ce diable “chrétien”, en nous posant
simplement la question suivante : Pourquoi donc Satan était-il contre
l’homme ?
On peut très facilement comprendre qu’il y ait eu sur la planète d’Elohim
une partie de la population opposée aux expériences que certains de
leurs scientifiques menaient. Que cette population ait exigé un comité de
bioéthique contrôlant – ou au minimum, surveillant – les expériences
génétiques menées par certains, et qu’une partie au moins des habitants
de cette planète développent certaines craintes pour leur propre civilisation.
On comprend facilement qu’une majorité ait cherché à faire interdire
certains travaux d’ingénierie génétique… et on le comprend d’autant
mieux qu’on vit cela nous-mêmes actuellement, sur notre planète Terre,
depuis que des scientifiques se sont mis à parler de “clonage”. Mais un
mouvement d’opposition d’une telle ampleur a forcément un visage ou,
dit plus exactement, un “leader”, un “président”.
Alors, si à ce moment-là de son histoire, ce peuple a déjà, et la science,
et les énergies nécessaires pour pouvoir voyager dans le cosmos, quitter
son système solaire et se déplacer dans la galaxie où il se trouve, on
peut aisément entrevoir comment les choses vont se passer chez eux : il
y aura des débats parlementaires, on va bien sûr débattre largement de
cette question importante et chacun nourrira le débat de sa propre argumentation…
tout en sachant, par expérience, qu’il est impossible de
279
26. LE MYSTÈRE DE SATAN ET L’HISTOIRE DES DOUZE TRIBUS D’ISRAËL
POISON BLANC
280
stopper les progrès de la science, et qu’il faudra, de toutes façons, trouver
une solution, un compromis qui convienne, sinon à tous, au moins à
une raisonnable majorité.
Et c’est ainsi que les dirigeants de cette planète finiront par donner à
l’équipe des scientifiques et artistes intéressés par ces expériences, une
autorisation de poursuivre ces nouveaux travaux d’art et d’ingénierie
génétique associés, à la condition expresse qu’ils soient effectués, dans
leur galaxie oui, mais sur une planète assez éloignée de celle sur laquelle
leurs congénères vivent à cette époque de leur civilisation.
Eh bien, c’est effectivement ainsi que les choses se sont passées… il y
a plusieurs dizaines de milliers d’années : les scientifiques et artistes,
fils et filles d’Elohim ont choisi la planète terre pour poursuivre leurs
recherches, leurs expériences, leurs travaux mais, simultanément, ce
courant réactionnaire – dont Satan est le leader – a reçu des garanties
assorties d’une certaine liberté de contrôle de ce qu’entreprendraient les
équipes de création. L’une de ces garanties aura pu être, par exemple :
que soit interdit aux créateurs de créer des êtres qui soient “à leur image”.
Les écritures nous informent très clairement du fait qu’il y a eu, à un
moment donné, volonté de certains de passer outre une interdiction ainsi
formulée, c’est bien le cas de Lucifer : ses compagnons et lui, responsables
de notre création, décidèrent, délibérément, de ne pas tenir compte
d’une telle injonction.
Ce qui a certainement amené Satan et ses partisans à penser qu’il n’y avait
rien de bon à attendre de tout ça… Que cela ne pouvait que mal tourner,
ou se tourner vers le mal… ce qui n’est guère mieux ! Ce que voyant, son
groupe s’est probablement conduit comme tout parti politique d’opposition
qui n’est pas content : il a exigé qu’on lui donne la parole, que les
gouvernants l’écoute, il a fait des propositions et réclamé que soient
prises certaines mesures.
Ce qui mécontentera Satan encore davantage ce seront deux autres faits,
que les écritures nous racontent aussi très explicitement. D’abord, le
groupe de Lucifer va non seulement créer des êtres que ces scientifiques
feront “à leur image”, mais il va aussi expliquer aux êtres ainsi créés que
eux, leurs créateurs, ne sont pas des dieux, mais des humains faits de chair
et de sang, qu’ils sont venus du ciel, dans des engins volants bien palpables.
C’est ce qui explique le nom de “Lucifer” donné au personnage à
la tête de ce groupe de créateurs, “Lucifer” voulant dire “porteur de
lumière”, autrement dit : celui qui apporte la connaissance, qui explique
les choses, qui apporte le fruit de la connaissance aux hommes.
En étudiant les écritures on peut alors constater et comprendre, que la
planète mère va punir ce groupe, elle va sanctionner ceux qui ont
désobéi. Ceci est très symboliquement représenté par “le serpent qui est
condamné à ramper sur terre, dans la poussière”… ce “serpent” c’est,
bien sûr, l’équipe des créateurs qui sont interdits de retour chez eux,
condamnés à rester sur Terre avec nos ancêtres, comme l’explique la
Bible, laquelle ajoute clairement que Satan n’est pas content de cette
sanction, qu’il la juge insuffisante, qu’il exige la destruction des oeuvres
de ce groupe, et pour argumenter son point de vue, il cherche à faire
admettre qu’il n’y a que du mauvais en l’homme, que de lui ne peut
venir que du mal et pour se justifier il accumule des preuves qui toutes
soient défavorables à l’homme.
Puis intervient une troisième désobéissance de ces extraterrestres bannis
sur terre, certains des membres du groupe de Lucifer vont se mélanger
sexuellement avec ceux qu’ils ont créés. Des enfants naîtront de ces
ébats amoureux, et les terriens ensuite obtiendront des armes de leurs
créateurs ; bien sûr au début ce ne sera que pour chasser leur nourriture…
mais très vite cela va dégénérer et les hommes vont commencer
à s’entretuer les uns les autres avec ces armes-là… hélas, à voir où nous
en sommes arrivés, aux XXème et XXIème siècle après J.-C., on peut bien
se demander nous-mêmes : à quoi donc nous a servi “le progrès”, sur ce
chapitre-là du moins, depuis cette lointaine époque de nos ancêtres ?
Or, ces constatations vont apporter des preuves supplémentaires à Satan,
qui se présentera avec tout cela devant les parlementaires de la planète
mère d’Elohim. Dès lors, son raisonnement l’emporte, la décision est
prise : cette expérience est ratée, il faut détruire toute vie sur Terre, et
rapatrier le groupe de Lucifer (les “anges déchus” de la Bible, appelés
les “Nephilim” dans les écrits en Hébreu).
Mais, une fois de plus, le groupe de Lucifer va désobéir : ces fils
d’Elohim, avant d’être rapatriés, décident de sauver, parmi les descendants
des êtres qu’ils avaient créés, ceux qu’ils jugent les mieux réussis
et justement, parmi ceux-là, il y a “Noé” ; ils lui procurent alors un
vaisseau spatial, qui le protégera de la destruction, mais pas seulement
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26. LE MYSTÈRE DE SATAN ET L’HISTOIRE DES DOUZE TRIBUS D’ISRAËL
POISON BLANC
282
lui, également tout ce qui se trouvera à l’intérieur de ce vaisseau… et c’est
ainsi que, quelque part en orbite autour de la planète terre, quelques
hommes et les espèces animales - dont les codes génétiques choisis
auront été entreposés dans ce “vaisseau” - seront tous et toutes
“conservé(e)s”, en étant mis à l’abri du “déluge”.
De l’existence de ce “déluge” on trouve effectivement la trace dans les
traditions de pratiquement toutes les civilisations. Eh oui, c’est aussi
simple que ça : l’arche de Noé, en fait, c’était un vaisseau spatial, mis en
orbite autour de notre planète et non pas un bateau voguant sur les mers
du globe déchaînées par les eaux du déluge ! Il ne suffit que de réfléchir
un peu, un tout petit peu… pour comprendre que les choses se sont bien
passées de cette façon-là.
Une destruction, un cataclysme, provoqué par ces êtres extraterrestres,
a donc lieu. Tout est détruit sur Terre. Un certain temps s’écoule puis,
d’après ce que les écritures nous racontent, pour une raison spécifique
ou pour une autre, Elohim décide de réimplanter la vie sur la Terre, à
partir des codes génétiques conservés dans le vaisseau de Noé. Et cela,
malgré la position de Satan et de ses supporters, qui continuent à ne pas
croire en l’homme et à ne voir en sa réimplantation sur Terre que du
danger, mais qui s’inclinent toutefois devant la position de la majorité du
peuple dont ils font partie.
C’est là par contre que les dieux décident de laisser l’homme progresser
par lui-même, tout seul… sans l’aide de leur présence. Les traditions bantous
parlent de cette période comme de la période où les dieux sont absents,
où Yahvé a abandonné l’homme et l’a laissé seul. C’est pour ça que chez
les Bantous on comprend très facilement ce que je viens d’exposer.
Et qu’est-ce qu’on voit se produire alors, au fur et à mesure que le temps
passe ? Eh bien, que Elohim va choisir de faire naître parmi les hommes
des êtres qui seront chargés, eux, de donner naissance à des religions
ayant pour but de conserver des traces de leur oeuvre, pour les temps à
venir, au moment où l’homme sera arrivé à une connaissance suffisante
de la science pour qu’il puisse comprendre. C’est l’ère des Prophètes qui
s’ouvre. Et l’on remarque bien, dans les écritures, qu’à chaque fois Satan
pourra tester les Prophètes pour voir s’ils sont fidèles à nos créateurs.
Comment Satan procède-t-il pour tester ces personnes choisies par
Elohim ? On peut remarquer dans les écritures que jamais il ne teste la
personne avant qu’elle ait été contactée, qu’elle ait déjà appris quelle mission
elle aurait à accomplir et même qu’elle ait déjà entamée ladite
mission. C’est alors seulement que Satan la contacte, lui dit beaucoup de
mal d’Elohim, de Yahvé, lui demande de le renier, de renoncer à sa mission,
de s’allier plutôt à lui Satan ; en échange il lui promet richesses,
pouvoirs et abondances matérielles de toutes sortes.
Voilà comment il s’y prend, le fameux “diable” de la Théologie…
chrétienne !
Mais au fait, ce mot “diable” employé rien que pour nous effrayer…
diable d’où vient-il ? Excellente question (!) Réponse : du mot grec “diabolos”
qui signifie tout simplement “calomniateur”, ceci explique cela
n’est-ce pas !
D’ailleurs à maintes reprises Jésus appelle ce calomniateur par le nom
qui est le sien dans les écritures, il le nomme tout naturellement “Satan” !
Le livre de Job est extrêmement intéressant et tout à fait éloquent à ce
sujet, car il démontre parfaitement que Yahvé et Satan se connaissent fort
bien et qu’ils entretiennent entre eux une relation plus qu’amicale, très
fraternelle, pleine de respect mutuel ! (JOB, I, 6-12). On voit aussi très
clairement dans Job qu’au sein de la structure politique d’Elohim,Yahvé
a une situation supérieure à celle de Satan.
Voilà, le “diable Satan”, démystifié, déshabillé de sa queue fourchue, de
ses cornes menaçantes et de ses oreilles pointues, le voilà pour de bon
débarrassé de son costume d’opérette, il se retrouve (enfin) dans son
costume “humain”, tel qu’il a toujours été, faisant partie des dieux humanisés
dans les religions bantous authentiques… celles d’avant l’ère de la
colonisation religieuse du continent africain par les Eglises chrétiennes
menteuses et usurpatrices !
Revenons-en à mon hypothèse qui n’est encore aujourd’hui, qu’une
simple hypothèse, je le répète.
Il est plus que sûr que Satan et ses supporters doivent toujours, donc
encore aujourd’hui, être très soucieux du taux d’agressivité supérieurement
élevé présent dans l’espèce humaine, du rejet du bien et du choix
du mal que l’homme fait si souvent, de l’inconscience qu’il peut afficher
avec tant de désinvolture. On peut aussi supposer très logiquement que
Satan continue à observer et à tester l’humanité, que lui et ceux qui pensent
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26. LE MYSTÈRE DE SATAN ET L’HISTOIRE DES DOUZE TRIBUS D’ISRAËL
POISON BLANC
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comme lui sur la planète des Elohim ne seront convaincus que la création
de notre humanité n’est pas ratée que quand ils verront les hommes
s’unir, supprimer l’argent et les armes.
En partant du fait que l’univers est infini – un fait que de plus en plus de
scientifiques contemporains reconnaissent – et que, dès lors, il y a une
infinité de formes de vies dans l’univers, il y a aussi une infinité de
peuples qui y créent de la vie… sur un nombre infini de planètes, donc
un nombre infini de peuples créateurs, et un nombre infini de peuples
créés, on peut admettre que tous ces peuples soient en pleine évolution
entre un stade de “primitifs” et une ère scientifique de technologies avancées
qui leur permettent de devenir créateurs eux-mêmes un jour.
On peut entrevoir que les peuples qui ont maîtrisé leurs énergies externes
autant que leur pulsions d’agressivité internes, ayant en même temps
développé une profonde sagesse, sont donc des peuples pacifiques,
constitués de gens conscients ; de ce fait on peut envisager que ces êtreslà
aient réussi à se préserver de l’autodestruction d’une façon définitive.
Dès lors, ceux-là peuvent, s’ils le souhaitent, aller créer de la vie dans
l’univers, puisqu’ils maîtrisent les voyages intergalactiques en dehors
de leur système solaire, se rencontrer entre êtres des peuples de ce niveau
de sagesse et de science, échanger et émettre ensemble des lois cosmiques
pour la sauvegarde de l’équilibre universel.
En d’autres mots, ces peuples sages, dont les populations ne sont plus
“abruties” par manque de science peuvent entre eux établir, sur les bases
de leur sagesse commune, des lois qui assurent qu’à partir d’un niveau
déterminé, un peuple agressif et/ou violent ne puisse pas avoir accès, à
certaines énergies avec lesquelles il pourrait entreprendre des guerres cosmiques
mettant en péril l’équilibre de l’univers, équilibre à la réalisation
duquel ces peuples sages participent et dont tous bénéficient.
Il convient donc obligatoirement, qu’avant de donner un certain héritage
scientifique, technologique à des êtres récemment créés, on soit pleinement
convaincu qu’ils n’en feront pas mauvais usage ; il faut pour cela
s’assurer que cette humanité est bien en marche vers une conscience
planétaire, vers un désarmement total, vers la paix universelle.
Sachant que, pour parvenir à passer ce cap-là, cette humanité devra être
capable de débloquer certains verrous, savoir, par exemple, respecter les
différences de religions, de races et de cultures, voire, éprouver de la joie
à s’enrichir de leur découverte ; il sera donc nécessaire, encore et toujours,
que des tests comme ceux de “Satan” permettent de voir jusqu’où
l’homme peut aller dans le mal ou dans le bien, dans la corruption ou la
générosité… s’il peut résister à la tentation, à l’égoïsme, au goût du
pouvoir, à celui de la domination… ou, au contraire, jusqu’à quel point
il pourrait se laisser guider par son inconscience et choisir de faire sciemment
mal à autrui, uniquement pour en retirer bénéfices et intérêts
personnels.
Pour qu’elle puisse accéder à la grande famille des civilisations intergalactiques,
il faudra – c’est normal et bien compréhensible – qu’une humanité
prouve, d’une façon ou d’une autre, qu’elle est digne de recevoir l’héritage
scientifique particulier qui lui permette cet accès au plan cosmique.
Très certainement, à une époque déterminée, il arrive à une humanité de
devoir faire ses preuves et ceci intervient, logiquement, lorsque le cours de son
évolution l’amène à découvrir les énergies dont l’utilisation pourrait entraîner
son autodestruction. A ce moment de son histoire, tout se passera bien
pour cette humanité si, et seulement si, son niveau de sagesse et de conscience
planétaire est égal ou supérieur à son niveau de progrès technologique.
Notre humanité terrestre est arrivée, je pense, à ce moment crucial : nous
avons découvert l’atome et l’énergie atomique puis nous avons accumulé
sur la surface de notre globe des stocks énormes d’armes nucléaires,
capables de faire sauter la planète plusieurs centaines de fois !
Elohim sachant que, forcément cette période allait arriver pour nous, je
pense que la liberté a été accordée à Satan de placer un dernier verrou
au sein de notre humanité, qu’il fasse ici son dernier test nous concernant,
laissant ensuite notre humanité choisir son destin, lui se contentant
d’observer si nous nous déciderons (enfin) à marcher dans le bon sens !
Depuis, Elohim n’intervient plus et l’homme est laissé seul pour passer
l’épreuve finale de la résolution de la violence.
C’est vrai qu’il y a de quoi être ébranlé quand on voit le nombre effarant
de choses éloignées du “bon sens” qui se passent actuellement sur Terre ;
il y a tellement de mal qui se fait sur notre petite planète bleue au détriment
d’une gigantesque partie de sa population, il suffit de voir comment
les guerres se font et se refont, comment naissent des conflits qui semblent
ne jamais devoir finir, comment certaines alliances se bâtissent
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26. LE MYSTÈRE DE SATAN ET L’HISTOIRE DES DOUZE TRIBUS D’ISRAËL
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et/ou se démolissent en fonction uniquement d’objectifs économiques,
simplement par souci d’accroissement de richesses et/ou de pouvoir,
bien souvent sans le moindre respect pour l’être humain.
Quand on voit comment l’industrie de l’armement profite à ceux qui décrètent
eux-mêmes les guerres, et qui gagnent honteusement des sommes
exorbitantes en vendant des armes des deux côtés du front, sans tenir
aucun compte de la vie ni de la douleur des filles et des fils de la Terre.
Quand on voit à quel point certaines institutions, dites “humanitaires”
– lesquelles devraient donc, par définition, guider l’humanité vers la
paix, le bonheur, la prospérité – à quel point, dis-je, elles se laissent instrumentaliser
au profit des plus riches et mentent quand elles prétendent
être là pour faire régner l’équité sur terre et aider les pays pauvres.
On peut réellement se poser des questions sur le véritable but d’organisations
telles que l’ONU, l’OTAN, la Banque Mondiale, le Fond Monétaire
International, l’OMC (l’Organisation Mondiale du Commerce), etc. Quand
on sait comment fonctionnent ces organismes mondiaux, le plus souvent
à l’inverse de ce qu’ils sont censés faire, on peut se demander si ils ne sont
pas infiltrés jusqu’au cou par des agents. Quels agents ? Ceux de sociétés
secrètes dont le seul but, une fois encore, est l’accumulation de pouvoirs
et de richesses au profit d’une poignée d’individus sans scrupule.
Pourquoi Satan n’aurait-il pas, à un moment donné, contacté certains
membres d’une importante société secrète, ou un petit groupe de personnes
très puissantes au niveau financier et économique, ou certaines personnes
de familles très puissantes au niveau financier, des personnes
qui, peut-être, auraient déjà une certaine connaissance de base secrète ?
Pourquoi certaines loges franc-maçonniques ne se seraient-elles pas
créées à partir d’un contact avec Satan dans le passé ? Aucune idée,
mais, je me pose vraiment la question.
Dans le cadre de mon hypothèse, qui n’est qu’une hypothèse et qui ne
vaut pas plus que cela, il se pourrait que Satan ait mis ces personnes à
l’épreuve, en leur proposant un pacte qui aurait pu être formulé par
exemple de la façon suivante :
« Moi, Satan, et ceux très nombreux qui me soutiennent, nous pensons
que l’homme est mauvais, et ne partageons pas l’avis de Yahvé et Lucifer,
les hommes sont négatifs et vont s’autodétruire tôt ou tard, nous ne
souhaitons plus voir cette humanité continuer à exister.
Nous vous proposons de nous aider à accélérer son auto-destruction ;
de toutes façons les hommes sont les fruits d’une création ratée. Si vous
refusez de nous aider vous allez devenir très pauvres, vous allez souffrir,
connaître la prison, être tués par vos frères les hommes.
Si vous acceptez, en créant des tensions raciales sur terre, des conflits
ethniques, l’inégalité, l’oppression des peuples, en installant des dictatures,
en créant des guerres de religions… tout en soutenant votre religion
à vous, le judéo-christianisme, et en faisant que la race blanche soit
celle qui domine le monde, etc. Alors, vous et tous ceux qui vous auront
aidés, seront sauvés du cataclysme final, nous vous emmènerons à bord
de nos vaisseaux, et nous vous permettrons de revenir sur terre quand
tout aura été détruit ; vous pourrez alors y implanter une nouvelle humanité,
un nouvel ordre mondial, que vous pourrez gouverner à votre gré,
avec notre appui.
Vous aurez l’argent qu’il faudra pour accomplir cette mission ; si vous
acceptez de la remplir, vous deviendrez riches et puissants et en plus de
cela, vous qui aurez accepté la mission et ceux que vous choisirez auront
accès à la vie éternelle.
Nous vous proposons de nous aider à accélérer la catastrophe finale
sur terre qui ne fera que purifier l’univers d’êtres qui ne méritent pas
d’exister : vous pourriez, pour y parvenir, activer les différents racismes
existant en l’homme, vous pourriez fonder des mouvements spirituels et
politiques qui oeuvreraient secrètement pour cela, vous pourriez créer des
peurs un peu partout, ce qui ferait augmenter le stock d’armes sur terre,
l’agressivité, l’intolérance et les haines raciale et religieuse.
De toute façon la cause de l’humanité est perdue, tôt ou tard elle va
s’autodétruire, à vous de progressivement accélérer cela, en vous y
prenant de manière à ce que cela ne se voit pas, que cela ne se ressente
pas, ne soit ni vu ni compris par les hommes, qu’ils ne s’en rendent pas
compte du tout, pas plus que Yahvé et tous ceux qui pensent comme lui
et qu’il faudra obligatoirement tenir à l’écart de tout ça ».
Ne pensez-vous pas qu’un groupe très restreint de personnes aurait pu
éventuellement accepter une telle proposition dans le passé ? Si ce pacte
n’était pas une hypothèse, mais bien une réalité, ceci pourrait expliquer
pourquoi les choses sur terre tournent si mal… pourquoi tant de guerres
se succèdent les unes aux autres – qu’on les appelle “raciales”, “ethniques”,
“de religion” ou “d’intérêt économique”, pour notre pauvre humanité
cela n’y change rien –. Cela pourrait expliquer également pourquoi
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26. LE MYSTÈRE DE SATAN ET L’HISTOIRE DES DOUZE TRIBUS D’ISRAËL
POISON BLANC
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on parle dans la Bible du bien et du mal, qu’on y parle aussi de
l’Armageddon, présenté comme un combat entre les fils et filles de la
lumière contre les fils et filles des ténèbres, lequel combat devrait avoir
lieu ces temps-ci.
Dans ce cas, d’un côté, les fils et filles des ténèbres seraient ceux du
groupe ayant accepté le “mal” et gardant le secret sur ce qu’ils savent
mais de l’autre, il y aurait les premiers cités, les fils et filles de la lumière,
eux seraient ceux qui oeuvrent réellement pour l’Amour, la paix, le
bien, la fraternité.
Et parmi ces êtres de lumière, il y auraient - maintenant, dans notre
époque actuelle - ceux qui suivraient et aideraient “le dernier des
Prophètes” annoncé, “le Messie”, sachant que lui serait combattu par les
autres, ceux des ténèbres qui organiseraient un complot international
pour freiner l’élan du Mouvement révolutionnaire que le Messie aurait
fondé, organiseraient des campagnes pour discréditer l’image de ce
“dernier des Prophètes” et useraient de calomnie à son égard, le diffameraient,
se moqueraient de lui, le tourneraient en dérision afin d’influencer
les masses pour qu’elles demandent, en quelque sorte “sa crucifixion”.
Tout cela se ferait avec le soutien de la presse, des médias-menteurs,
lesquels seraient, dans leur quasi totalité, sous le contrôle de ces fils et
filles des ténèbres.
Ces médias appartenant à “ceux des ténèbres” serviraient donc… à tous
“ceux des ténèbres” pour contrôler, diriger les pensées des gens, rendre
ces gens indifférents, laxistes, égoïstes, prêts à accepter les guerres et
conflits fomentés par les puissants du jour, tant ils seraient aveuglés ces
pauvres gens par des patriotismes nationaux stupides et tant ils seraient
poussés à la haine envers les cultures et religions autres que les leurs…
donc ces médias serviraient alors à normaliser la pensée des gens, à les
rendre comme une troupe de moutons bêlants allant tous en groupe se
jeter à la mer, puisque c’est la direction qu’on leur a indiquée.
D’un côté il pourrait y avoir cela, et/ou parallèlement le Vatican et ses
réseaux qui ferait quelques dernières tentatives pour “sauver la face”,
changer le cours de l’histoire, afin de continuer à exister et à étendre son
pouvoir. Ce Vatican qui, secrètement, continue à créer des guerres de civilisation,
qui est encore et toujours en croisade, tel que durant des siècles
jadis, mais qui, ne pouvant plus le faire ouvertement comme par le passé,
le fait maintenant par le biais de sociétés secrètes où ses agents travaillent
dans l’ombre.
N’entendons-nous pas régulièrement l’empereur romain du moment, le
chef des croisés du XXIème siècle, Président des USA,Mr. G. W. Bush dire :
“we are on a new crusade” (nous sommes dans une nouvelle croisade)!
Il y a en tout cas de quoi se poser un fameux nombre de questions sur la
manière dont les choses se passent actuellement sur Terre. Bien sûr, tout
ce qui est écrit ci-dessus, dans le présent chapitre, n’est que pure hypothèse,
je le répète une dernière fois, mais par contre ce qui est une évidence,
une réalité hélas vérifiée chaque jour, c’est que le Vatican fait
énormément de mal sur terre par ses actions sur le terrain et ses interventions
en coulisses. Qu’il y a quelque chose d’abominable derrière
ses somptueux décors, qu’on y cache obstinément la Vérité, qu’il n’y a,
pour lui, que le pouvoir et l’accumulation de richesses qui compte et
que “au bout du compte”… au bilan de ce compte, après 20 siècles de
ce pouvoir sans aucun partage, il est lisible que le Vatican conduit maintenant
toute l’humanité à sa perte.
S’il tenait avec sincérité à la logique d’Amour qu’il ressasse quotidiennement,
le Pape devrait commencer par excommunier le Président
Bush, qui se dit “bon chrétien”, qui prie avant de donner le feu vert
pour le largage des bombes qui vont toucher des populations innocentes,
qui clame que “Dieu est avec lui”… comme Hitler l’affichait sur les
ceinturons de ses militaires, qui prie journellement pour que “Dieu
bénisse les Etats-Unis”, pour que donc Dieu et Jésus bénissent ses
bombes qui vont aller tuer des civils innocents non combattants, adultes
et enfants. C’est d’une complète aberration, c’est tellement contraire à
l’enseignement de Jésus, qu’en principe le pape devrait l’excommunier
immédiatement.
Mais bien sûr le Pape Jean-Paul II n’excommuniera pas le Président
Bush, il n’en fera rien, car il y a tant de vérités cachées derrière le masque
de bonté des prélats du Vatican… c’est que, “en haut lieu”, tout “Monseigneur”
approuve l’ensemble des actions de ce genre, tous ceux de “la
Curie” appuient ces guerres de civilisation et de religions.
Tout au long de leur histoire deux fois millénaires, ils ont toujours mené
guerres et actions violentes de toute nature contre ceux qui n’acceptaient
pas leur autorité, ceux qui voulaient penser autrement qu’eux, contre
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26. LE MYSTÈRE DE SATAN ET L’HISTOIRE DES DOUZE TRIBUS D’ISRAËL
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des athées, par exemple, mais aussi contre les polythéistes, quelque
soient les opinions des uns et des autres. C’est cela leur véritable réalité,
autant historique qu’actuelle ; il est grand temps que, lucidement, nous
en prenions conscience… le Vatican exige soumission à son autorité et
possède des troupes et agents pour réaliser cela !
Mais, il y a peut-être encore autre chose qui pourrait gêner énormément
l’Occident chrétien… je cherche à comprendre… Pourquoi cela pose-til
tant de problèmes de reconnaître la vraie place de “l’homme noir”
dans l’histoire de l’humanité et en particulier sa place dans l’histoire
des religions ? Dès le début il en fut ainsi… dans la Grèce antique, puis
chez les Romains et enfin – jusqu’à nos jours actuels dans l’Europe et
dans le monde, mais tout particulièrement dans le monde occidental
chrétien… Pourquoi donc cela paraît-il impossible que “l’homme noir”
soit reconnu pour ce qu’il est et aussi pour ce qu’il a réellement été dans
l’histoire de l’Humanité, au niveau des Sciences et au niveau de l’Histoire
des Religions ?
Pour l’instant je n’ai pas de réponse formelle à la question que je viens
de poser, mais je persiste à dire qu’il est important qu’elle soit posée et
que les noirs devraient être eux-même les premiers à trouver une réponse
juste à cette question qui perturbe tant notre vie à tous.
Cet objectif d’étouffement de “l’homme noir” pourrait-il être aussi l’un
des buts de ce complot du silence, l’une des raisons de ce secret qu’il faut
maintenir à tout prix… complot et secret eux aussi deux fois millénaire ?
Qu’est ce que le Vatican, de nos jours, pourrait encore gagner à maintenir
ce secret et à cacher au monde la réalité à ce niveau-là, en s’appuyant
pour ce faire – comme il le fait peut-être – sur un accord tacite conclu
entre lui et certaines personnes d’Ordres secrets (l’Opus Deï, l’Ordre
des Jésuites, l’Ordre des chevaliers de Maltes, etc.) ?
Y a-t-il, par exemple, autour de l’Homme noir une chose ou une autre
qui pourrait tous les gêner à un point tel qu’ils se sentent obligés de
s’unir pour combattre ensemble sur ce front-là aujourd’hui ?
En attendant… bravo au Catholicisme et à la Chrétienté ! Bravo d’être
parvenu… à si bien nous tromper !
Mais en tout cas pour nous, cela fait une raison de plus pour approfondir
ensemble ce grave sujet et c’est ce que nous allons faire dans le propoison_
chain Chapitre, mais, afin de nous aider à découvrir “les tenants et les
aboutissants” de tous ces mensonges, étudions en préambule l’histoire
des douze tribus d’Israël ; ensuite on pourra mieux comprendre pourquoi
il y a tant d’opposition à la Vérité, pourquoi il y a… quelque part, une
volonté délibérée de renier “Elohim”, le peuple de nos Dieux-Créateurs.
b. L’Histoire des douze Tribus d’Israël
Après la mort du roi Salomon, constructeur du premier Temple, il y eut
une grande décadence politique et morale. Un schisme religieux se produisit
au sein du royaume hébreu, qui se scinda en deux. Les dix tribus
du Nord firent sécession et constituèrent le royaume d’Israël, tandis que
les deux tribus du sud (Benjamin et Juda) formaient avec Jérusalem le
royaume de Judée.
Pour succéder à l’harmonieuse unité créée par le grand Salomon, il y eut
deux frères ennemis et naquirent deux états rivaux. L’histoire du royaume
d’Israël des dix tribus du Nord fut brève et sans gloire. En 721 av. J.-C.
Nabuchodonosor roi de Babylone (les Assyriens) détruisit et dispersa les dix
tribus constituant le royaume dissident d’Israël, ayant rompu l’alliance avec
leurs pères créateurs dans les cieux.
En 587 av. J.-C. ce fut au tour du royaume de Judée de succomber sous
les coups des Babyloniens. Il s’ensuivit en 586 puis en 581 av. J.-C. des
déportations massives vers la Babylonie. A Jérusalem les Babyloniens
rasèrent le Temple.
Nous pouvons donc dire qu’il y eut jadis deux royaumes hébreux, à
savoir : celui d’Israël avec les Dix tribus du Nord et celui de Judée, avec
les deux tribus du Sud (la tribu de Juda et celle de Benjamin) et que les
dix tribus du Nord, ayant rompu l’alliance, ne se soumirent jamais plus
à leurs pères, les Elohim.
Dès lors le Royaume du Nord, Israël et ses dix tribus vont disparaître de
la carte beaucoup plus tôt que le royaume de Judée : les dix tribus du
Nord seront dispersées et elles vont se dissoudre après le démantèlement
de ce Royaume du Nord par les rois d’Assyrie en 721 avant notre ère ; les
Assyriens déporteront et disperseront leurs populations. Mais, où ?
Certains membres des dix tribus israéliennes du Nord rejoignirent après
la déportation leurs frères du Royaume de Judée et mirent fin à la brouille
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26. LE MYSTÈRE DE SATAN ET L’HISTOIRE DES DOUZE TRIBUS D’ISRAËL
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entre eux et ceux des deux tribus du Sud, rétablissant ainsi symboliquement
l’union des douze tribus et renouant aussi leur alliance avec Elohim.
Cependant, un nombre important de membres des dix Tribus perdues,
disparues, demeurèrent “têtus”, ils continuèrent à avoir “la nuque raide”
face à Elohim ; ils restèrent des “irréductibles” et poursuivirent dans la
rupture de l’alliance. Ils continuèrent à demeurer, en quelque sorte, “en
rébellion” contre les Elohim, les malheurs vécus par leur patrie et les
épreuves subies en exil les avaient fait entrer dans cette rébellion face à
leurs pères, les Elohim, ils avaient alors, par voie de conséquence, répudié
l’Alliance (la fameuse “Alliance” entre Yahvelohim et “le peuple élu”
de jadis)… Rappelons-nous de ceci : la contre-partie de l’obéissance aux
Elohim et du respect de leur grand plan avait été la portion de cette “Terre
Promise” qui leur avait été attribuée, Terre que les Elohim vont ultérieurement
leur reprendre, étant donné que ces dix Tribus avaient elles-mêmes
décidé de rompre l’Alliance.
De ce fait une partie importante des dix Tribus du Nord ne rentrera pas
à Jérusalem après leur déportation par les rois d’Assyrie. Ses membres
reprendront leur liberté, ils abandonneront le culte de IHVH et des
Elohim, ils iront même jusqu’à répudier leur nom “Israël”, bien que
leurs chefs connaissent les secrets du grand plan céleste, du grand dessein
des Elohim, ils feront tout, dans les siècles suivants, pour contrecarrer
ce grand plan, ce grand dessein de leurs créateurs, les Elohim. Et
c’est ainsi, qu’on les verra renier les Elohim, développer systématiquement
un esprit d’opposition à Yahvé et s’organiser pour contrecarrer
automatiquement tout développement allant dans le sens du grand
dessein de Yahvé et des Elohim. Ils seront, entre autres, à l’origine de
maintes organisations qui s’opposeront aux “fils et filles de lumière”
oeuvrant, eux, pour l’aboutissement du grand dessein des Elohim. Ils
deviendront des ennemis farouches de ceux qui sont restés fidèles à
l’Alliance conclue avec Elohim, c’est le cas, notamment, des enfants de
Juda : les Juifs et aussi les Tribus Bantous d’Afrique, reliées aux tribus
de Juda et de Benjamin. Mais, où ont donc pu immigrer ces rebelles des
Dix Tribus d’Israël… sont-elles toujours “perdues” ?
Eh bien, sachez le : nos historiens retrouvent petit à petit la trace de leur
parcours … Certains sont arrivés vers la vallée du grand fleuve de
l’Europe Centrale : le Danube, et quelques historiens y trouvent des dérivés
de “Dan” (la Tribu de “Dan” est l’une des Dix Tribus perdues); cette
migration les auraient par la suite conduites jusqu’au Danemark, dont le
nom, “Dan-Mark”, est en partie composé de celui de la Tribu de “Dan” ;
d’ailleurs dans ces pays ou contrées l’on a retrouvé des centaines de
tombes portant des inscriptions hébraïques et datant de l’époque de l’exil
des enfants d’Israël.
Après leur déportation d’Israël et chassées de Jérusalem par les rois
d’Assyrie, les dix Tribus d’Israël, les Dix Tribus du Nord, vont, en fait,
disparaître de l’Histoire pendant des siècles et des siècles. Où sont-elles
allées ? elles sont allées vers le Nord… vers la vallée du Danube… vers
le Danemark pour la Tribu de “Dan”, mais également vers d’autres
contrées de l’Europe profonde pour d’autres des Dix Tribus perdues.. Il
est sûr et certain que les Dix Tribus perdues ne furent pas toutes détruites,
et même que certaines connurent une odyssée extraordinaire !
On peut noter qu’en 113 av. J.-C., les Romains furent étonné et surpris
par une attaque soudaine de ceux appelés “Kimbri” qui envahirent le
Pays de Galles. Qui étaient ces “Kimbris” ? Eh bien, probablement rien
d’autre que des membres des Tribus d’Israël perdues (en hébreu : les
“béit-Khumri”, la “maison”, la “famille”). D’après certains historiens
sérieux, les Angles, les Saxons, les Jutes, les Dans, les Goths, les
Normands… ne seraient que des rejetons de ces Dix Tribus… ceux-ci vont
à leur tour, plus tard, envahir la Grande Bretagne, et vont en devenir les
rois. Ce n’est pas pour rien que nous pouvons trouver parmi les anciens
rois d’Irlande trois rois nommés “David” et trois rois nommés “Salomon”,
cela bien avant la naissance du christianisme ! Beaucoup de personnages
considérables tels que la Reine Victoria, le Roi Edouard VII, des hommes
d’Etats, des généraux, des amiraux, et toute une foule de gens pensent
que la Grande Bretagne fut jadis peuplée par les membres des Dix Tribus
d’Israël. Il existe en Angleterre et aux Etats-Unis une “British World
Federation” qui regroupe des centaines de milliers d’adhérents partageant
cette pensée !
On entend même parfois dire que… entre les quatre pieds du trône
d’apparat sur lequel Sa Majesté la Reine d’Angleterre pose religieusement
son séant, se trouve insérée la pierre sur laquelle David, Roi d’Israël
trônait lui-même à Jérusalem !
Anecdote que je vous livre sans l’avoir vérifiée… “Sa Majesté” ne
m’ayant encore jamais invité en son Palais (… !!). Mais en tout cas, les
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26. LE MYSTÈRE DE SATAN ET L’HISTOIRE DES DOUZE TRIBUS D’ISRAËL
POISON BLANC
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gens de la “British World Federation”, eux, sont certains que les populations
anglo-saxonnes (tant anglaise qu’américaines), constituent, en fait,
cet Israël (les Dix Tribus d’Israël) à qui tant a été promis dans la Bible.
D’après cette fédération, c’est bien à eux, à ce “british people” qu’est
destiné le Royaume de Pierre, tel que mentionné dans le Livre de Daniël,
un Royaume qui doit remplir toute la terre ! ? Certains des adeptes de cette
théorie, vont même jusqu’à identifier la Grande Bretagne à Ephraïm (une
des Dix Tribus perdues), et les Etats-Unis à Manassé (une autre des Dix
Tribus perdues) ! Est-ce par hasard que les anglais s’attribuent le nom de
“British” ? Pas du tout ! Ce mot signifierait en hébreu, “l’enfant d’Israël,
l’enfant de l’Alliance”, “brit” signifie “alliance” et “ish” signifie
“homme” ! Dans ces milieux il est dit que la reine d’Angleterre, détiendrait
un arbre généalogique qui la ferait remonter au roi Salomon !?
Il est clair et net que les Allemands, les Autrichiens, les Anglais, revendiquent
leur origine saxonne, mais en même temps il faut aussi se rappeler
et le reconnaître, le clergé français, la noblesse et la royauté française
a la même origine : son appartenance à la famille de Saxe et il en va de
même pour la dynastie belge (de Saxen Coburg… ou Saxe-Cobourg…
en langage Wallon). Hugues Capet, fondateur de la dynastie capétienne
qui régna sur la France jusqu’à la Révolution française, appartenait à la
famille de Saxe. Il fut, en 987, élu roi de France, par l’Assemblée de
Senlis composée en majorité de nobles et de moines Saxons. Parmi eux,
se trouvait Gerbert le Saxon qui va devenir plus tard, en 999, Pape, sous
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